Vous avez des envies de sorties ? Théâtre, spectacle, soirée événement, concert…
L’équipe du blog partage avec vous ses bons plans et vous invite.
Restez connectés à notre page : les nouveaux jeux-concours peuvent tomber à tout moment.
Des CD, DVD et autres goodies sont aussi au rendez-vous ici-même
Originaires de Provence, les confiseries de François Doucet goûtent bon la chaleur de Noël.
Amandes enrobées, Kara’sésame, noisettes enrobées ou bonbons au coeur parfumé… Avec toutes ces recettes, on se sait plus lesquelles picorer à force d’hésiter entre les différentes saveurs.
Alors on va vous aider à faire votre choix. Et aussi vous offrir la possibilité d’en recevoir chez vous avec notre concours.
Des plaisirs gorgés du soleil du sud
Le confiseur en Provence affiche 50 ans d’expérience et se diversifie encore.
Pour tous les produits François Doucet, les fruits du verger utilisés et aussi les fruits à coque proviennent d’une production régionale.
Transformée avec passion et avec l’envie de partager plaisir et goût, François Doucet donne une âme et une saveur unique à chaque recette. C’est croquant et craquant.
Le palais en redemande.
Un plus : cet hiver la gamme bio s’est encore agrandi. Après les pâtes de fruit, c’est au tour des amandes et des noisettes de faire leur entrée au club.
Et pour la fin d’année, il faut compter sur le coffret prestige Ecrin festif offrant 4 savoureuses confiseries. Raisins au Marc de Champagne cuivré, Noisettes lait et noires brillantes Or, Pralino Cuivrés, Amours de cerises Or. On a succombé dès l’arrivée de ce coffret entre nos mains de gourmands.
Nos lecteurs parisiens pourront facilement retrouver les confiseries François Doucet au Printemps du goût et à la Grande Épicerie de Paris.
Les produits sont aussi en vente dans près de 3000 boutiques en France (boulangeries, pâtisseries,chocolatiers et épiceries fines).
Et si jamais vous ne les trouviez pas près de chez vous, il est possible de commander en ligne sur le site.
Concours
Des lots François Doucet sont à gagner ici !!
Pour votre plaisir, nous vous offrons un coffret prestige Ecrin festif à déguster en famille.
Pour participer, il suffit de remplir le formulaire juste en-dessous.
N’hésitez pas à nous laisser un commentaire. ON ADORE VOUS LIRE !
Quand on parle produits méditerranéens, parfois on peut oublier la Corse. C’est sans compter sur O Mà ! Gourmandises, une histoire d’amour entre les produits, Jean-Michel Querci et sa femme. Une entreprise familiale qui met en avant le goût et qui aime promouvoir l’Île de Beauté.
Rencontré en journée presse, on a vraiment accroché avec cette histoire familiale. Attachée à la qualité et au terroir, O Mà ! est une petite entreprise de 4 personnes.
O Mà ! Gourmandises crée tout de A à Z
La gamme est composée de 160 produits sucrés et salés, tous pensés et cuisinés par le chef autodidacte Jean-Michel Querci.
Et du logo au packaging, tout est pensé à quatre dans cette entreprise insulaire.
Coté goût, on a été surpris par l’Anghjulina : une confiture à base de Brocciu (un fromage corse de brebis). Une recette brevetée qui ose un audacieux sucré/salé. Un mélange qui surprend les papilles et peut apporter une touche surprenante à vos apéritifs, ou vos verrines. A tester avec une composition à base d’avocat ou de fruits rouges.
Pour des saveurs plus quotidiennes, on recommandera les ketchups et chutney. Notamment le U Biancu: un ketchup blanc aux oignons de Sisco et poivre Timut ou encore le P.P.P&M : Pumatta Pepper Whisky P&M, avec une pointe de miel Corse. Leurs textures onctueuses rendent grâce aux ingrédients travaillés pour la création de ces produits.
Nous n’avons pas pu goûter à toute la production de O Mà !, mais il n’y a pas de doute que tout est de la même qualité. Des huiles, aux cookies en passant par les soupes, les bonheurs du soleil corse se retrouveront dans vos assiettes.
Pour nos lecteurs parisiens, la gamme O Mà ! Gourmandises est à retrouver au Printemps du goût.
La Maison Le Roux récemment récomposée par le Club des Croqueurs de Chocolat lors du Salon du Chocolat 2018 ne finit pas de nous enchanter. Cette institution célébre pour son caramel au beurre salé produit ses petits délices sucrés en Bretagne. A chaque bouffée, un vrai bonheur.
Réjouissantes nouveautés de fin d’année !
La Maison Le Roux a dévoilé fin octobre le coffret Méditerranée avec 6 nouveaux bonbons de chocolat.
3 d’entre eux ont reçu le prix Les Incontournables du Club des Croqueurs de Chocolat. Et on ne peut que confirmer que cette consécration est tout à fait légitime.
Il faut maintenant compter sur les chocolats Anatolie, Carvi, Damas qui nous offrent un subtil tour dépaysement gustatif.
Audace, délice et savoureux métissages.
Le bonbon Anatolie est un praliné croustillant aux graines d’anis sauvage de Turquie, brisures de sablé et zeste de citron. Le Damas est une ganache à l’infusion de thé au jasmin sur un socle de pâte de fruit au pamplemousse rose.
Le Calendrier de l’Avent nous envoie rejoindre la nuit parisienne avec un beau décor de façcades et la Tour Eiffel. Chaque jour du mois de décembre sera une surprise gourmande. Vous serez comblés par les pâtes de fruits, bonbons de chocolat noir et au lait, mendiant, caramels et autres guimauves au chocolat.
Ce calendrier sera du plus bel effet dans votre intérieur, sur une étagère, par exemple.
Des lots la Maison Le Roux sont à gagner ici !!
Au programme : un pot de pâte à tartiner Le Caramelier (caramel au beurre salé), des guimauves au cacao et un sachet de caramels.
Idéal pour offrir ou partager en famille.
Pour participer, il suffit de remplir le formulaire juste en-dessous.
N’hésitez pas à nous laisser un commentaire. ON ADORE !
Bastian Baker a fait une halte à Paris pour la promo de son 4e album. En pleine tournée mondiale en première partie de Shania Twain, le chanteur suisse assure aussi bien en sourires qu’anecdotes autour de ses nouveaux titres dont certains ont été conçus à Nashville avec un célèbre producteur américain.
L’ancien hockeyeur n’a pas fini de surprendre.
Il sera en concert le 18 mars 2019 à la Maroquinerie.
INTERVIEW
USP : Où a été écrite Stay ? Quelle est l’histoire de cette chanson ?
Bastian Baker : Stay, c’est une chanson qui m’a pris le plus de temps à écrire de ma vie. Elle m’a pris trois ans.
Quand même !
Parce que ce n’était pas Stay quand j’ai commencé à l’écrire.
J’étais dans les rues de Melbourne. J’écris souvent des mélodies en me baladant, en marchant. J’ai des mélodies qui me viennent en tête et je les enregistre sur dictaphone. J’avais commencé avec “nana ni na na nana…“. Et j’ai un bout de texte qui a germé et il resté dans mon téléphone. Puis j’ai terminé la chanson l’année dernière à New York avec Vlad Holiday.
Je suis arrivé chez lui en studio le matin et lui ai dit : « j’ai ce truc que j’ai fait il y a trois ans à Melbourne ». Je lui ai chanté et il a trouvé que c’était vraiment cool. Du coup, on a commencé à bosser sur ça. Dans le couplet, ça parlait justement de ce côté de la balade dans la ville avec les lumières, un côté un peu vide que tu peux ressentir dans certaines villes.
C’est une chanson qui a voyagé de Melbourne à New York !
Du coup, on a on s’est inspiré de ma soirée que je venais de passer à New York. Et un peu de ce côté très éphémère de la vie de tournée, du fait que parfois t’aimerais bien rester un peu plus longtemps.
C’est comme ça que Stay est née.
Au fur et à mesure qu’on l’écrivait, j’enregistrais. Ça se passait super bien, je faisais une prise et puis on doublait. Finalement quand on est retourné en studio quelques mois plus tard pour essayer une version plus pro, ça ne sonnait pas mieux. Du coup, on a gardé les premières prises parce qu’il y a un côté assez nonchalant que j’ai rarement. C’est ça qui la rend un peu différente.
Tu rentres de tournée avec Shania Twain. Que retiens-tu de ces dates aux States ?
Il n’y a pas forcément de leçon à retenir parce que je n’ai pas l’impression d’avoir découvert quelque chose de forcément nouveau. J’ai quand même beaucoup tourné. Mais c’est vrai que là c’est d’autres dimensions. C’est une centaine de personnes sur la tournée. C’est dans le top 5 des plus grandes tournées de l’année avec Timberlake, Taylor Swift, Beyoncé, Jay-Z et Def Leppard. Et pour Shania Twain, c’est pour une tournée come back. Tu te rends compte de la légende que c’est. Je pense que ce que j’ai le plus appris avec elle c’est vraiment la relation aux fans. Elle prend le temps de faire monter des gens sur scène, de discuter même, malgré le fait que c’est une grosse production. Parce que pour des plus petits concerts c’est assez commun d’avoir des gens sur scène.
Surtout que c’est hyper millimétré les shows américains !
Super millimétré ! C’est vraiment à la seconde. Mais elle arrive à rendre ça quand même spontané. Je pense que c’est un objectif quand tu fais une tournée pareille : arriver à avoir ce côté millimétré mais en même temps le facteur humain qui reste hyper présent.
Et donc tu vas intégrer ça dans ta tournée ?
Oui ! Il y a beaucoup de choses que Shania Twain fait sur sa tournée dont je vais m’inspirer quand même.
Mais dans chaque concert que je vais voir, je suis le mec dans le public qui est plutôt les bras croisés en train de regarder ce qu’il se passe. J’ai découvert plein de trucs. Et parfois des trucs super simples. Je me souviens avoir vu Green Day au Montreux Jazz Festival. Les mecs faisaient des sauts… ils décollaient !
Mais ce n’est pas possible qu’ils sautent aussi haut. En fait, derrière leurs retours, ils cachaient des petits mini-trampolines. Ils sautaient dessus.
Du coup, ça donne une élévation. J’ai fait ça sur toutes mes tournées. Et chaque fois que des gens voient des photos de moi en train de sauter, ils disent “Mais c’est un truc de fou ! Il faut que tu fasses l’athlétisme !”
Qu’est-ce qu’il reste du hockeyeur en toi ? Que retiens-tu de ta pratique hockey pour ta carrière musicale ?
Bastian Baker : Bien sûr ! Je pense que c’est même une partie hyper importante. Il me reste la discipline et la motivation et aussi l’esprit de camaraderie. Ce côté très bon gars que le hockey a finalement. Et puis une notion de travail que tous les artistes n’ont pas forcément.
Se dire : “On sait ce qu’il faut pour arriver à tel ou tel succès et on va le faire“. J’ai encore des contacts avec pas mal de monde dans ce milieu, plein de potes qui jouent. Du coup, je vais vraiment voir les matchs avec plaisir.
C’était assez spécial pendant la tournée avec Shania parce que l’on jouait dans quasiment toutes les arénas de hockey et c’était assez génial pour moi. C’était un peu comme le parfait équilibre. 😉
Les critiques peuvent te blesser ?
Non absolument pas. Je pense que c’est probablement une de mes forces. Et même si quelqu’un de proche qui critique, ça ne me touchera pas forcément. Moi j’aime plutôt ce qui construit plutôt que ce qui détruit. Mais si c’est constructif, pourquoi pas… Après j’ai eu beaucoup de chance aussi, je pense que dans ma vie, j’ai lu trois commentaires négatifs sur Instagram. Je n’ai pas de haters, de fous furieux dont le but est de détruire ma vie. J’ai la chance de ne pas avoir tous ces côtés un peu négatifs que la musique véhicule parfois.
Pourquoi avoir sollicité Jacquire King pour cet album ? Qu’espéraitu qu’il t’apporte ?
Jacquire King estune légende. C’est un producteur vraiment reconnu. Il bosse avec des artistes que j’adore, j’admire et j’apprécie : King of Leon, James Bay, Of Monsters and Men. Il a bosé sur le prochain Shawn Mendes et aussi avec James Bay. Son album, surtout la section rythmique qu’il a mis en place, est un truc qui m’a beaucoup touché. D’ailleurs, c’est le même batteur que pour James Bay qui joue sur les trois titres que j’ai produit avec Jacquire King.
C’est aussi par Shania Twain que je l’ai rencontré. Après j’y avais été un peu au culot.
Comment ?
On a eu un rendez-vous un matin, j’ai pris ma guitare, je lui ai joué des titres et je lui ai dit “Je veux bosser avec toi !” Au début, on devait faire un titre. Finalement, il a vraiment bien aimé la vibe. On en a fait trois. Et puis, ça reste une expérience assez spéciale, assez unique.
Il y a beaucoup d’idées, de créativité, une manière de bosser vraiment très précises, bien à lui. Et donc c’était aussi la première fois que je me mettais un peu en recul. Parce que d’habitude, c’est moi qui produis.
Et ce qui totalement inhabituel pour moi : c’est de passer dix jours en studio pour enregistrer trois titres. En général, je passe dix jours en studio pour en enregistrer douze !
Quels titres avez-vous faits ensemble ?
Love on Fire, Down et Time. Je lui avais envoyé une sélection d’une soixantaine de chansons, et c’est les trois titres qu’il a sélectionnés. Ceux sur lesquels il a senti qu’il voulait bosser en fait.
Est-ce que Nashville a des vibes différentes d’une autre ville pour faire de la musique ? Ou c’est juste un décor avec des fantômes illustres ?
La vibe est un peu régie par la population. Il n’y a que des songwriters,des producteurs donc une sorte de centre de créativité absolument fou. Ici, n’importe quel mec avec qui tu vas bosser te dira qu’il a bossé sur Pink, Lady Gaga ou un truc de country qui marche.
C’est vrai qu’il y a vraiment un réservoir de talents assez fou qui te donne la possibilité, au quotidien, d’écrire des belles choses.
A Nashville, chaque jour, j’avais différentes cessions d’écriture. C’est génial parce que tu commences, tu ne sais pas où tu vas, tu trouves que c’est cool et finalement tu te perds. Tu arrives à la fin, tu as écrit une chanson et tu trouves que c’est la meilleure chanson que tu aies écrite de ta vie. T’es obligé sinon, ça ne sert à rien de l’écrire.
Tu peux le faire tous les jours si tu veux. Et c’est cette offre qui fait de Nashville la capitale de la musique.
Sinon, niveau personnel aussi, j’ai un de mes meilleurs potes qui joue au hockey dans cette ville : Roman Josi, un suisse. Il est le capitaine de l’équipe de Nashville. Du coup, mes journées se résument en : j’écris des chansons la journée, ensuite je vais voir un match de hockey. Je vais bouffer dans un bon restaurant et je vais boire des coups jusqu’à 3h du mat’. Et je recommence le lendemain. Donc c’est assez idéal. Mais faut pas rester trop longtemps. 😉
Quelle est la chanson la plus ambitieuse de l’album, celle qui a demandé le plus de travail, le plus d’arrangements ?
Down est clairement une chanson qui a nécessité beaucoup d’arrangements, où on s’est posé beaucoup de questions.
Un jour en studio, il y avait vraiment de gros doutes.
Finalement Down est la chanson préférée de chaque musicien à qui je fais écouter l’album. Dans les arrangements, dans la dynamique, il y a un truc qui séduit.
Quel est l’endroit le plus surprenant où a pu être composé ou écrite une chanson ?
Bastian Baker : Un lieu qui sort de l’ordinaire, c’est pour la chanson Six. J’étais à l’aéroport de Miami, dans la salle d’attente. Et le vol a été décalé d’une demi-heure parce qu’un des pneus avait crevé. Et c’est dans cette demi-heure là que j’ai écrit le texte. C’était un rush. J’ai écrit Day one, day two, day three. Il y avait un côté très méthodique et d’angoisse. Si l’avion n’avait pas eu de problème, il n’y aurait pas eu de chanson ! 🙂
J’ai bien aimé aussi So Low. Quelle est son histoire ?
A la base de cette chanson, il y a la relation que j’ai eue il y a quelque temps avec une actrice qui était passablement plus âgée que moi. Et un peu mon opposé. C’est à dire que j’aime bien boire un coup, elle ne buvait pas. Je suis très actif, nature… elle aimait plutôt rester à la maison pour lire un livre. On était vraiment super différents. Mais il y avait quand même cette attirance du côté extrême de l’un et de l’autre. Et c’est comme ça que j’ai commencé à écrire les couplets : “I fell in love with you, stil don’t know why. We’re total opposite…” C’était basé sur de nombreuses parties de cette courte relation que j’ai eue. Ça n’a quand même pas marché à la fin. 😉
Est-ce que tu vas lui envoyer le titre ?
A chaque fois que j’ai écrit des chansons grâce à des relations, j’ai envoyé la chanson à la personne.
Et son retour ?
Ca fait six mois qu’on ne parle plus. 🙂
En l’occurrence, elle l’aime beaucoup mais elle a une autre chanson préférée : Light & easy. Elle adore cette chanson !
USofParis te propose de fêter la sortie de l’excellent premier album Kings and Queens du groupe SPARKY IN THE CLOUDS. Rendez-vous vous est donné le jeudi 8 novembre au Hasard Ludique pour la release party. L’occasion de savourer des sonorités folk et modernes venues de la douce Albion.
Sparky in the Clouds c’est avant tout la rencontre de Mathias Castagné, guitariste, et de deux sœurs anglaises, Miranda et Bryony Perkins.
Ce trio produit une folk/pop harmonieuse et aérienne avec un univers visuel qui lui est propre. Il n’y a qu’à regarder le dernier clip aussi étrange qu’emballant.
Sorti le 21 septembre dernier, Kings and Queens regroupe 11 titres avec une musique charmante et une atmosphère rétro pop envoûtante aux sonorités anglaises.
On aime cette approche épurée et moderne des chansons.
Alors on vous propose de gagner des invitations pour le concert du groupe au Hasard Ludique à Paris.
Sparky in the clouds
1er album Kings and Queens (Zamora Label)
En concert le jeudi 8 novembre à 19h30
Hasard Ludique 128, avenue de Saint-Ouen 75018 Paris
Et en tournée :
16 novembre : Salle des Fêtes, Villiers-le-mahieu
17 novembre : Salle de la Bonnette, La Queue Les Yvelines
18 novembre : La Barbacane, Thoiry
18 mars 2019 : Espace Carpeaux , Courbevoie
05 avril 2019 : Les Arcs, Quéven
#Concours
Pour gagner tes invitations, c’est très simple.
Remplis vite le formulaire ci-dessous. Après tirage au sort, les gagnants seront prévenus par mail.
Alors si tu es libre le jeudi 08 novembre 2018, participe. Sparky in the clouds vous promet un live joyeux et intrépide.
Costumes de dingos, répliques imparables,et toujours une énergie de grands malades : Airnadette débarque au Grand Rex avec Le pire contre-attaque. Une date unique, le jeudi 25 octobre, pour kiffer à mot le air-jeu de cette bande de doux-dingue. Moche Pitt, Jean-Françoise, Château Brutal , Scotch Brit, M-Rodz, sous la coupe de Philippe Risotto te feront hurler, chanter et poiler comme jamais. Et du coup, on t’offre tes places !
#TROPCOOL BABY
Un spectacle foutraque réglé au cordeau
C’est à chaque fois un putain bonheur de retrouver la bande plus apprêtée que jamais.
Cette fois, Gunther Love n’est pas de la partie car il a été enlevé par des aliens. Alors ses acolytes vont déployer toute leur énergie pour le retrouver en nous faisant hurler de rire et surtout chanter.
Les 5 inséparables ou 5 fantastiques vont partir pour un voyage dans le temps et l’espace pour récupérer leur poto. Il y a aura des épreuves, des doutes et des révélations poilantes.
Les effets visuels sont de la partie avec un écran, au système super ingénieux, pour assurer décors, paroles type karaoké et autres inventions du cru Airnadette.
Dans Le pire contre-attaque, Airnadette assure comme des dieux du stade de baby-foot, avec un calage labial et physique quasi parfaits.
Aucun temps mort, des montages ingénieux, du suspense.
On surlike !
Airnadette Le pire contre-attaque
le jeudi 25 octobre 2018 à 20h Date unique
au Grand Rex
1 boulevard Poissonnière
75002 PARIS
#Concours
Envie de passer une soirée de dingos avec les Airnadette ?
On t’offre des invitations pour le jeudi 25 octobre au Grand Rex.
Pour tenter de gagner tes invitations, remplis vite le formulaire ci-dessous.
Les gagnants, tirés au sort, seront contactés par mail.
Les 7 doigts, l’autre compagnie – emblématique – de cirque made in Québec ne quitte plus Paris.
Elle nous revient avec le captivant spectacle Cuisine et Confessions et une série de numéros savoureux sur la scène de Bobino depuis le 19 septembre 2018.
CONCOURS dans ce billet !
Cuisine et confessions offre un savoureux mélange de danse, acrobaties, chansons, recettes en live et échanges rares entre artistes et spectateurs.
Les 7 doigts est une compagnie atypique. La notion même de nouveau cirque explose joyeusement, invitant d’autres disciples à participer au spectacle comme un tour de chant, les confidences des interprètes au public sur leur histoire personnelle.
Ce n’est donc pas à une succession de numéros à couper le souffle que vous allez assister mais à un joyeux boxon bien mené par des artistes métissant sur scène leurs origines (Argentins, Américains, Canadiens, Russe….). Ça parle anglais, français, espagnol… On ne saisit pas tout, qu’importe ! La fougue et l’énergie sont constantes.
Le spectacle est bourré de petits détails, d’arrières plans qui bougent derrière les numéros d’équilibre.
Les circassiens ne quittent jamais la scène. Ou alors seulement pour s’aventurer dans la salle au milieu des rangées bien serrées de spectateurs captivés.
Plus fort encore que le Cirque du Soleil : c’est à un véritable coup de foudre qu’il nous est aussi donné d’assister chaque soir. Amazing!
Le tour de chauffe général est rehaussé d’une bande son aux petits oignons avec des reprises hallucinées du titre phrase de Grease, You’re the one that I want et du Boléro de Ravel en version chantée, exotique et envoûtante.
Après les applaudissements mérités, l’interaction se poursuit avec la salle par le biais d’une dégustation des recettes concoctées sur scène.
C’est généreux, audacieux et bon enfant !
Cuisine et confessions par la compagnie Les 7 doigts
Le cabaret Terabak de Kyiv va virevolter avec des personnalités hautes en couleurs : les Dakh Daughters. Coup de cœur des blogueurs partenaires des Nuits de Fourvière, le spectacle conçu par Stéphane Ricordel va offrir deux très belles soirées festives, piquantes fantaisistes dans le Théâtre Antique de Lyon.
Terabak, de Kiev à Lyon
Les Nuits de Fourvière n’en finissent pas d’échanger avec les cultures étrangères, d’inviter à des dialogues inédits, conviviaux et tout simplement beaux.
Cette fois c’est du côté de l’Ukraine que la surprise va se produire deux soirs de suite en plein juillet pour le ravissement des festivaliers. Terabak embarque avec chanteuses et musiciennes, artistes voltigeurs et comédiens pour un cabaret 100 % original.
Les Dakh Daughters, grimées et fantasques à outrance, vont souffler un vent venu de l’Est aussi trépident que jouissif.
En guise de mise en bouche, il faudra compter avec l’excellent David Dimitri qui revient après un plein succès la saison dernière. Il aime prendre de la hauteur sur un fil. Forcément spectaculaire et poétique.
TERABAK de KYIV
de Stéphane Ricordel et Dakh Daughters
Le Sacre du Printemps en plein air, de nuit, avec l’Orchestre national de Lyon et la folie de la compagnie australienne Circa de retour en terres lyonnaises : on fonce direct !
Aux Nuits de Fourvière 2018, les 28 et 29 juin, le chef d’œuvre de Stravinksy ne sera exceptionnellement pas dansé mais acrobatique, aérien, sensuel.
Le Sacre du Printemps circus
Le plus excitant c’est que l’on ne sait rien de cette création qui est a éclos début avril en Australie.
Lyon, coproducteur du spectacle, est seulement la 2e étape d’une tournée qui s’annonce longue comme les autres envolées de la compagnie australienne.
Pour avoir vu deux précédents spectacles : Wunderkammer à Paris et Beyond dans un magic mirror à Lyon, Circa est une valeur sûre quand il s’agit de performance, force physique, dépassement de soi, le tout avec des pointes d’humour et de sensualité.
Circa émerveille, subjugue et se réinvente à chaque spectacle.
En plus du Sacre du Printemps, deux autres compositeurs, cette fois français, auront les honneurs d’une réinterprétation musclée. Berlioz et Ravel seront, à n’en point douter, aux anges comme nous, de là où ils seront fin juin.
CIRCA avec l’Orchestre national de Lyon Direction artistique Yaron Lifschitz
Le Sacre du Printemps(Igor Stravinsky) Les Nuits d’Eté(Hector Berlioz) Le Tombeau de Couperin(Maurice Ravel)
Je serai de retour à Lyon, le vendredi 29 juin pour célébrer le grand retour de Circa et passer une soirée à la belle étoile renversante.
Je vous propose de partager cette soirée en vous faisant gagner 2 invitations.
Pour participer au tirage au sort, remplissez vite le formulaire ci-dessous.
Plus d’un demi-siècle est passé sans qu’une rétrospective Eugène Delacroix ne soit organisée à Paris.C’est un peu fou.
Donc l’exposition qui s’ouvre au Musée du Louvre va être celle à ne pas manquer lors de ce printemps.
Comme l’a été la rétro de Vermeer en 2017.
Une exposition en trois temps
Car ce n’est pas moins de 180 œuvres qui sont présentées dans le Hall Napoléon du Palais des Tuileries.
Et pour retracer l’évolution du travail d’Eugène Delacroix, sa carrière a été découpée en trois phases chronologiques :
– 1822 à 1834 : la décennie de la nouveauté, de l’appétit de gloire et de liberté.
– 1835 à 1855 : la révélation de la peinture murale, la tradition et l’apothéose de 1855.
– 1855 à 1863 : l’art du paysage et les variations autour de son travail passé.
Et même si l’exposition est organisée de façon chronologique, la distinction entre ces périodes n’est pas toujours facile à garder en mémoire pour un visiteur non aguerri à l’histoire de Delacroix
Un petit rappel en début de salle aurait été bienvenu.
Mais ce sera la seule critique négative que l’on peut faire sur cette mise en espace.
Une parenthèse artistique merveilleuse
Mais faisons un peu abstraction de ce cloisonnement pour simplement se laisser aller au plaisir d’admirer le travail de ce géant de la peinture du 19ème siècle.
Se rendre compte que ses pièces maitresses La Liberté guidant le peuple et Scènes des massacres de Scio ont été réalisées dans sa première décennie de peintre. Vous n’aurez donc pas à attendre la fin de la visite pour les (re)découvrir. 😃
On est surpris par la finesse des dessins qui illustrent l’édition en 1828 du Faust de Goethe.
Et de salle en salle, la virtuosité de Delacroix est toujours là mais le style évolue selon les périodes.
Un regard particulier sur le Maroc du 19ème, loin des questions esthétiques et sociales.
Un de ses rares voyages à l’étranger qu’il retranscrit dans des carnets superbement illustrés et dans des aquarelles toute en simplicités.
On admire la force poignante qui ressort des ses tableaux religieux. Des toiles qui ne sont qu’émotion et qui ne peuvent laisser indifférente.
On termine cette exposition par une salle qui offre la dernière facette du travail de Delacroix : des paysages “fantaisies”. Ils ne sont pas réels mais font appels aux souvenirs de l’artiste, mêlant parfois deux lieux différents.
Prenez vos billets !
Une telle réunion de toiles signées Delacroix est plus que rare. C’est un vrai bonheur de parcourir ces salles du Louvre à la découverte de peintures méconnues, d’aquarelles légères, d’eaux-fortes magistrales… Et certaines viennent des quatre coins de France (Lille, Nancy, Bordeaux…) ou du monde (États-Unis, Canada, Allemagne, Hongrie…), ou même Paris…
Il y a aussi tous ces carnets manuscrits qui montrent l’érudition et les amitiés artistiques ou sociales qu’avait tissées Delacroix.
Dernier conseil : certaines toiles n’ont pu être déplacées, comme La Mort de Sardanapale ou le plafond de la galerie d’Apollon (aile Denon du Louvre), une raison de plus de poursuivre votre visite par les galeries du Musée du Louvre.
Magnifique et unique cette exposition !
exposition Delacroix : 1798 – 1863
du 29 mars au 23 juillet 2018
horaires : de 9h à 18h, sauf le mardi Nocturnes : les mercredis et vendredis jusqu’à 22h Hall Napoléon au Musée du Louvre Rue de Rivoli
75001 Paris
#CONCOURS
Nous aimons, nous vous invitons ! Des laissez-passer pour le Musée du Louvre sont à gagner. Ils vous donneront droit à visiter l’exposition Delacroix.
Pour participer, dites-nous EN COMMENTAIRE quelle œuvre vous aimez le plus au Musée du Louvre.
Les gagnants.es seront tirés au sort parmi tous les participants.