Découvrir le quartier autrement. C’est ce que propose les mairies des 3ème et 4ème arrondissement en lançant la première édition du festival Les Traversées du Marais, du 11 au 13 septembre prochains. Au programme : balades musicales, installations, performances et éclectisme.
Héritières de feu le Festival du Marais, Les Traversées du Marais sont un événement toutefois quelque peu différent de leur ancêtre et réuniront tous les styles de musiques, dans des lieux aussi prestigieux qu’insolites.
Organisé par les membres de Marais Culture +, un collectif de 21 acteurs culturels des deux arrondissements parisiens, le festival se veut en effet éclectique et ouvert à toutes les sensibilités.
Si la soirée d’ouverture se déroulera au Carreau du Temple avec un bal électro, vendredi 11 septembre, de 20h à 23h, c’est le Musée national Picasso-Parisqui ouvrira la danse avec le concert du jeune duo parisien pop Burning Peacocks, suivi du groupe pop Tahiti 80.
Au total, le festival propose 25 manifestations, dont la plupart est gratuite : des concerts acoustiques dans les salons feutrés de la Maison de Victor Hugo, à la projection de moyens-métrages associant image et musique à la Maison Européenne de la Photographie, en passant par des chants gospel au Crédit Municipal de Paris ou encore des chants baroques, interprétés par Rosemary Standley (du groupe Moriarty) à la mairie du 4ème arrondissement et une installation sonore aux Archives Nationales.
Sans oublier les siestes musicales et littéraires de Bastien Lallemant et ses invités où toute résistance au sommeil est proscrite.
Ce sera l’occasion de découvrir (ou redécouvrir) les 14 monuments parmi les plus beaux du centre de la capitale : le Carreau du Temple, les Archives Nationales, le Centre des Monuments Nationaux, la Maison Européenne de la Photographie, le musée Picasso, la Maison de la Poésie, la Mairie du 4ème, le musée des Arts et Métiers, l’Institut Suédois, le musée de la Chasse et la Nature, la maison de Victor Hugo, le Crédit Municipal de Paris, le Mémorial de la Shoah et le musée Carnavalet.
Festival : Les Traversées du Marais du 11 au 13 septembre 2015
La sélection du blog :
Vendredi 11 septembre: Musée national Picasso-Paris : concerts de Burning Peacocks (19h) et Tahiti 80 (20h) (entrée libre – réservation via le site du musée) Bal d’ouverture avec Faubourg Simone au Carreau du Temple
de 20h à 23h en entrée libre
Samedi 12 septembre:
Installation sonore d’Alain Français aux Archives Nationales de 14h à 20h Chorale dirigée par Coline Serrault au Jardin de l’hôtel de Sully à 17h
Dimanche 13 septembre:
Installation d’Erik Samakh au Musée de la Chasse et de la Nature de 14h à 20h
Concerts de Kyrie Kristmanson, Love, I Obey (avec Rosemary Standley) et Simon Dalmais à la Mairie du 4e à 17h (entrée libre)
Concert de Peter Von Poehl au Musée national Picasso-Paris à 20h (entrée libre – réservation via le site du musée)
Cela faisait quelques semaines que l’équipe lorgnait sur l’Ober Mamma, le nouveau spot italien d’Oberkampf. Ouvert en juin dernier, après le succès fulgurant de son grand frère, l’East Mamma (du même groupe Big Mamma), l’adresse du 107 boulevard Richard Lenoir connait déjà une affluence à faire pâlir ses voisins. Et malgré le nombre de foodistas-os, nous avons trouvé une table pour dîner, à l’ouverture (on préfère le préciser). Ambiance, déco, service, carte : USofParis vous invite à la table de sa nouvelle cantine.
Arrivés à 19h05, le restaurant est déjà quasi complet. 10 petites minutes d’attente et nous prenons place, guidés par les serveurs et serveuses à l’accent transalpin. Et il ne faut pas se laisser tromper par la première salle remplie qui est juste destinée à l’Apéritivo.
Pour déjeuner ou dîner, c’est après le bar que les réjouissances débutent, soit dans le long couloir avec banquettes sous les jambons pendus au plafond, soit dans la vaste salle sous verrière qui nous permet de profiter des dernières heures de ce jour d’été.
Nous sommes installés au comptoir, face à la cuisine, la meilleure place d’après la serveuse. Au début, on peut regretter de ne pas être en tête-à-tête avec sa-son partenaire mais au final, le show est plus derrière les fourneaux que sur la table de vos voisins.
On plonge sur la carte des cocktails. Ne soyez pas surpris lors du service, les icônes à côté de chaque boisson indiquent le contenant que vous aurez devant vous.
Ce sera Basil Spritz et Cactus. Et toute la surprise est dans les saveurs. Nos palais, formatés aux goûts excessifs des cocktails traditionnels, sont un peu perdus avec les parfums subtils des infusions maison. Les saveurs se la jouent pédale douce et se révèlent en arrière-goût, subtil. On trouve finalement une fraicheur dans ces verres qui est plutôt agréable avec cet été très caldo !
En sirotant, nous examinons la carte.
Le choix n’est pas aisé parmi les mets proposés tant notre curiosité est sollicités. Les assiettes en entrée : jambon de Parme, jambon San Daniele d’un petit producteur, mozzarela, burrata pour deux, mortadelle, ricotta, ou encore pizza à partager.
Pas ou peu d’audace dans notre choix : Jambon San Daniele et le duo de saucissons à la truffe et au fenouil.
Et là, “OMG!“, ou plutôt “Mamma mia” pour rester en accord avec le cadre !
Coupées à la demande et sous nos yeux, ces charcuteries explosent en bouche. Fenouil et truffe sont subtils et bien présents, le jambon cru San Daniele : un véritable moment de plaisir qui fait écho au jambon de Parme dégusté il y a quelques mois. Mais en plus fin encore.
Un vrai régal des sens qui nous fait regretter de ne pas avoir choisi de faire tout notre repas sur cette partie-là de la carte.
On déguste donc en profitant du spectacle offert par la cuisine.
Bizarre à vrai dire, comme l’impression de ne plus être tout à fait pas à Paris. Comme déporté du côté de Brooklyn ou Manhattan.
La file d’attente à l’entrée du restaurant, les cuisiniers qui ne parlent qu’italien entre-eux, les casquettes d’équipes de baseball vissées sur les têtes des cuistots, le nombre de personnes en salle et en cuisine qui vous servent dans la bonne humeur.
Nous n’avons toujours pas répondu à cette énigme.
Pour les plats principaux Al Forno, nous avons tenté l’authentique et le traditionnel.
Le traditionnel avec des pastas fraîches Jean-Claude Vitello : des morceaux généreux de veau, le tout baignant dans une sauce fine et légère dans laquelle on plonge allègrement un morceau de pain pour la saucer.
Et à chaque plat de pâtes une forme différente, histoire de nous inciter encore plus à un retour sans attendre. Original.
Pour l’authentique, le Navarin de Poulpes est suffisamment aguichant !
Légumes croquants et frais, sauce tomate relevée. A chaque coup de fourchette, on a l’impression de décrocher un bout de Méditerranée.
Les saveurs sont intenses en bouche, les olives noires sont fermes et savoureuses. Le poulpe, ingrédient principal, est cuisiné à la perfection.
Une vraie redécouverte des atouts de la gastronomie italienne.
L’Italie c’est aussi la vigne. Et la carte des vins n’est pas en reste pour un accompagnement de qualité. Les prix sont largement accessibles et on a eu un gros coup de coeur pour les descriptions associées à chaque cru qui font preuve d’un humour certain.
On tire notre chapeau, aussi, sur l’initiative de la carte des grands rouges à prix caviste.
Mais pas sûr que celle-ci fasse des adeptes auprès d’autres restaurateurs quand on voit la différence entre le prix à payer et celui que vous régleriez ailleurs. Une leçon de marge pour le client.
Et à l’instar des prix des vins, Ober Mamma ne joue pas la surenchère des prix. Des plats entre 12 et 19€, des pizzas de 12 à 15€ (on reviendra pour la pizza figue), des cocktails à partir de 9€, on comprend un peu mieux le succès de l’East Mamma et maintenant de l’adresse du Boulevard Richard Lenoir, au milieu d’une offre parisienne tantôt chère, tantôt prétentieuse sans forcément aligner qualité, goût et surtout bonne humeur.
Chez Ober Mamma, comme au East, les produits sont en provenance direct de l’Italie, de petits producteurs sélectionnés avec soins dont les noms sont inscrits sur la carte.
Mais en regardant les tablées voisines, il faut bien avouer que l’on se pose la question de la provenance de la truffe servie en abondance sur la pizza Regina Wild Truffes (15€) et les pastas à la truffes (18€).
Une de nos seules interrogations, il faut bien dire.
Après ce repas revigorant, tant au niveau des goûts, que de l’ambiance, on ne saurait trop vous conseiller de profiter de l’été pour arriver à 19h piles avant que la file ne dépasse la bonne heure d’attente.
Un vrai shoot d’Italie à Paris, ça ne fait jamais de mal !
Nous, il nous reste encore beaucoup de charcuteries et de fromages et une ou deux pizzas à goûter…
Ober Mamma
107 Boulevard Richard Lenoir – 75011 Paris
Déjeuner : 12h15 – 14h30 (15h les samedis et dimanches)
Dîner : 19h – 01h00
Apéro à partir de 18h en terrasse ou au bar
Attention : le resto ne prend pas les réservations. Si vous êtes en groupe, avec des amis retardataires, vous ne serez placés qu’une fois le groupe au complet
Nous venons de faire la connaissance d’une marque de maroquinerie française à la qualité et à la confection soignées. Carré Royal ravit les femmes depuis les années 50. Porte carte et portefeuille, pochette et autre sac et petit-sac offrent un attrait style pour tous les looks. La preuve.
Nous avons fait le test de la pochette Sybille ou grand porte-monnaie en cuir naturel. Décliné en plusieurs coloris : indigo, bordeaux, brandy, jade, noir, jaune, cet accessoire est à la fois discret, élégant mais aussi audacieux selon la couleur choisie.
Présentée à trois femmes de génération distincte, nous avons été surpris pour la curiosité et l’intérêt que toutes ont manifesté pour la pochette.
Vous comprendrez en lisant ces lignes que la pochette a suscité un maximum de convoitise. Difficile de contenter toutes les amatrices, nous avons toutefois recueilli leurs impressions.
La femme active de plus de 50 ans n’a pas manqué d’arguments. Tout d’abord, la couleur : “le gris convient parfaitement”.
Elle retient, tout de suite, le côté pratique avec les deux fermetures éclair, et les poches intérieures. Permettant – nous avons bien deviné – de cacher (camoufler) aussi bien les attributs beauté que les cartes bancaires et de fidélité. Au total, 4 soufflets pour répartir les accessoires de notre amatrice, 8 fentes pour les cartes et 2 grandes poches zippées qui permettent de répartir au mieux tous les accessoires de la vie quotidienne.
La foodista quadra qui préfère la compagnie des tabliers.
Le dernier en date, la tablier Jean Paul Gaultier a fait un tabac ; elle ne s’en sépare plus. Mais la pochette n’a pas échappé, pour autant, à son attention. “Je n’en ai pas d’aussi grande”. Elle a très vite vu en Sybille l’aspect pratique de pouvoir regrouper ses billets de banque volants dans un seul compartiment et de ne jamais plus oublier son rouge à lèvres (qui n’est pas sa priorité number one). Alors qu’elle s’amuse encore avec sa mini-poche à cordon période hippie chic-toc rouge, elle serait prête, sans hésitation à adopter la déclinaison grise pour un maximum de confort pour ses économies.
Notre dernière testeuse est une jeunette de moins de 30 ans. Celle-ci a vu en Sybille l’accessoire parfait pour le dévoiler en tant voulu : “le prochain mariage auquel je suis invitée !”, cet été. La longueur de la sangle est idéale pour cette jeune femme très active qui n’est pas du tout sac à main – elle préfère le côté pratique d’un sac à dos. Elle sait qu’après ce bel événement, elle pourra faire de cette pochette une alliée parfaite pour toutes ses sorties.
Mesdames, vous avez maintenant les meilleurs arguments pour débuter votre visite de la boutique en ligne : carreroyal.com
Et follow Carré Royal sur les réseaux avec les hashtags :
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#wallet
Ce samedi, nous sommes parti, en plein Paris, à la rencontre de butineuses. Sous l’oeil expert d’Audric de Campeau, l’apiculteur et fondateur du Miel de Paris, nous avons découvert les ruches des Invalides et de l’École Militaire. Une initiation bourdonnante dans des lieux parfois inaccessibles au public.
L’ami Audric est un passionné : il a le miel et le pollen dans le sang. C’est avec un débit plus rapide qu’un battement d’aile de notre hyménoptère préféré qu’il nous compte son histoire : sa découverte des abeilles à l’adolescence, ses vignes en Champagne et l’arrivée de ses ruches à Paris.
Celles des Invalides ont une histoire peu commune. Tout à commencé par un courrier envoyé un 1er avril, le Commandant des Invalides a laissé lettre morte pensant à un canular. Après un an, Audric reprend alors contact et pose ses ruches au sein des Invalides. Vient ensuite le soutien de la société Green Tomato Cars qui choisit de participer à l’aventure avec l’installation de deux nouvelles ruches et qui nous a conduits à cette rencontre ensoleillée. C’est effectivement le service de VTC green de Paris qui est venu nous chercher et nous a approché au plus près des ruches et dans les meilleures conditions (clim, wifi embarqué et discrétion).
Depuis, Audric a installé de nouvelles locataires à l’École Militaire, au Ministère de l’intérieur Place Beauvau, au Musée d’Orsay, entre autres.
Première surprise aux Invalides : le rendement des protégées de notre apiculteur est 3 fois supérieur à de celui des butineuses en pleine campagne (50 à 60 kg par an à Paris contre 20 kg en pleine campagne).
Il fait dire que, contre toute attente, les plates-bandes de la ville des lumières ne sont pas si polluées que l’on pourrait croire pour les abeilles. La politique de traitement bio des espaces verts y est pour beaucoup, aucun pesticide à l’horizon. Épanouissement total !
Et le terreau agronomique de Paris, avec ses espèces d’arbres et de fleurs exotiques venues des quatre coins du monde, assure aux abeilles un butinage sans période de disette entre mars et novembre. A Paris, les abeilles ne manquent jamais de fleurs.
C’est avec joie et gourmandise que nous avons trempé notre doigt dans les rayons frais (et à température de la ruche soit 37°C ) afin de gouter au nectar à même la source.
Son goût si particulier ne permet aucun alliage avec des miels venus d’autres lieux de Paris ou d’autres régions.
Après les Invalides, nous faisons un saut du côté de l’École militaire pour nous approcher de deux ruches qui font face à la Tour Eiffel.
Seuls les privilégiés qui font partie du cercle restreint d’Audric, et les visiteurs occasionnels comme nous ce jour-là, ont accès à ce lieu magique.
D’ailleurs Filou, le compagnon à quatre pattes de notre apiculteur, est tout à son aise sur le clocheton qui accueille les butineuses.
Une pause exceptionnelle face à la Dame de Fer est impossible à refuser.
Le moment de déguster la cuvée “Miel de Paris“, qui provient des ruches de l’École militaire, avec un peu de fromage et du pain. C’est le top !
D’ailleurs ce miel a des saveurs vraiment différentes de celui goûté plus tôt aux Invalides. Pourtant seul quelques kilomètres les séparent. C’est pourquoi la production chaque rucher parisien est vendue sous un nom différent : Miel d’Orsay pour Orsay, Miel de l’Empereur pour les Invalides.
Même si l’action d’Audric de Campeau et du Miel de Paris est soutenue, notamment par GreenTomatoCars, l’apiculteur est plutôt pessimiste sur le devenir des abeilles en général. Les visites de ses ruches sont l’occasion pour lui de sensibiliser le public au problème essentiel qu’est la survie des abeilles.
Il faut savoir que 40 % de l’alimentation mondiale est en lien direct avec la pollinisation effectuée naturellement par les abeilles.
En somme, sans les abeilles, notre garde-manger va se réduire rapidement. Sans abeilles, plus de fruits !
Et pour notre apiculteur, il est temps de s’alarmer. Cet hiver, l’Ardèche, département le plus gros producteur de miel, a perdu environ 80% de ses ruches.
Et il y a plusieurs facteurs à cela : les pesticides, ennemi bien connu des abeilles, la suppression des haies de bocage, un acarien virulent qui décime la population et le frelon asiatique qui se répand dans toute l’Europe. Mais pour ce dernier, une plante carnivore sera peut-être la solution… La nouvelle est toute fraîche !
Le principal problème des ruchers urbains est la gestion des risques, à savoir, principalement, la séparation d’un essaim, ou essaimage, quand la reine devient trop vieille, ou la population de la ruche trop importante.
Et même si Audric suit de près le vieillissement de ses reines dans chaque ruche afin de contrôler ce moment fatidique, un incident peu vite survenir : comme lors de la visite d’Elizabeth II aux Invalides.
Un essaim a quitté de sa ruche d’origine est a donc entrainé un petit moment de panique pour les officiels.
Mais il faut savoir d’un essaim en transit n’est pas agressif ! Alors si d’aventure vous en croisez un en plein Paris, gardez votre calme et appelez Audric !
Les points de vente sont : Fauchon (8e), Galeries Lafayette Gourmet (9e), Grande Épicerie du Bon Marché, boutiques du Musée d’Orsay et du Musée de l’Armée aux Invalides.
Etre blogueur, c’est profiter de moments privilégiés à partager avec vous tous et toutes. Aujourd’hui, nous avons eu accès à un lieu inaccessible au grand public mais pourtant bien visible : la plantation de fraisiers située sur les toits des Galeries Lafayette, en plein coeur de Paris. Un exemple de végétalisation en passe de réussir.
Nom de codeSous les fraises. Le projet a été développé en partenariat avec la Mairie de Paris, Paris&Co, l‘Association Française de Culture Hors Sol et les Galeries Lafayette.
Végétaliser un toit n’est pas simple : contraintes techniques, sécurisation des installations. Le défi d’envergure a été relevé.
D’où l’impossibilité d’ouvrir la visite au public.
Outre la vue imprenable sur Paris et sur la terrasse (encore méconnue) de la célèbre adresse du Boulevard Haussmann, le but de ce jardin est bel et bien de faire connaître et de développer ce genre de culture dans d’autres lieux parisiens, tout en les rendant accessible aux visiteurs.
Plantés en avril, les pieds ont déjà produit plus de 400 kg de fraises dont les grands restaurants sont friands : des partenariats sont même en court de développement avec des chefs parisiens.
Parmi les fraises communes, on trouve aussi des espèces plus rares, des plantes aromatiques, des fleurs comestibles. Au total : 150 espèces différentes végétales se blottissent pour profiter d’une vue exceptionnelle sur les toits de Paris.
La consommation d’eau est régulée par un système complexe de capteur.
100% bio, 100% sans pesticide : les insectes batifolent à l’aise dans cet espace de verdure et assurent la pérennité des cultures.
Deux ruches ont même été installées pour favoriser la pollinisation.
C’est donc directement cueillis sur pied que l’on a pu goûter ces trésors rouges. Et les fraises des bois sont particulièrement goûteuses…
Nous sommes impatients que cette belle initiative Sous les fraises donne envie à d’autres institutions, monuments er entreprises de faire d’autres petits jardins…
En attendant, rêvez avec nous à un Paris plus fleuris.
C’est LE rendez-vous sportif et people de la fin de printemps parisien : Roland Garros. Le programme #PricelessParis by Mastercard nous a réservé un accueil personnalisé et exceptionnel Porte d’Auteuil. Entre déambulation privilégiée dans des lieux non accessibles au grand public, repas 3 étoiles et matchs au ras du court. Retour sur une vraie journée VIP accessible à tous. C’est parti !
La visite du site
C’est sous un soleil radieux que nous commençons notre journée par une visite guidée. Durant 1 heure, notre hôtesse nous conduit dans des espaces dans lesquels le simple spectateur ne peut pénétrer tout en nous distillant anecdotes et infos insolites sur le tournoi.
Pour des raisons de confidentialité, il nous a été impossible de photographier certains espaces. Et c’est bien compréhensible…
Le restaurant des joueurs voit passer, sur les 3 semaines de compétition, 4 tonnes de pâtes, 3 tonnes de riz et 160 kg de bananes par jour : des chiffres vertigineux.
Les médias sont une pièce maîtresse de Roland Garros : 1 300 journalistes, radio TV et presse écrite, sont accrédités pour 2015.
Répartis sur plusieurs pôles, les salles de presse font partie des lieux majeurs qui leur sont réservés. Mais ici point de passe-droit pour les interviews : premier arrivé, premier servi quel que soit votre notoriété.
Un petit tour côté cabines des commentateurs TV pour un point de vue exceptionnel sur le court Philippe Chatrier.
Et à 10 h, le plateau de France Télévisions est bel et bien désert.
Et pour ceux que cela intriguait, voici une petite vue depuis les “meurtrières” qui parsèment le pourtour d’un court. Attention aux balles de tennis perdues qui peuvent atteindre des pointes de 200 km/h…
Côté coulisses, vous apprendrez que Rafael Nadal garde toujours le casier 159, celui qu’il avait lors de sa première victoire à Paris, que Roger Federer lui joue les concordances avec le casier 11 en 2011, le 12 en 2012…
Ces quelques anecdotes nous permettent d’atteindre le seuil du court Philippe Chatrier (ex-court central) et la petite porte par laquelle les joueurs y accèdent. Vraiment unique !
Avant de passer aux matches, un peu de patience, un petit point équipe et logistique s’impose.
Roland Garros : c’est 300 personnes qui travaillent à l’année sur l’organisation du tournoi et 15 000 durant les trois semaines de compétitions.
La mise en place de cet évènement nécessite 3 mois de préparation sur site : le chantier est titanesque. Par exemple, les préfabriqués de la zone TV sont installés spécialement pour la période.
Nous vous avons assez fait saliver, passons côté court
C’est le deuxième tour du tournoi.
Nous prenons place dans une loge avec une vue exceptionnelle sur le court Philippe Chartrier, à quelques mètres du terrain.
Dans quelques minutes, les 15 tonnes de terre battue du Central, réparties sur 30 centimètres d’épaisseur, Maria Sharapova (la tenante du titre 2014) et Vitalia Diatchenko s’affronteront.
L’échauffement terminé, les 2 joueuses russes déploient timidement leur jeu. Pas de passing shot d’enfer. La première manche est un tour de chauffe mais Sharapova l’emporte 6 à 4.
La deuxième manche ne laisse aucun répit à Vitalia Diatchenko. Maria Sharapova balaye sa compatriote (6-1) avec un tennis plus punchy.
Le ballet du court
La découverte d’un match en live, c’est assister à un vrai spectacle et surtout aux à-côtés que l’on ne remarque pas derrière son écran TV. Ramasseurs de balles, juges de ligne, les agents d’entretien de la terre battue : ils nous offrent un ballet souvent oublié des médias.
Ceux qui se remarquent le plus, ce sont les petites mains vêtues de noirs : les ramasseurs de balle, la relève du tennis français.
A la fin de chaque échange, ces petits bouts d’hommes et de femmes répètent inlassablement la même chorégraphie. Ils tendent la serviette au joueur sur un signe de celui-ci, ils se passent les balles afin de les transmettre au joueur qui doit servir. Postures, gestuels, ils/elles reproduisent à l’identique ces mouvements. La volonté chorégraphique est indéniable et captivante.
Quand on dit Priceless à Roland Garros cela vaut aussi pour le break déjeuner.
Et celui-ci se déroule au très chic et people Club des Loges. Le restaurant où tout le gotha prend place : people comme sportifs de toutes disciplines.
Contrairement aux sportifs, nous avons eu un repas très diététique avec une mise à l’honneur des légumes.
Une entrée 100% végétarienne : Signature végétale, condiment yaourt Cédrat. Très fraîche et légère, les goûts sont harmonieux et les légumes très croquants. Le yaourt lie parfaitement l’ensemble.
Un plat sans relief : Filet de cabillaud “Sao Paulo” est plutôt terne, les goûts un peu plats, la présentation brouillonne. On a du mal à comprendre cette folie du popcorn juste pour donner de la mâche sous la dent. Un plat non assumé ?
Un dessert pétillant : Fraicheur de pomme vert au basilic, salade d’herbes. Frais, c’est ce qui ressort de ce dessert. Même si le sablé est un peu revêche, la glace relève la pomme, la salade d’herbes surprenante mais adéquate. La présentation est aussi réussie que le mélange sucré, acide et mix végétal. Le foodreporter est comblé !
Retour sur le court Chatrier
Un duel masculin nous attend sous le soleil qui inonde le central de Roland Garros : Monfils – Schwartzman. Un match qui promet quelques étincelles.
Malgré quelques coups d’éclats du Français, comme ces jeux gagnés sur 4 aces, on tremble pour Gaël qui peine à s’imposer face au numéro 62 mondial. Une manche pour l’Argentin, une pour le Français. Le match s’alterne sur cette base jusqu’à atteindre le 5ème set.
Le public français fait bloc derrière son champion. L’ambiance est à son paroxysme durant cette manche décisive pour notre chouchou.
Et au dire du 14ème joueur mondial, c’est grâce au public parisien qu’il a puisé les ressources pour pallier à ses défaillances et ainsi gagner ce match.
Finir une telle journée sur le sourire de Gaël, c’est définitivementPriceless!
Oui chers lecteurs, nous sommes de ces récalcitrants qui n’utilisent pas leur smartphone comme lecteur MP3. Problème de durée de batterie et des applis qui interrompent la lecture. Alors quand Sony propose un ensemble casque-walkman de qualité, on bondit de joie ! On vous explique pourquoi.
Avec les podcasts, les téléphones addicts dans la rue, le métro et le train (merci de penser à vos voisins…) les constructeurs nous abreuvent de casques sous toutes leurs formes : écouteurs simples, in-ear, modèles couvrants…
Difficile pour les esthètes de la musique de s’y retrouver. Beatbydre semble parfois truster les ventes (mais trop de basse pour nous et donc un son trop déformé). Bose avec son QC3 offre un produit exceptionnel de qualité sonore mais pas à la portée de toutes les bourses. Reste les marques comme Philips ou Sennheiser qui mettent sur le marché des produits de qualité plutôt abordables. Le dernier qui nous avait séduits par ses performances auditives était le IN2, mais sa conception était trop fragile. Les contacteurs du câble audio n’ayant pas résisté plus de 2 mois à notre utilisation intensive.
Le modèle MDR-1A de Sony le rejoint pour ses qualités sonores avec un spectre plus étendu que ce que l’oreille peut percevoir : de 3 à 100 000 Hz, rien que ça !
Mais c’est surtout l’homogénéité du son et de sa couleur qui est à souligner. Vous redécouvrez vos classiques et percevez une petite ligne de son inconnue jusque-là.
Ce casque fermé isole assez bien de l’extérieur. Vous n’êtes pas obligés de pousser le son à fond dans les transports : c’est mieux pour votre audition.
Ajoutons à cela un confort de port bien étudié et un petit + pratique : les écouteurs pivotants. On glisse le casque plus facilement dans son sac, et si on le porte autour du cou, les écouteurs deviennent moins gênants.
On s’étonne tout de même qu’il n’y ait pas de contrôle de volume sur la télécommande du casque et que le câble soit un peu court (1 mètre).
Côté Walkman, le NWZ-A15 est un vrai compagnon de route musical avec ses 16 Go de mémoire et sa micro SD additionnelle.
La navigation, bien pensée, rend son utilisation vraiment simple et intuitive. Son temps de mise en route est un record : moins d’une seconde. On a rarement vu ça.
Pour le son, ce modèle possède la fonction DSEE HX qui compense la compression numérique des mp3, améliorant donc la qualité sonore de vos morceaux préférés, surtout au niveau des hautes fréquences. Le résultat est surprenant : un spectre sonore plus étendu et plus uniforme, comme reboosté.
Si les informations de vos musiques sont bien remplies, vous avez même accès à un choix par date création du titre ! Parfait pour vos soirées blind-test !
Compatible PC et MAC, on profite de nos tubes préférés avec une déconcertante facilité et grâce à sa fonction Bluetooth, on utilise facilement le même casque que pour notre smartphone.
Malgré toutes ses qualités de design et de rendu sonore, le walkman de Sony a bien quelques défauts. Et ils se concentrent surtout autour du mode de verrouillage des touches. Il peut s’allumer même si vous l’avez bloqué (sans se mettre en lecture si vous êtes sur des mp3) et le contrôle du volume n’est pas accessible une fois le bouton poussé. Dommage.
A noter qu’il n’y a pas de RDS sur la fonction radio, un comble quand beaucoup de produits de gamme inférieure le propose.
En tout cas ces, deux produits, associés l’un à l’autre, nous offrent un duo parfait qui remet en valeur nos tubes préférés pour des trips piétons profitant des rues de Paris, en mode solo.
Nous on l’adore, surtout nos oreilles en fait !
Événement annuel de notre capitale depuis 111 ans, la Foire de Paris 2015, qui accueille le cultissime Concours Lépine, a ouvert ses portes ce 29 avril à Paris Expo Porte de Versailles. Y rendre une visite en solo ou en famille, c’est pénétrer au coeur un événement qui est, durant quinze jours, le plus grand centre commercial d’Europe avec ces milliers d’exposants. Dernières nouveautés pour geeks, saut dans le vide, boîte coquine vont cette année enthousiasmer les plus aguerri(e)s des visiteurs.
L’occasion nous a été donnée de parcourir ses allées en compagnie de quelques blogueurs et de la directrice de cette institution : Carine Préterre. Nous vous faisons partager quelques-unes de nos découvertes.
Paradis du geek (et de la geekette) ! Difficile de ne pas craquer sur ces statuettes qui accrochent l’oeil créées par Photo figurine.
Elles sont, en fait, de troublantes impressions 3D de vous, de nous ! Ce nouveau mode de création, qui peut être mis au service d’avancées technologiques à la pointe est ici à votre service, histoire de vous immortaliser. Idée simple, mais il fallait y penser.
Après la pose devant 64 appareils photos (soit 1 milliard de pixels tout de même), il faudra compter trois jours de travail pour détourer à la main (la technologie est moins précise que l’oeil humain) le modèle et dix heures pour l’imprimer. Le rendu est surprenant de réalisme, un vrai mini-moi. Un bonne idée pour un anniversaire ou votre mariage : remplacer la banale figurine en plastique sur la pièce montée par les doubles des deux mariés. C’est l’innovation du moment !
Le fameux Concours Lépine s’ouvre aux nouvelles technologies.
Et c’est à se demander pourquoi le bon vieux flipper mécanique n’avait pas encore trouver son remplaçant numérique. Il suffisait juste de patienter un peu.
Celui de R-cade est dédié principalement aux particuliers et aux comités d’entreprises. Et cette version numérique n’est pas juste un flipper. Vous avez la possibilité de parcourir l’histoire des jeux d’arcade et de flippers des années 80 à nos jours : des milliers de jeux en mémoire ! Un vrai bijou pour geek en puissance et fan de jeux !
Dans cette même catégorie, un nouvel instrument numérique fait son apparition : l’accordéon. Si vos cloisons sont trop fines, il vous suffira de brancher un casque sur ce modèle électronique pour ne plus importuner vos voisins durant vos répétitions ! Imaginez le bonheur des ceux d’Yvette Horner qui ont du souffrir des années durant.
Dans la section “classique” du concours Lépine, cette idée d’éolienne verticale pouvant alimenter divers mobiliers urbains est des plus séduisantes. Anne Hidalgo cédera-t-elle à cet appel du vent pour équiper nos rues et nos places ?
Good food ! Parmi les 3 000 ateliers proposés par la Foire de Paris dans tous les domaines, les ateliers culinaires vont certainement cartonnés.
Lors de notre visite, la démonstration était faite par Nathalie Nguyen et Eric Gerona de l’association « Flagrant Délice » à Bordeaux (et candidat Masterchef). Les deux chefs remettaient à l’honneur les épinards, sous l’égide de Food Invaders.
Durant cette quinzaine, s’y succéderont aussi Yves Camdeborde, et Vincent Catala. Sous oublier le 8 mai prochain baptisé journée de la Gastronomie. Au programme : ateliers, animations et Norbert Tarayre super star (ancien candidat de Top Chef) remplira de sa gouaille les allées de la Foire pour des défis avec les visiteurs.
Pour bien continuer notre périple et avant quelques sensations fortes, allons déguster sans attendre les Pasteis de Nata chez Lusodeli. Ce succulent dessert portugais est bien connu des parisiens grâce à l’adresse du Marais : Comme la Lisbonne.
Sports et émotions L’équipe organisatrice de la Foire de Paris n’est pas en reste en matière d’idées nouvelles et d’attractions. Cette année, c’est Free Jump pour ceux qui aiment prendre de la hauteur : une plateforme de saut dans le vide. L’acteur Tomer Sisley nous a présenté en personne son projet, créé avec le cascadeur Jérôme Gaspard.
L’idée est née des différentes cascades que l’interprète de Largo Winch a effectuées. L’envie de faire profiter au grand public de ces sensations uniques (et pour certain(e)s addictives).
Mais ce système, comme le précise l’acteur, peut servir aussi aux professionnels, comme les artistes de cirques, pour tester de nouvelles figures sans danger. Présentées ici en taille réduite, due à la hauteur sous plafond, les plateformes s’élèvent normalement de 7 et 10 mètres : de quoi facilement vaincre son appréhension du vide, si on arrive à faire le premier saut. L’installation est présente à l’année dans l’Xtrem Park du Circuit du Castellet (83) et dans le Sherwood Park, Viarmes (95).
Un petit selfie avant la chute ?
Détente et concours
Un concours de selfie est organisé chaque jour. Pour y participer, c’est tout simple !
Tous les jours à 14 h un thème est dévoilé : Selfie “détente”, Selfie “bricolo”, Selfie “summer”…Postez votre photo en commentaire du post sur la page Facebook, de la Foire ou tweetez-la avec le hashtag #icicestfoiredeparis + hashtag du jour.
A 17 h, les résultats sont publiés et si vous faîtes partie des gagnants, le lot est a retirer avant de partir directement à l’espace VIP.
En bref : 200 000 mètres carrés, 3 500 exposants, 120 spectacles et concerts, 575 000 visiteurs. La Foire de Paris est sans conteste l’événement idéal pour découvrir, flâner, tester et craquer dans les 5 univers qui vous sont proposés : Maison & habitat, Métiers d’art & culture du monde,Vins & gastronomie, Beauté & bien-être, Loisirs & vie pratique. De quoi faire aussi le plein de conseils avec les pros.
Attention un dernier avertissement pratique : sur la Foire de Paris, le délai de réflexion de sept jours ne s’applique pas pour vos achats.
Mais pour les Pasteis de Nata, il n’y en a nul besoin !
FOIRE DE PARIS
Du 29 avril au 10 mai 2015
Tous les jours de 10 h à 19 h
Nocturne le 8 mai jusqu’à 22 h (pavillon 3 et 5.2) pour la Journée de la gastronomie !
Le 2 mai : journée bretonne
Paris Expo Porte de Versailles
1 Place de la Porte de Versailles
Paris 15e
Un petit coin de paradis, un appartement Haussmannien avec jardin privatif, une chef en cuisine et des cocktails, c’est bien ce que propose Cointreau Fizz à un petit groupe de privilégiés. Si tu as besoin d’un lieu unique pour une fête unique entre le 1er et le 6 juin prochains, lis attentivement la suite…
Cointreau a déniché l’appartement par excellence, en plein cœur du 10éme arrondissement, nouveau quartier d’élection de la Parisienne, pour une soirée unique ! L’appartement Cointreau Fizz Privé invite vraiment à la détente. Une fois la porte franchie, vous avez le choix entre l’espace bar, le coin repas avec sa cuisine ouverte et le spacieux salon en rotonde qui accueillera agréablement votre petite équipe d’amis.
C’est d’ailleurs à 10 (8 minimum) que vous pourrez profiter de la jolie terrasse arborée en languissant dans la douceur des soirées d’été, coupés du tumulte de la ville.
Une ambiance chic et décontractée.
Si vous avez la chance de faire partie des sélectionnés, dès votre arrivée un barman vous fera découvrir les différents cocktails créés autour des fruits de saison et ce tout au long de la soirée.
Afin d’accompagner ces breuvages, Jennifer Taïeb (candidate de Top Chef 2014) a conçu un menu spécial en accord avec les saveurs des cocktails.
Elle sera d’ailleurs sur place pour cuisiner ces plats à savourer autour d’une table élégamment décorée par We Love Art.
Le menu de la soirée Deux entrées en accord avec les notes d’agrumes
Mini club cream cheese, agrumes et herbettes
Saumon gravlax rafraichi à la crème de laitue, légumes du marché en condiments.
Un plat à la délicate fraîcheur orientale
Volaille contisée aux herbes fraiches, tuile de pain au cumin et harissa de carottes
Un dessert léger et gourmand qui s’accordera avec toutes les envies
Fruits d’été, crème double et meringue
Une fois le diner terminé, vous aurez la possibilité de participer à l’atelier de création de cocktails avec des fruits frais de saison. Votre boisson inventée, vous pourrez la siroter tranquillement assis sur la terrasse, dans la lumière tombante du jour.
Un petit plus technique vous est offert : être le DJ de votre private party à partir des morceaux de votre smartphone.
Depuis le 8 avril 2015, vous pouvez vous rendre sur le site Cointreau Fizz Privé afin de vous inscrire à la newsletter.
L’ouverture des réservations pour ces 6 soirées se fera dès le 11 mai.
Moyennant 30 € par convive : repas et boisson à discrétion.
Un seul mot d’ordre : premiers inscrits, premiers servis ! On en salive.
Les soirées de présentation de nouveautés mode, beauté, conseils pour les girls sont légion. Alors quand deux redoutables blogueuses et créatrices d’agence, Sheily et Nathalie nous ont convié à la soirée Men in the city #estrorymen, on a sauté sur l’occas pour vivre enfin notre rêve de blogueur : une soirée 100% mâle. Et entre nous, rien de tel que des filles pour bichonner des hommes comme nous en quête constante de découvertes trendy, dans une ambiance cosy, svp.
C’est dans un loft design du 11e arrondissement que les e-Parisiennes, adorables Sheily et Nathalie, nous ont fixé rendez-vous ce jeudi soir. Dress-code : le noeud-pap, adressé à chaque convive, qui a donné des idées très fantaisie à certains, en l’occurrence le garçon qui se cache derrière Parisian Touch.
Cet attribut mode et malin, nous l’avons très vite troqué contre ce qui se révèle être le coup de coeur de cette rencontre. Crée par la petite boîte Gustave & Cie : le noeud-pap en tissu et métal.
100 % made in France, voire même 100 % Bourguignon, la fabrication de ce noeud fait appel à quatre entreprises différentes. Avec les 25 modèles proposés, cet accessoire, bientôt personnalisable, fera de vous l’homme le plus chic et le plus hype de vos prochaines soirées.
Côté technologie, l’un des leaders de l’accessoire informatique, Logitech, nous présente : le K480. Mais qu’est-ce que c’est ?
Un clavier qui permet de connecter simultanément, en Bluetooth, trois appareils : tablette, ordinateur et smartphone. Son petit plus : vous pouvez basculer de l’un à l’autre grâce à une mollette.
Vous écrivez un mail sur votre tablette, un SMS arrive. Hop, en un petit geste vous y répondez directement avec le même clavier. Plus besoin de courir tout l’appartement pour trouver votre mobile et idéal quand vous bossez de chez vous devant Top Chef ou The Voice.
La bande-son de la soirée provenait de cette enceinte design posée discrètement sur le piano à queue du loft. Un son d’une grande qualité pour un si petit appareil. (un blogueur est caché dans la photo ci-dessous)
Une soirée Men ne serait pas totale sans un peu de sport. Et nos drôles de girls savent bien que la vie de blogueur est parfois très remplie, laissant peu de place pour la séance d’exercice hebdomadaire.
Elles ont donc fait appel à Julie Ferrez, coach d’un de nos présidents de la République et chroniqueuse dans l’émission Télématin, pour nous présenter la ceinture d’électrostimulation Slendertone.
Nos collègues masculins, comme nous, ne se sont pas fait prier pour faire l’essai de la version abdominale. Moins de volontaires pour le modèle biceps, difficile de grignoter et de prendre un verre avec cet appareillage qui contracte nos petits muscles !
Même si l’on peut être dubitatif avec les appareils de ce type, certains testeurs de la soirée on sentit quelques effets après 20 minutes d’utilisation. Et on serait tout prêt à l’adapter quelques jours pour voir ce qu’ont dans le ventre ces électrodes collantes.
Après tous ces efforts, rien ne vaut un peu de détente. Car l’homme du XXIe siècle adore se faire bichonner. On fonce donc directement vers le massage du visage effectué par les mains expertes de nos hôtesses Clarins.
Herbe de bison, gymnéma et baies de goji bio sont les secrets des nouveaux soins Gel revitalisant et Sérum défatiguant Yeux. De quoi redonner bon teint après des excès noctambules ou au quotidien.
Les e-parisiennes ont su nous conquérir, nous les boys, avec cette soirée sobre et des produits chics, tendances et utiles. Un programme de réjouissances bien mené qui laisse aussi bien le temps aux présentations de produits qu’au dialogue de fond entre blogueurs.
A vous de les adopter, ou de le faire adopter à votre moitié masculine.
Reste une question qui n’a pas réellement trouvé de réponse concrète lors de la soirée. A un de nos confrères blogueurs, une question cash lui a été posée : “est-ce qu’être blogueur, ça aide à pécho ?”
La réponse : “oui et non” ne nous a toujours pas convaincu.
A suivre de près : l’Agence Willina – Les e-Parisiennes