Bouche à Bouche, voilà un festival qui réunit les trois piliers de notre culture et quotidien : la bouffe, la zik et les fringues ! 3 domaines qui attirent un max de likes sur Instagram. C’est au blog Stylistic.fr que l’on doit l’initiative de ces trois jours de rencontres live au ChaCha Club, du 15 au 17 avril et ce joyeux mélange qui promet des rencontres incongrues !
Derrière les fourneaux, vous succomberez aux talents de trois anciens candidats bogosses de l’émission Top Chef au style tranché : Yoni Saada des Miniatures et Bagnard, Juan Arbalez du Plantxa(chroniqué sur le blog) et Denny Imbroisi, ancien sous-chef du Jules Vernes.
Chacun mettra sa touche toute personnelle pour des instants finger-food à prix abordables (de 8 à 10 €), avec gros risque de demandes répétées de selfies entre deux fournées.
Au cour de ces soirées, la team de Stylistic.fr vous fera découvrir ses coups de coeur fashion avec trois grandes thématiques : accessoires vintages et modernes, chaussures unisexes, vêtements lookés street art et musique. De quoi se faire un dress-code malin pour affronter le printemps.
Côté musique, le Festival Bouche à Bouche (on vous a dit qu’on adorait ce nom ?) vous gâte avec trois groupes ou artistes différents par soir.
Voici le programme !
Mercredi 15 avril
– Fuel / Damien Keyser
– Casablanca Drivers
+ DJ Set : Naive New Beaters
Jeudi 16 avril
– Le Noiseur
– Janice in The Noise
+ DJ Sets : line-up by Raisonance
Des cuistots au top, des sapes tendances et des nouveaux talents sur scène : que de bonnes raisons pour passer une (ou plusieurs) bonne(s) soirée au ChaCha Club.
Eh les amis : c’est l’entrée libre en plus !
Festival Bouche à Bouche Les 15, 16 et 17 avril 2015 à partir de 19h
La prestigieuse maison Petrossian rive gauche (Boulevard de la Tour Maubourg) et rive droite (Boulevard Courcelles) vous propose d’agrémenter votre soirée de Saint Valentin, exceptionnelle, avec un coffret love décliné en vert et rouge (exclu boutique).
En cette période de fête des amoureux, les propositions food sont légion. Des chocolats en forme de coeur à la box pour une soirée ultra-romantique, sans compter les nombreux dîners possibles dans une gamme de restaurants inouïe, le prince charmant pourrait ne plus savoir où donner de la tête. On le comprend, c’est notre lot chaque année. Et comme vous, nous n’avons pas les moyens de nous offrir un concert très très privé avec mister Love, Julien Doré, pour faire craquer notre belle.
Le coffret Saint-Valentinde Petrossian, c’est s’offrir un plaisir à deux, sublime et délicat, pour une soirée dégustation qui restera gravée dans vos papilles.
Pour celles et ceux qui n’y ont pas encore succombé, le caviar dégusté en toute simplicité, à même la cuillère ou palette en nacre, est un moment aussi privilégié qu’intense en goût.
Un seul conseil : n’écoutez pas les grincheux qui vous disent ne pas aimer. Tous les goûts sont dans la nature et chaque espèce d’esturgeon peut surprendre, déconcerter par sa saveur inimitable.
Nous aussi, nous avions un apriori avant notre toute première fois.
Et notre plus grand regret a été de ne pas y avoir goûté plus tôt.
Le gros plus : goûtez avant de succomber.
Vous pensez n’avoir aucune affinité avec le caviar ? Petrossian se fait un point d’honneur à réveiller votre palais. Quand vous poussez les portes d’une boutique de l’enseigne, vous êtes invité(e) à une dégustation sans obligation d’achat.
Bon à savoir : pour la livraison de votre coffret (France et Europe) un emballage isotherme vous garantit pleine la fraicheur de votre produit tout au long de son acheminement.
Il y a beaucoup d’autres propositions à découvrir sans oublier le menu Saint Valentin au Restaurant Le 144 pour un tête-à-tête gastronomique concocté par le chef Julien Viollet avec caviar sur blinis, Saint-Jacques, canette et pétales de roses.
Petrossian
Coffret Saint-Valentin à partir de 123 € avec 2 boîtes de 30 grammes de caviar Alverta Royal.
A retrouver en boutiques :
18 Bd de Latour-Maubourg, 75007 Paris
106 Bd de Courcelles, 75017 Paris
Drugstore Publicis, Lafayette Gourmet
102 Cours Lafayette – Halles de Lyon 69 003 Lyon
Ou à commander directement sur le site de Petrossian
La maison star du caviar a ouvert sa deuxième boutique parisienne, rive droite, dans le quartier de Courcelles. L’occasion pour notre équipe de découvrir cette adresse gourmande de la gastronomie accueillie par Maxime, le maître des lieux.
Première surprise : tous les produits de la boutique peuvent être goûtés. Que vous soyez clients habitués ou que vous poussiez la porte par curiosité pour la première fois.
Et il ne faut pas être intimidé par la renommée de la maison Petrossian.
Saviez-vous que cette nouvelle boutique à attirer la clientèle de la Rive Droite ? Certains clients qui ne franchissent que très rarement la Seine n’avaient jamais visité la boutique de la Rive Gauche. Tels ceux de Neuilly qui se rendent désormais à cette adresse.
Mais attention si vous souhaitez déguster les différents caviars, il vous faudra respecter les quelques consignes : pas de chewing-gum, de café ou de cigarette dans l’heure qui précède. Maxime, notre hôte, est intransigeant sur ce sujet et il a de très bonnes raisons.
Chez Petrossian, maison familiale depuis 1920, les collaborateurs ont entre 10 et 15 ans de métier, en moyenne. On comprend d’autant mieux leur envie de nous faire partager des saveurs uniques.
La production de caviar dans le monde Ceci étant précisé, éliminons les clichés sur le caviar.
La production mondiale de cet or noir étant encadrée par le CITES (organisme sous contrôle de l’ONU), il est impossible de trouver du caviar russe (depuis plus de 15 ans) ou Iranien sur le marché.
Le commerce du Caviar dépend uniquement de l’élevage et ces pays n’ont pas encore retrouvé leur potentiel de production.
Tous les pays du monde peuvent faire élevage d’esturgeon. Et quel que soit son origine, vous pourrez facilement trouver celui qui vous correspond en termes de goût. Info insolite, dans les tests à l’aveugle, c’est le caviar chinois qui arrive en tête. Surprenant.
Pour la France, les débuts de la production du caviar remontent à un échange avec la Russie de truites françaises contre des esturgeons russes.
Pourquoi le Caviar est-il si cher?
Il faut patienter au minimum 7 ans pour que l’esturgeon produise ses premières poches de caviar, mais la moyenne est de 13 à 14 ans. Rappelons que ces petites billes noires sont des œufs, et qu’une poche d’œufs d’esturgeon ne dépasse pas 13% de sa masse.
Le caviar est donc un produit qui demande patience et abnégation de la part de ses producteurs. Il faut des années pour trouver le bon ratio de salaison et de maturation. Et pour garantir une satisfaction optimale à ses clients, Petrossian applique la même charte de qualité à tous ses éleveurs à travers le monde.
L’art du caviar Il existe sept espèces de caviar (Alverta, Baeri, Beluga, Ossetra, Sevruga, Shasseta et Starlet). On vous évitera leur nom latin.
Chacune possède ses propres caractères : taille de grains, couleur, dureté en bouche, origine de production et bien évidement saveur en bouche. C’est sur ces critères que se feront votre choix et s’affineront vos préférences.
Par exemple, le Beluga (le plus connu) avec ses gros grains, fond en bouche. L’Osseta, aux grains plus petits, a une forte saveur noisette, et l’Alverta Royal est plus salé car assaisonné uniquement par le sel marin.
Quand un esturgeon est à maturité, la poche est prélevée et aucun mélange n’est fait avec d’autres poches. Pour garantir la traçabilité du lot, un numéro est apposé que vous retrouvez sur l’emballage de votre achat. Un exemple pour faciliter votre décryptage de l’étiquette.
Ce qu’il faut retenir de cette dégustation, c’est qu’il n’y a pas de bon ou de mauvais caviar. Tout est une question de goût. Mais si vous achetez ce met délicat sur le net, au rabais, vous risquez une grosse déception, la qualité pourra être médiocre ou tout simplement l’offre une belle arnaque.
Ce produit goûteux et rare, qui n’est pas à la porter de toutes les bourses, doit rester un moment d’exception. Les derniers conseils pour en jouir pleinement : prévoir 15 à 20 grammes par personne pour se faire plaisir et le déguster dans les 24 heures après ouverture (si vous arrivez à vous retenir).
La gastronomie Petrossian Petrossian n’est pas une enseigne exclusivement dédiée caviar. C’est aussi un traiteur de renom qui propose des préparations d’exception.
Nous sommes tombés en émoi lors de la dégustation du tarama maison, faisant passer l’envie d’acheter son avatar en grande surface, ou même chez le meilleur traiteur grec du quartier. Fait maison avec uniquement des oeufs de poissons et de la crème, cette préparation rosée fond littéralement en bouche, comme jamais nous n’avons pu en manger auparavant. A découvrir uniquement en boutique.
Arrêtons-nous sur l’autre spécialité de Petrossian : le saumon fumé.
Premier fumeur de ce poisson en France, l’enseigne possède un savoir-faire incomparable. Couleur, texture et goût, on en reste bouche bée.
8 jours de fumage en boutique, au lieu des 8 heures en usine pour la grande distribution, une technique ancienne à la verticale. Résultat : une texture et une saveur inhabituelle pour nos papilles.
Compte tenu de ses différences d’épaisseur le long du filet, le saumon n’est pas fumé de la même façon sur toute sa longueur. On découvre alors des sensations gustatives différentes. Et la coupe manuelle au couteau augmente considérablement les saveurs de cette chaire mordorée.
On n’oubliera pas les autres produits présentés en boutique comme le King Crabe du Kamtchatka ou les différentes poutargues qui nous ont fait saliver.
Plaisir des yeux et plaisir en bouche, la gastronomie façon Petrossian peut aussi être appréciée à l’occasion de votre pause déjeuner avec des formules découvertes, pour quelques euros de plus que dans une brasserie classique.
Mais faire entorse à ces petites économies de temps en temps pour de l’exception, la folie est modérée. Vous ne trouvez pas ?
Un vent doux venant de l’île Maurice souffle dans le patio de l’Hotel Westin Paris- Vendôme depuis quelques semaines. Une terrasse d’hiver inspirée de cette destination exotique a ouvert ses portes pour un hiver revigorant jusqu’à 31 mars 2015.
Exit le marché de Noël de l’année dernière, l’adresse de la rue Castiglione ouvre son espace à un dépaysement plus ludique que réaliste.
Ici, on sirote des cocktails au rhum dont le très original Port Louis servi chaud dans une déclinaison thé lové dans une petite tasse transparente et en version alcoolisé rafraîchi à grands coups de glaçons dans un verre plus large. Notes douces et fruitées rehaussées par des petits morceaux de mangue. Un petit délice.
Chemises fleuries pour l’équipe barmans, serveurs afin d’accueillir aussi bien la clientèle de l’hôtel que les visiteurs d’un soir, pour un afterwork bien pensé.
Et nulle crainte d’être dérangé par les discussions de vos voisins. Les tables sont suffisamment espacées les unes des autres pour vous offrir des petits cocons bien abrités.
Le soir en week-end des sessions de DJ set viennent pimenter le patio en vous transportant un temps vers le dépaysant Westin Turtle Bay de l’Ile Maurice dont les saveurs imprègnent ce décor.
Les petits plus : une cabine photo pour immortaliser vos “vacances” avec choix du décor de fond. L’illusion est totale pour briller auprès de vos amis absents.
Les fumeurs ont aussi leur espace avec des sièges molletonnés, on se croirait dans un chalet.
Et ne pensez pas que pousser les portes de l’hôtel 4 étoiles ruinera votre pouvoir d’achat. Vous pouvez débuter votre soirée avec un sirop de sucre de canne au verre à 9€.
Reste aussi le shoot de rhum pour les plus téméraires.
Bon à savoir : immortalisez votre venue et partagez-la avec le hashtag #colourlifeenergy, vous pourriez bien remporter vos prochaines vraies vacances et des séances de dégustation. Irrésistible !
Avis aux fines bouches et aux palais passionnés de qualité, le boucher 3 étoiles Hugo Desnoyer vient d’ouvrir sa boutique en ligne. Une viande de goût livré partout en France en 48 heures ? On n’y croyait pas non plus et pourtant la fraîcheur est bel et bien au rendez-vous chez vous.
Pour le boucher Hugo Desnoyer qui tient deux boutiques physiques à Paris, la viande c’est d’abord une question de qualité, de maturation et de fraicheur dans l’assiette.
Mais vous vous demandez comment il est possible de livrer ces morceaux de viande haut de gamme en direct chez vous. C’est tout simple.
Comme beaucoup de produits actuellement, les viandes sont conditionnées sous vide, acheminées par un transporteur international. Elles vous sont livrées dans un carton classe contenant un emballage isotherme qui garantit au moins 48 heures de réfrigération, lovées entre deux sacs congelés. Et pour avoir testé le service en avant-première, la commande arrive vraiment bien réfrigérée. Et aucune inquiétude si vous avez manqué le premier passage de votre livreur, la glace tient le coup.
Les petits plus que vous offre ce service inédit ?
Des animaux d’origine qui n’ont mangé que de l’herbe, des produits découpés à la demande et qui sont directement congelables dans leur emballage pour ceux qui sont effrayés par l’échéance de la date limite de consommation.
Une viande haut de gamme et goûteuse en vente sur Internet qui n’est plus réservée aux Parisiens mais livrable partout en France.
Les fêtes de fin d’année sont aussi à l’honneur avec une sélection de produits qui va du chapon de Bresse à la truffe noire, en passant par les pavés de chevreuil et de biche au best-seller foie gras mi-cuit. En précommande sur le site.
Comme tout service garantissant une qualité irréprochable, l’ensemble des pièces en quantité limitée a un coût. Ce n’est pas excessif mais ça change forcément des références d’autres enseignes.
L’Epicerie investit la “Favela chic” le 4 décembre pour le party “Welcome to La Brousse” sous influences africaines. Focus sur ces jeunes artistes inventifs qui créent des évènements autour du graphisme et du design.
Le moins que l’on puisse dire c’est que les membres du collectif évènementiel “L’Epicerie” ont de l’énergie à revendre. Quand on les rencontre on évoque le rôle de chacun au sein de l’équipe.
L’énergique Léna gère avec professionnalisme la communication, tandis que Margaux un bonnet “la sape” vissé sur la tête maitrise l’aspect graphisme. Raki se charge, quant à elle, de la logistique et enfin Adrien, la caution masculine,du quatuor, s’occupe de la technique. Ces quatre-là partagent la même vision de la fête, de l’échange et du partage.
De leur propre aveu, les membres du collectif expliquent que puisque les soirées parisiennes ne ressemblaient pas à ce qu’ils désiraient, ils ont créé avec leurs petites mains travailleuses – et leur talent indubitable – leurs propres évènements avec ateliers de sérigraphie, tatouages, food truck, musique.
Depuis on croise régulièrement l’équipe de L’Epicerie aux Petites Gouttes, le lieu qui a réussi l’exploit de rendre le quartier de La Chapelle très branché. Avec une véritable spontanéité et un enthousiasme débordant les quatre acolytes ne rechignent devant aucun sacrifice pour gagner en notoriété. Ils racontent que l’année dernière ils ont passé des heures entières à fabriquer des chocolats de Noël à leur effigie pour les envoyer à de nombreuses personnalités qu’ils affectionnent tout particulièrement. Leur motivation est telle qu’ils insufflent une énergie incroyable à quiconque les rencontre !
Le collectif a, depuis 2012, posé ses valises dans un lieu impressionnant de Montreuil Le Rooftop studio. Dans cette friche dédiée toute entière à l’art et à la création, L’Epicerie réalise pour ses clients des évènements sur mesure mais aussi des sérigraphies en tout genre (affiches, faire-part, flyers…). Ils précisent d’ailleurs que toutes leurs impressions sont faites à l’encre à eau. Ecologie oblige.
Le joyeux quatuor fabrique actuellement des tee-shirts qui seront distribués lors de la deuxième escale de leur évènement “Welcome to La Brousse” à la Favela chic, un festival aux sonorités africaines.
Ils racontent : “Aux manettes, on se divertira avec la tarantinesque djette Adèle Paris aliasJackie BRWN, et une expo photo de Pierre et Florent“. Amateurs de sapologie, de rythmes endiablés de wax et autres exotismes vous êtes tous et toutes bienvenus le jeudi 4 décembre.
Soirée WELCOME TO LA BROUSSE – PART 2 le jeudi 4 décembre de 18h30 à 3h00 ENTREE LIBRE
à La Favela Chic
18, rue du Faubourg du Temple
75011 PARIS
CONCOURS !
UsofParis vous propose de gagner un des t-shirts de l’Epicerie, des pièces uniques aux couleurs chatoyantes à abhorrer au cours de cette soirée. Pour cela envoyez simplement un mail avec votre nom, prénom et adresse postale (en objet Collectif Epicerie) à : usofparis@gmail.com
CONCOURS TERMINE ! Merci à tous les participants.
Pour suivre l’actu du collectif L’Epicerie, toutes les infos sur le officiel : lepiceriecollectif.com
Jusqu’au 10 décembre, touchez du doigt l’incroyable Table de Teschen exposée exceptionnellement au Musée du Louvre avant sa probable arrivée définitive. Mais avant que cet objet unique et historique trouve une place de choix au sein des collections et pleine lumière, le programme Tous Mécènes fait appel à la générosité du grand public.
Vous avez un coup de coeur pour le style décoratif du XVIIIe siècle, le travail d’artisan et d’orfèvre et une certaine curiosité pour les pierres dures ? La Table de Teschen ou Table de la Paix pourrait répondre à tous vos goûts. Le Musée du Louvre propose à tous et toutes de pouvoir participer à l’acquisition de cet objet exceptionnel.
Son nom n’est pas forcément le plus engageant, on vous l’accorde.
Il fait référence à une petite ville allemande où a été signé en 1779, un traité de paix suite à la guerre de succession de Bavière survenu un an plus tôt. Une guerre surnommée aussi la guerre de patates.
La France et la Russie sont intervenues pour qu’une fin rapide de ce conflit soit négociée.
En tant que médiatrice, la France – en la personne du Baron de Breteuil, ambassadeur à Vienne – a eu droit à un présent au caractère exceptionnel.
Cette table a fait sensation à Versailles et a eu, quelques siècles plus tard, les honneurs d’une exposition à New York.
Pourquoi cet objet est rare ?
Jamais aucun cadeau n’avait été offert et ne sera offert lors de la signature d’autres traités.
D’autre part, c’est la première table réalisée en mosaïque de pierres dures ; des pierres en provenance de mines de Saxe. Ces mines appartenaient à l’époque au créateur de cette pièce, Johann Christian Neuber, grand orfèvre de la cour de Saxe et également conservateur des collections royales.
C’est un véritable cabinet de curiosités avec ses pierres dures, ses cristaux de roche, ses éléments de bois pétrifié. L’ensemble des éléments est numéroté et consigné dans un cahier manuscrit, conservé dans un des tiroirs de la table.
Les détails sont d’une telle perfection qu’il faut contempler plusieurs minutes pour en venir à bout.
Ce qui fait de cet objet non plus un meuble mais un véritable “bijou sur pieds”, comme nous le confirmera l’une des conservatrices du Musée.
Pourquoi lui rendre visite ? Pour vous assurer, si vous aviez un doute, du caractère exceptionnel de cet objet. Vous pourrez en profiter pour découvrir les nouvelles salles d’exposition du département des Objets d’art. Des salles qui ne vont pas être tout de suite prises d’assaut et que vous pourrez donc découvrir sans trop de foule. Le bonheur !
Nul besoin d’être multimillionnaire pour participer à son niveau à l’acquisition de cette pièce. La campagne grand public s’élève à hauteur d’un million d’euros et n’a pas de montant minimum.
Les dons de 10 ou 20 euros sont les bienvenus, comme les plus importants de 100 ou 500 euros, chaque don étant déductible des impôts, à hauteur de 66%.
En remerciement, le Musée du Louvre offrira des accès à la Table de Teschen une fois exposée dans la plus belle lumière qui soit. Selon le montant vous pourrez faire sa connaissance un mardi, jour de fermeture du musée. Et pour l’avoir fait, c’est grisant de faire une visite loin très loin de la foule.
L’exposition est prolongée jusqu’au 10 décembre !
La campagne de soutien se termine le 31 janvier 2015.
Toutes les informations sur le site : www.tousmecenes.fr
Qui n’a jamais dit, dans un instant de folie pure : “ton enterrement de vie de jeune fille (ou de garçon), finger in the nose !”, “un bar privatisé pour ton bithday ? No problem !”… Sans penser une minute que, comme toujours, la galère arrive après. Plus de panique, nous avons découvert un site malin qui va donner un coup de fouet à vos soirées : SnapEvent.
Pour nous présenter les atouts de ce service indispensable pour tout parisien toujours overbooké, le rendez-vous nous a été fixé dans le 10ème arrondissement de Paris, à deux pas de la Gare du nord, un mercredi soir.
Un spot plutôt hallucinant : terrasse avec une vue à 360° sur Paris, une ambiance musicale assurée par Igit (ancien candidat de The Voice), un multiple choix de services traiteurs (sushis, canapés, mini burger et autres délices) et un bar trendy pour nous réchauffer. De quoi être bluffé !
Dédiée à l’organisation de soirée entre 20 et 100 personnes, en moyenne, cette agence web propose 300 lieux dans Paris pour les particuliers et les entreprises (elle a déjà quelques clients de renom dans son escarcelle).
Pour résumer le concept, on pourrait dire que SnapEvent se rapprocherait du site Airbnb, mais pour un évènement entre potes ou un afterwork dans un décor décoiffant.
Vous simplifier l’organisation de votre soirée, c’est le crédo du site.
Les choix : un lieu, souvent iconoclaste (galerie d’art, atelier d’artiste, salon de coiffure, bar, appartement, etc.), un service traiteur et une ambiance musicale, ou non. Le tout au choix.
Question prix, le budget de base est à 300 € !
Les propositions de services de Snap Event vont bientôt évoluer. Vous n’aurez bientôt plus aucune contrainte pour la préparation de vos soirées ou de vos évènements pros. Avec des options selon vos affinités : besoin d’un traiteur car vous avez déjà le décor, ou inversement, un lieu, vous avez votre pote cuistot dans la poche…
Avec cette liberté de choix, Snap Event risque bien de s’imposer rapidement comme le moteur de création de vos soirées d’exception.
Alors si vous cherchez un lieu unique ou une solution de cocktail, pour une soirée unique, avec vue sur les toits de Paris, allez vite jeter un oeil au site de SnapEvent. Il pourrait bien vous faire aimer encore plus de vos amis et collègues de boulot.
Il y a quelques jours, la Fnac fêtait ses 60 ans en proposant une série de rencontres originales avec des stars internationales (Lenny Kravitz, Kylie Minogue), des groupes dans le vent (Brigitte, The Do…) des écrivains charmeurs (Jean d’Ormesson, Eric-Emmanuel Schmitt) et un jeune humoriste (Norman).
Parmi cette impressionnante sélection d’événements très très privés, nous avons pu partager un tea time en petit comité avec Amélie Nothomb dans un des salons de la pâtisserie Ladurée, rive gauche.
Ce mercredi après-midi, au centre d’une pièce feutrée à l’étage de la rue Bonaparte, assis sur un canapé noir l’auteure chapeautée célèbre la sortie de son 23e roman Pétronille, en recevant un groupe de privilégiés ayant gagné leur sésame pour cette rencontre intimiste. Amélie Nothomb égale à elle-même prend connaissance de ses convives, en reconnaît deux – se souvenant de leur prénom et des derniers échanges qu’ils ont eu ensemble. Elle garde toutefois une oreille attentive pour les nouveaux visages plus discrets.
Très vite les questions débutent pour se concentrer sur son écriture, son univers, sa capacité saisissante de création.
“Je suis une mère de famille nombreuse” Tout d’abord, une partie de l’assemblée est surprise quand l’auteure annonce être en cours d’écriture de son 80e livre. Pour elle, “écrire en pensant au lecteur serait une démarche de séduction”, avant d’ajouter “j’écris en majorité des livres qui ne sont pas lus”. Parmi ceux-ci, on apprend que deux d’entre eux seraient des romans “historiques” : l’un se déroulerait au 1er siècle après JC à Éphèse (manuscrit refusé par son fidèle éditeur Albin Michel) et l’autre à la préhistoire.
Malgré leur non-publication, ces livres sont “mes enfants, je les aime tous ; même si ils sont laids et s’ils sont des monstres”. Ces derniers sont déposés dans des boîtes à chaussures sans plus aucun espoir de connaître la lumière, comme leurs illustres frères : Hygiène de l’assassin, Métaphysique des tubes…
Après l’ “accouchement” de tous (ces livres), l’impossible Amélie ne marque pas de temps d’arrêt : “je ne m’interromps jamais, il ne faut pas laisser cicatriser la plaie”. Ce qui la met enceinte, c’est des petits riens, comme une discussion dans un bus, toutefois elle avoue ne pas avoir assez de substance en elle pour pouvoir produire tout ce qu’elle écrit. L’inspiration viendrait-elle de plus haut ?
La seule pudeur qu’elle éprouve, c’est celle d’être observer en train d’écrire, avec ses “vêtements venus du Japon qui ne sont pas élégants mais chauds”. Elle décrit son activité quotidienne (4 heures minimum par jour d’écriture) comme une “fuited’eau lente et continue, c’est fastidieux !” Alors quand une caméra vient se pencher sur son épaule pour la regarder écrire, elle s’accorde un moment de “pure fiction” par le biais d’une écriture automatique. Ce jeu avec l’image peut parfois donner des “résultats rigolos”.
Au cours de l’échange, des merveilles sucrées font leur apparition servies sur des plateaux. La nouvelle maîtresse des lieux ne résiste pas au charme d’un chou tout chocolat, pour accompagner son thé.
“A l’intérieur de moi, c’est une engueulade continuelle !” Nous n’avons pas résisté à l’envie de savoir ce qu’elle pouvait éprouver devant des séries télévisées cultes. Elle ne citera qu’une seule référence – malgré les nombreuses sollicitations de ses proches à en voir plus – Desperate Housewivesqu’elle trouve très bien écrite. Malheureusement le visionnage “provoquait en moi une irritation, comme des chips. C’est bon mais irritant. C’était au final une expérience désagréable”.
Et son rapport aux photographes avec qui elle collabore notamment pour ses couvertures de livres ? “Chaque photographe demande des choses différentes. L’expérience peut être aussi bien heureuse qu’insupportable, courte que d’une longueur insurmontable. Je me souviens de Jean-Baptiste Mondino, un être vulgaire qui m’a tutoyée dès que je suis arrivée et pourtant passionnant.
Je tentais quelque chose dans la pose, face à lui. Il m’arrête et me lance : “Qu’est-ce que tu fais ? Donne-moi rien, reste vide !La séance a duré 5 minutes et c’est sans doute l’un des meilleurs résultats.”
“J’adorerais que mes enfants survivent à ma mort !” Nous abordons également les nombreuses rencontres avec ses lecteurs, que l’équipe du Petit Journal aime tant immortaliser lors du Salon du Livre Porte de Versailles.
“Le moment de la dédicace est ambigu. On ne sait pas précisément ce que veut l’autre. Parfois, certains lecteurs veulent aller plus loin. Il y a de vraies amitiés, comme il y a des ennemis aussi parmi mes lecteurs”
Et quand nous lui demandons son secret pour se souvenir aussi bien des prénoms et des vies de ses correspondants, la réponse est simple : “j’ai une mémoire de l’émotion.” Ce qui ne l’empêche pas d’avoir des blocages, des blancs et d’oublier le prénom de certains, “un drame !”
Quel est l’effet de ces grands moments de communion avec le public ? “Je suis comme électrisée pendant une dédicace. Et quand j’en sors, je peux piquer du nez au bout de 20 minutes.”
Cabotine, elle confesse n’avoir que peu d’espoir quant à la vie possible de ses livres après elle, tout en enchaînant sur une autre pirouette : “Tout m’intéresse, même de mourir. Je m’octroie un luxe, celui d’être assassinée par sa propre créature.”
Nous avions perdue de vue Amélie Nothomb, n’osant plus l’approcher, certainement à cause du phénomène de foule qui nous épuisait avant même d’arriver jusqu’à elle.
La retrouver fidèle à elle-même, incroyable de fantaisie nous a l’effet d’un détonateur. Notre challenge est qu’elle se souvienne aussi de notre prénom pour notre prochaine rencontre.
Amélie Nothomb, nouveau roman Pétronille
Éditions Albin Michel
Les moyens de transport ne manquent pas dans la capitale. Velib pour avoir les mollets au frais. Autolib et le délicieux ou terrible parfum laissé par l’occupant(e) qui vous a procédé, 2CV ou joue-la comme pépé avec l’incomparable sonorité et les amortisseurs tape-cul et pour finir Uber, les rues de Paris à travers des vitres teintées, bobo à mort. Avec Paris Balade redécouvrez la ville autrement.
Avez-vous déjà essayé le confort d’une Mercedes 280 SE ? Un modèle de 1966 mais voiture conçue en 1970 aux sièges molletonnés, à la direction assistée (oui oui), à la radio FM (un vrai luxe à l’époque), sans oublier le must : le téléphone à porter de main entre les sièges avant. Tout ce confort était en option et donc avait un prix. Imaginez la facture honorée par le premier propriétaire de la voiture qui l’a achetée à un concessionnaire sur les Champs Élysées.
Et que signifie le E ? C’est le petit plus pour rappeler que ce modèle est luxe.
Ce terrible engin classe et assez incroyable n’est, aussi surprenant que ce soit, qu’une 2ème main, en trouvant toute l’attention de Stoyan.
Passions d’une vie, les vieilles voitures ont décidé de la reconversion de ce trentenaire – enseignant en thermodynamique de son état – ça ne s’invente pas.
Il a eu l’idée de partager ce goût immodéré pour les vieilles cylindrées en parfait état avec le plus grand nombre. Avec Paris Balade, Stoyan décrit avec autant d’entrain les multiples détails de sa voiture que les petites et grandes histoires de la ville qui se redéploient devant nos yeux.
Au cours de la visite, qui dure une heure, de l’Hôtel de Ville à la Butte aux Cailles avec un petit détour par la Place des Vosges, notre guide nous dévoile ses anecdotes sur Victor Hugo en passant devant Notre Dame et une révélation, en passant le quartier St Michel, nous présente la première HLM de Paris et l’origine des Gobelins.
De nos fenêtres, on peut contempler aussi, au feu rouge les créations des street artistes dans le 13e comme Obey et C215.
Mais notre guide n’omet pas pour autant de préciser que le design de notre voiture est français : une création de Paul Bracq. Ce dernier coule une retraite heureuse en remettant en état des voitures anciennes à Bordeaux avec son fils.
Deux autres modèles sont au choix, pour ceux qui ne croiraient pas aux vertus des voitures allemandes : la Peugeot 404 – qui est le premier choix des adeptes de cette balade en voiture de collection – et les plus aventureux pourront aussi choisir une Lada 1300 S, so vintage !
Et ne croyez pas, comme nous, que ce sont exclusivement les touristes étrangers qui aiment ces virées dans les rues de la capitale. Les Franciliens en raffolent et correspondent à plus de la moitié des réservations !
Pour surprendre ces derniers, plusieurs parcours sont proposés : Rive Gauche, Rive Droite, Balade gourmande avec dégustation, le Grand Paris, à partir de 26 euros par personne. Enfin, passionnés de châteaux, vous avez la possibilité de remonter le temps à bords de ces véhicules d’exception en prenant la direction du Château de Versailles, de Fontainebleau, de Vaux le Vicomte et quelques autres, pour une excursion tout confort et inoubliable…
Le plus : Econonimez 10 euros en réservant votre balade en semaine !
Parfait pour épatez sa belle à la sortie du boulot.
Pour réserver votre virée en voiture vintage un seul site : www.parisbalade.fr