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CUTLOG PARIS 2013 Art Fair @ l’Atelier Richelieu : famous people & beautiful anonymous – Fiac Off

5e édition de CUTLOG Foire Off 2013.
Exit le Palais de la Bourse, les galeries parisiennes et internationales présentent leurs artistes phares à l’Atelier Richelieu, un hôtel particulier en fond de cour, sur 2 niveaux.

Lors de la soirée d’ouverture, l’équipe a été particulièrement attentive à relever tous les visages connus.
Les personnalités, non pas croisées dans la foule de visiteurs, mais plutôt entrevues au coeur même des différents stands des galeries.

Et le premier guest à s’être invité à cette nouvelle édition de la foire, n’est autre que le personnage de bande dessinée belge qui s’exporte le mieux.
Nouvelles aventures de l’intrépide reporteur croqué par l’artiste Gustavo Charif.
Ici un détail de la toile Narco Tintin.

Autre référence, cette fois à une icône du rock: Beth Ditto du groupe Gossip.
Prise à son propre jeu de nouvelle icône de la pub.

 Que serait une foire d’art sans une nouvelle interprétation du chef d’oeuvre de Leonard de Vinci: Mona Lisa.
Ici la Joconde au sourire impeccable s’offre une nouvelle. Redécouverte du mythe, devenu étrangement contemporain.

Notre oeil a été porté les séquences cinématographiques de quelques chef d’oeuvre d’Hitchcock de la française Aurélie Bauer.
Ici Kim Novak, la blonde fatale de Vertigo.

 Plus troublant encore est de se retrouver faces à face avec le Président Russe.

Nous ne pouvions pas manquer d’évoquer la beauté de délicieuses inconnues, parmi les centaines d’oeuvres exposées.
Deux d’entre elles nous ont particulièrement bluffés.
La première, Hélène, peinte par l’artiste palestinien Shadi Al Zaqzouq.
L’artiste, ce soir, est présent à quelques pas de son oeuvre. La tentation serait de lui demander plus sur cette femme.
Mais le mystère peut donner encore plus de force à une oeuvre.

 La seconde inconnue se perd dans une mosaïque de pliages de Julie Cockburn.
Elle en a perdu son identité au passage. Pas de prénom pour tenter d’inventer une histoire.
Une seule mention, White Dress.

 

CUTLOG Paris 2013
du 24 au 27 octobre

Atelier Richelieu
60, rue de Richelieu
75002 PARIS

de 12h à 20h

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Rencontre avec Florian Dach, lauréat Design de Launching People et son mentor Matali Crasset

La première édition du programme Launching People lancé par Samsung a été l’occasion de célébrer 4 domaines de création : le design, la photo, l’entreprenariat et la cuisine.
Plus de 1 750 personnes ont participé à ce grand appel à projets ayant pour but un soutien logistique et financier pour les idées les plus originales et ambitieuses.

Notre équipe a choisi son duo de créateurs lors de la soirée de remise des prix à la Salle Wagram, ce mercredi, en la personne de Florian Dach, lauréat dans la catégorie Design et de son mentor la créatrice Matali Crasset.

Florian est un étudiant en 3e année de l’ENSAD (Ecole normale supérieure des Arts Décoratifs de Paris) âgé de 23 ans. Ses mentors sont Jasper Morrison ou les Frères Bouroullec.
Pour l’appel à projet, Florian a présenté un concept de luminaire ambitieux et original avec : Petit Poucet. Il avoue être prêt à toutes les concessions nécessaires et à dormir peu pour pouvoir mener à bien son projet en parallèle de ses études.

Rencontre avec Florian Dach

United States of Paris : D’où vient l’idée de ton luminaire Petit Poucet ? 

Florian Dach : L’idée m’est venue d’une situation. Quand je me réveillais la nuit, je remarquais que j’avais beaucoup de mal à me rendormir. Je me suis vite aperçu que le principal problème était la lumière. Elle agresse en fait les sens et finit par perturber le sommeil. Même le matin, en me levant à 6h, je prenais une vraie claque. A partir de ce constat, je me suis lancé dans ce projet. Et Petit Poucet est né.

UsofParis: Avais-tu déjà travaillé sur la lumière ?
Florian : Un peu, mais de façon “plus classique”. Pour ce projet, j’ai inventé une histoire.
Pour moi, c’est véritablement une première expérience, de travailler avec ce type de technologie. Pour un luminaire, habituellement on a vite fait de mettre une douille et une ampoule. Ici, il fallait trouver un système de captation, de déclenchement et un moyen de communication. C’est vraiment nouveau pour moi.

 

UsofParis: Comment tu pourrais décrire le Petit Poucet ? 
Florian : L’idée principale est que cet objet est autonome, comme un téléphone portable. C’est un objet qui peut nous suivre, qui n’a besoin que de se plugger pour se recharger.

J’ai fait un prototype de façon artisanale, dans mon atelier et à l’école. J’ai utilisé de la feutrine que j’ai thermoformé en utilisant de la mousse bleue. Je ponce l’ensemble pour obtenir la forme que je veux pour mes lumières. Le but étant que le Petit Poucet ressemble à un caillou.

UsofParis: Quel est le vrai enjeu des prochains mois ?
Florian : Déterminer si on commercialise la création ou si c’est avant tout un objet de communication. En fonction de cela, on va progressivement déterminer les axes: soit les coûts de production par rapport à une destination grand public, en envisageant le packaging, la notice, soit poursuivre la recherche sur les matériaux, la communication entre les objets. La discussion avec Matali Crasset et Samsung sera : qu’allons-nous faire de cet objet ?

 

UsofParis : Qu’est-ce qui t’a motivé à présenter ta création au programme Launching People ?
Florian :
 Avant tout l’opportunité d’avoir un accompagnement et une aide financière. Et surtout, en découvrant Samsung associé à Matali Crasset, j’ai tout de suite pensé à mon objet.
Il faut préciser que les technologies que je souhaite utiliser pour ce projet sont liées à l’utilisation des téléphones portables. Je n’aurais pas pu me présenter à une autre aide destinée aux designers.

 

Rencontre avec Matali Crasset

Pourquoi ce soutien à Florian ?
Matali Crasset : Y’avait énormément de projets mais peu avait cette clarté de propos dans la partie Design. Car notre section était Art et Design. Le potentiel du projet Petit Poucet était bien présent.
La véritable chance de Florian aujourd’hui c’est de pouvoir approcher une entreprise comme Samsung et pourquoi pas développer son projet à l’intérieur même de l’entreprise. Et c’est ça qui serait une véritable expérience pour lui.
C’est ce que je vais lui expliquer en tant que mentor. Je veux bien l’accompagner. Mais la meilleure chose à faire est de travailler avec le groupe directement.
Comme ce que j’ai fait pour Thomson, en dessinant des objets électroniques. Lancer des gens c’est leur donner un ancrage.

 

UsofParis: Est-ce que c’est la personnalité de Florian ou son objet qui vous a plu ?
Matali Crasset : Il y a un peu des deux. Florian est un garçon qui est bien sur ses pieds. Il a choisi ce métier pour de bonnes raisons. Aujourd’hui, il y a une sorte d’aura autour du design qui attire beaucoup de monde. Le design est au coeur de ses préoccupations.

Il dit les choses simplement. Il a un raisonnement sein par rapport à son projet.

UsofParis: A quoi ressemblait Matali Crasset à 23 ans, l’âge de Florian ?
Matali Crasset : J’étais à l’école aussi. Je suis venue au design, un peu tardivement. Sans doute moins directement que Florian. J’étais passionnée. Je faisais énormément d’expérimentations dans tous les sens parce que je savais que le contexte de l’école le permettait et qu’après ce serait plus dur. L’école est un vrai accélérateur.

UsofParis: Vous vous lancez encore des défis ?
Matali Crasset : J’aime me remettre en question. Justement quand j’ai un prix. Je fais le bilan et je passe à autre chose. Pour moi, il n’y a que des étapes.
Dans notre métier, rien n’est acquis. Tout est mouvant. Et surtout, ce qui est passionnant c’est d’inventer la manière de le faire.

 

UsofParis : Qu’est-ce qui prime quand vous acceptez un projet ?
Matali Crasset : Les valeurs. Il faut que je sente que la ou les personnes en face de moi aient les mêmes valeurs que moi. Dans le cas contraire, ça ne donnera pas un objet intéressant.
Je donne beaucoup de choses dans chaque projet. Et des choses personnelles. Si la personne n’est pas capable de les apprécier, ou qui va mal les utiliser, ça touchera la conviction intime d’exercer ce métier. Donc maintenant je me protège un peu.
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PHOTO DU MOIS #19 : Victoire

Chaque mois, les bloggers et bloggeuses qui participent à La Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème.
Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants, le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.

Ce mois-ci, le thème proposé par Mamysoren est: victoire.

Réussir une photo s’apparente bien souvent à une petite victoire.
Parfois, on aura beau shooter en rafale, le résultat restera à désirer. Et la déception encore plus grande d’avoir raté la photo sinon de sa vie, celle pouvant immortaliser l’événement vécu.

Lors du tournage de l’émission musicale Alcaline pour France 2 au Trianon à Paris, avec Matthieu Chedid – M –, j’ai bien cru que j’allais faire un flou.
Pris de surprise lors de son concert, j’ai eu juste le temps de dégainer mon appareil bien enfoui dans mon sac. Même pas le temps pour bouger la molette en mode manuel pour palier la vitesse.
Mise en point laborieuse. Rafale.
Et l’unique photo impressionnante de la série que je partage avec vous.

Il est temps de faire un tour de la blogosphère et de découvrir toutes les propositions:

A’icha, Agathe, Agnès, Akaieric, Alban, Angélique, Ann, Anne, Anne Laure T, Arwen, AurélieM, Ava, Béa, Bestofava, BiGBuGS, Blogoth67, Calamonique, Cara, Caro from London, Caterine, Cathy, Cécile – Une quadra, Cekoline, Céline in Paris, CetO, Champagne, Chat bleu, Cherrybee, Chloé, Christelle, Christophe, Claire’s Blog, Coco, Cocosophie, Cricriyom from Paris, Dame Skarlette, DelphineF, Djoul, Dr. CaSo, dreamtravelshoot, E, El Padawan, Elodie, Eurydice, Fanfan Raccoon, Filamots, François le Niçois, Frédéric, Galinette, Gilsoub, Giselle 43, Gizeh, Guillaume, Happy Us, Hibiscus, Homeos-tasie, Hypeandcie, InGrenoble, Isa de fromSide2Side, Isa ToutSimplement, Isaquarel, J’adore j’adhère, Joane, Josiane, Julie, KK-huète En Bretannie, Krn, La Dum, La Messine, La voyageuse comtoise, Lau* des montagnes, Laulinea, Laurent Nicolas, Lavandine, Lavandine83, Les bonheurs d’Anne & Alex, Les voyages de Lucy, Leviacarmina, LisaDeParis, Louisianne, Lucile et Rod, Lyonelk, magda627, Mamysoren, Maria Graphia, Marie, Marie-Charlotte, Marmotte, Mathilde, MauriceMonAmour, Mes ptits plats, Meyilo, Mimireliton, MissCarole, Morgane Byloos Photography, Nicky, Nora, Ori, Oscara, Photo Tuto, Pilisi, Piolo, Pixeline, Pomme d’Happy, Renepaulhenry, SecretAiko, Sephiraph, Shoesforgirls, Sinuaisons, Sophie Rififi, Stephane08, Tambour Major, Testinaute, Thalie, The Parisienne, The Singapore Miminews, Thib, Tuxana, Un jour, une vie, Une niçoise, Violette, Viviane, Wolverine, Xoliv’, Zaza

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Journée d’hyperparisien avec ZoomOn Paris : speedboat sur la Seine – restaurant Pirouette – cellograff & cocktail au Mary Céleste

Un journée VIP de parisien avec ZoomonParis

Ce samedi, l’équipe est tirée du lit un peu tôt pour participer à une journée d’hyperparisien ! Ça tombe plutôt bien : Paris est notre terrain de jeu favori, et le challenge étant de toujours pouvoir nous surprendre.

Premier rendez-vous à deux pas du Batofar. Avec le speed boat: une embarcation made in England, conçue initialement pour les débarquements.

Piloté par un policier de la brigade fluviale, le boat file plein gaz sur la Seine, offrant de vraies sensations sur un fleuve que l’on pensait sage.

Face à face avec l’imposant hôtel Huatian Chinagora et son architecture spectaculaire. Quelques beaux virages. Un peu de calme pour shooter des vestiges de l’architecture industrielle.

Back to reality
Deuxième tour, plus calme, mais tout aussi trippant. Un petit bateau avec canapé pour le confort et champagne.
Calme et points de vue étourdissants sur les quais de la capitale. On rêverait d’une traversée de la Seine une journée entière dans ces conditions très privilégiées.

Les sorties en mer donnent faim, c’est bien connu. Cap sur le restaurant Pirouette.
Bel accueil et service attentionné. Cette adresse food des Halles affiche déjà plus d’une année au compteur.

Et ça se sent dans l’assiette.

Exercice pratique l’après-midi avec un atelier en plein air. Sous le pont Birk Hakeim, le spot pour shooting photo avec mariés venus de loin pour s’unir dans la ville indétrônable dans le cœur des amoureux.

C’est aussi un décor parfait pour une séance de graff sur cellophane avec le duo Astro et Kanos du collectif Cellograff.
Défoulement et euphorie à s’exposer au regard des badauds. Le coup de main n’est pas évident pour dessiner avec précisions les contours de lettres.

Dernier spot pour nouvel exercice manuel: Le Mary Celeste, le bar à cocktails de l’équipe du Candeleria.

Passage derrière comptoir pour mettre les mains dans le shaker. Et c’est la belle Carina Soto-Velasquez qui nous donne une leçon: parfait dosage et maîtrise des ingrédients, appréciation du nombre exact de glaçons et shake jusqu’à ce que vous ne sentiez plus vos doigts.
Joie ensuite de savourer votre breuvage accompagné de quelques tapas dans une ambiance feutrée, éclairée à la bougie.

Fin des réjouissances. Légère nostalgie de quitter la bande de bloggeuses qui nous accompagnait.

Cette journée était l’occasion de nous présenter l’appli parfaite pour rendre jaloux vos amis et les rouler dans la farine.
Allez sur la page de l’application FB Hyperparisien pour vous concocter un programme d’enfer de publications sur votre mur.
A vous les plus beaux spots et les meilleures soirées. Et c’est vos amis qui n’en croiront pas leurs yeux.
En bonus, vous gagnerez peut-être une superbe journée VIP.

Merci à Fanny du blog Paris Pêle-mêle

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COCOTTE POWER le collectif de créatrices, designers & bloggeuses survitaminées en interview

Cocotte Power est Le collectif de girls euphoriques.
Une association de plusieurs personnalités féminines archi, créatrices, artistes qui se décline en blog et créations qui excitent la rétine.

Rencontrées à l’occasion du Now ! le off – Paris Design Week à la Cité de la Mode et du Design, Stéphanie, May et Clotilde ont de l’empathie à revendre.
Interview-Photomaton

United States of Paris: Quelle est la genèse de Cocotte Power ?
Stéphanie alias Mops: On trouvait qu’il n’y en avait que pour les mecs: Wilmotte, Starck et compagnie…

UsofParis: Vous vous mettez à leur niveau?
Stéphanie: Tu devrais aussi ! (rires) Il faut viser l’excellence dans la vie, ça aide à avancer ! Notre envie était de débuter avec des designers femmes et d’écrire des articles pour notre blog sur ces femmes créatrices. Et on s’est rendu compte que c’étaient des femmes épanouies et qui sont devenues designers sur le tard comme une avocate, qui est maintenant designer. Et au final, cette motivation s’est transformée progressivement en une énergie créative féminine.
Mais notre concept est devenu plus large et il y a plein de garçons dans notre bande.

UsofParis: D’où viennent les cocottes ?
Stéphanie: Notre leitmotiv: c’est la  créativité et la rencontre de personnes qui font leur coming-out de créa. Moi, suis archi d’intérieur mais je n’ai travaillé que dans des agences – j’ai eu la chance de travailler chez Putman. Avec ce collectif, je m’épanouie enfin. May qui est laqueuse a toujours travaillé pour les autres. Avec nous, nous avons aussi des chefs d’entreprises. Le dernier article qu’on a publié était le portrait d’un mec qui a créé un site de rencontres basé sur le sport. Son idée était géniale !

UsofParis: Quelle est votre touch ?
Stéphanie
: C’est le sourire et la positive attitude. On aime “cocottepoweriser” tout ce qu’on touche! On fait des partenariats pour dépoussiérer les marques. Le blog avec nos coups de coeur. On fait des bijoux pour gagner un peu d’argent aussi.
On met de l’émotion dans les choses, à l’heure d’internet où tout est anodin. A chaque fois que je visite un blog, je me demande qui est derrière et je ne trouve pas. Nous on fait le contraire: on prend d’abord l’humain avant le concept. Et on a remarqué que quand on rencontre une créative et que l’on ne sait pas ce qu’elle fait, on aime ce qu’elle fait une fois qu’on la découverte elle.

UsofParis: Ca marche pas à chaque fois ?
Stéphanie: Si. Mais c’est peut-être aussi notre instinct féminin. On joue beaucoup avec. Mais les mecs ont de l’instinct féminin aussi, faut pas croire ! (rires)

UsofParis: La plus belle histoire de cocottes?
Stéphanie: Le fauteuil Brahma ! C’est un truc de malade! Une aventure de 2 ans.  Je cherchais quelqu’un pour le prototype et un jour je reçois un mail de pub, sorte de spam qu’on jette illico. Et le mail débutait par Bonjour, je m’appelle Marie-Lena. Je me suis dit: il y a quelqu’un derrière ce mail! J’ai sauté dessus et j’ai découvert une nana qui faisait l’intermédiaire entre créateurs et artisans de Roumanie. J’ai trouvé ça politiquement magnifique! La Roumanie c’est un pays qui rame. Et ce fauteuil est arrivé il y a une heure, juste avant l’ouverture de Now ! Le Off. Il a été conçu par 3 artisans roumains.
Ce fauteuil représente la chaîne de la solidarité, la chaîne des cocottes. La synergie, le partage: “that’s us!”

Aux côtés de Stéphanie alias Mos, Clotilde Fraile, la Lilloise du groupe, présente des cages d’escalier qui viennent substituer les boules ornementales d’un garde- corps.

UsofParis: D’où vous est venue l’inspiration ?    
Clotilde: Totalement par hasard ! Lors d’une exposition, il y avait un espace à investir au centre duquel : un escalier.  On travaille beaucoup sur la cocotte qui nous inspire. Je l’ai donc déclinée avec l’oiseau. L’idée c’était l’envolée, l’échappée.

May, laqueuse, a travaillé sur la ribambelle et le retour à l’enfance avec un paravent 4 feuilles. Une composition faite de papier découpé et de laque rose, noire et de feuilles d’argent.

Et la dernière, Rebecca (!) Fabulatrice, archi d’intérieur de Grenoble, travaille autour du thème de la bonneterie qui ferme. Elle récupère des stocks de bretelles de soutien-gorge et les décline en coussins, tabourets. A noter qu’elle est aussi artiste et réalise des films où elle se met en scène.

 

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Evénément Cinéma BD : SNOWPIERCER – Le Transperceneige de Bong Joon Ho avec Chris Evans & Tilda Swinton

SNOWPIERCER ou le premier rôle de (Ken) Chris Evans qui n’impose pas sa plastique.

Une projection au dernier festival de Deauville et une avant-première à Paris avec journalistes et bloggers ciné assoiffés, le film de Bong Joon Ho, Le Transperceneige, n’en finit pas de susciter les plus passionnants pronostics, Next de Libération y est allé du sien, bien avant d’avoir vu le film.

Trop tard pour se faire l’intégrale BD avant la séance ciné !

Il faut dire que les arguments – les plus favorables – sont en ordre de bataille pour en faire un objet culte: adaptation d’une BD française sortie en 1984 – qu’il ne faut absolument pas lire avant de voir le film – apocalypse, cinéaste sud-coréen vénéré et nouvelle performance de l’actrice Tilda Swinton.

Et à coup sûr, vous ressortirez moite de ce train qui file à plein régime traversant des paysages grandioses mais gelés par la nouvelle ère glacière.
En parallèle, une autre course débute et retentit dans les bas-fonds de ce train recréant une parfaite inégalité terrestre pour les quelques survivants-élus n’ayant pas sombré.
Certains ont payé cher le confort de leur première classe – le créateur de cette machine future, en premier lieu – alors que d’autres zonent, attendent et se soumettent au bon vouloir d’une force militaire.

Il est donc tout naturel qu’une révolte gronde à nouveau, après des tentatives avortées, un enlèvement d’enfants et un bras sectionné.  Les wagons vont devenir un oppressant et passionnant cadre d’action pour une épopée digne d’une chevauchée dans le Far West, en compartiments inconnus.

Un peu à la manière du premier Cube, chaque wagon recèle non pas une énigme, mais une révélation plus ou moins rassurante. Et votre coeur a intérêt à être bien accroché, car l’ouverture de chaque porte est un moment d’anthologie. Sachant que le confinement de l’espace participe à ce malaise.

Aussi à l’aise dans le registre de l’horreur que de l’humour – depuis le film qui l’a révélé en France, Memories of Murder  – le cinéaste Bong Joon Ho  a une pleine maîtrise des éléments visuels. Scénographie de génie mais aussi burlesque, marques de fabrique du réalisateur, font toujours bon ménage. A notre grand étonnement.

Ce film fait peur mais pas au sens gore, comme on peut l’éprouver avec la série des Saw.
La frayeur est plus subtile et psychologique. Elle est ensuite vite balayée avec l’introduction d’une situation décalée. Puis nouveau rebondissement.

Et surprise: il nous aura fallu attendre la direction d’un cinéaste étranger pour que le beau Chris Evans range sa panoplie de beau gosse et nous fournisse pleine mesure de son talent.

SNOWPIERCER
Le Transperceneige

 

de Bong Joon Ho
avec Chris Evans, Tilda Swinton, John Hurt, Jamie Bell, Ed Harris et Song Kang-ho
Scénario: Jacques Lob, Jean Marc Rochette, Bong Joon Ho

sortie le 30 octobre 2013

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MYTHIQ 27 livre & exposition événement autour du Club 27 à l’Espace Cardin du 3 au 8 décembre 2013

27 – C’est un âge maudit.
C’est aussi un âge qui a malheureusement fait passer nombres d’artistes dans la légende.

Elles s’appellent Amy Winehouse, Janis Joplin, Mia Zapata.
Leurs noms est Jim Morrison, Jean-Michel Basquiat, Brian Jones ou encore Jimi Hendrix.
Ils ont tous et toutes, en plus d’un talent inouïe, la particularité de faire partie du Club 27; le club de ceux qui n’auront jamais fêté leurs 28 ans.

Depuis leur disparition, ils suscitent toujours autant de fascination.
Un mythe est né le jour où ils ont quitté notre orbite et un culte a débuté systématiquement autour d’une image de jeunesse figée à jamais.

 Une initiative propose une interprétation artistique toute particulière autour de ces visages et personnalités qui n’ont jamais quitté nos mémoires et nos écrans.
Mythiq 27 est le nom de code d’un livre mais aussi d’une exposition regroupant l’ensemble des propositions d’écrivains et de plasticiens invités à interagir avec les légendes.

Chacun proposant non pas un portrait réaliste mais plutôt une déclinaison en mots comme l’écrivain Sorj Chalandon se frottant à Jimi Hendrix ou Alexi Jenni se fantasmant en Amy Winehouse, faisant un parallèle entre sa vingtaine et celle de la chanteuse anglaise choucroutée.

Côté toiles, de grands noms de l’illustration et du street art transfigurent les 27 légendes.
Jim Morrison ayant à lui seul inspiré à la fois 3 artistes de la scène artistique urbaine: les frenchies Invader, Rero et Blek le Rat.

Les inspirations risquent fort de vous étonner par leurs audaces.

Le livre édité par Gotham-Lab est sorti en librairie.
Il faudra attendre décembre pour découvrir les oeuvres grandeur nature.

Exposition MYTHIQ 27
du 1er au 8 décembre 2013

Espace Cardin
1, avenue Gabriel
75008 PARIS

tous les jours de 10h à 19h
Nocturne le vendredi jusqu’à 21h

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DIEUX DU STADE 2014 : Hugo Bonneval – Jules Plisson – Alexis Vastine – Rio Mavuba & Scott Lavalla / Lancement du Calendrier au MotorVillage

 Ce mercredi, soirée sportive et festive au Motor Village Champs Elysées à l’occasion de la sortie du nouveau calendrier des Dieux du Stade.
Les bogosses du Stade Français et quelques-uns de leurs invités boxeur, judoka et footballeur sont présents pour se faire tirer le portrait et torturer par les questions de journalistes malicieuses.

Pour cette nouvelle édition, c’est le photographe Fred Goudon qui s’y colle, une deuxième fois, après avoir réalisé l’édition 2006.
Ce nouveau cru revient aux positions que l’on pourrait qualifier de plus “classique” avec moins de poses lascives ou très suggestives.
Et dans un décor sportif: le tout nouveau et très design Stade Jean-Bouin.

Le Toulousain Hugo Bonneval a fait partie des joueurs les plus sollicités en interview et l’un des plus shootés par tout type d’appareils.
Refusant toute proposition l’invitant soit à jouer les gros bras, avec suspension du biceps, soit à soulever le maillot des Dieux du Stade 2014.

Parmi les rugbymen présents, quelques sportifs invités font partie de la fournée. Retenons en premier le très Alain Delon boxeur: Alexis Vastine.
Souffrant d’une blessure il n’a pas voulu non plus soulevé le maillot. Arguant également qu’il n’était pas rugbyman.
Quand on découvre sa photo dans le calendrier, on comprend que ces abdos ne sont pas des atouts principaux.

En second, le footballeur Rio Mavuba, qui n’a pas lésiné sur le sourire.

Enfin, le joueur américain Scott Lavalla – arborant un pansement surmonté d’un “Dutch” écrit au feutre – n’a pas manqué d’humour pour refuser les avances d’une journaliste.
Donnant donnant: “je soulève le haut, si tu le fais.”
Sourire gêné d’un côté et hilarité de l’autre.
Imperturbable, le joueur du Stade Français a poursuivi l’interview.
Classe !

A bien y regarder de plus près, et entre nous, il semblerait que les extraits du making-of émoustillent plus que les images sur papier glacé.
Affaire à suivre.

En attendant, le calendrier des Dieux du Stade est en vente depuis le 3 octobre sur www.stade.fr et en librairies et boutiques spécialisées.

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OCTOBRE ROSE : La Conciergerie illuminée pour la bonne cause avec Michèle Laroque, Audrey Pulvar & les Jardins d’Espoir

Ce mardi, la soirée de lancement de l’événement Octobre Rose à la Conciergerie, Paris voit rose.
Du tapis accueillant les convives, au ruban accroché sur les vestes ou les chemisiers des invités, à l’illumination du monument historique.

Rien n’est trop fort pour rappeler à toutes et tous la nécessité du dépistage précoce du cancer du sein.
L’enjeu étant de sauver le maximum de vies en frappant les yeux et les esprits.

Pour soutenir l’association “Le Cancer du Sein, Parlons-en”, la comédienne Michèle Laroque s’est parée de ses plus beaux atours pour honorer son rôle d’ambassadrice. Elle a fait preuve d’une disponibilité rare pour une cause juste.

Parmi les invités, Christine Kelly, journaliste et membre du CSA, Béatrice Ardisson aux platines pour l’ambiance musicale, un ancien animateur télé et désormais producteur Olivier Carreras, Farida la foodista, chroniqueuse de la Quotidienne sur France 5 et une candidate à la Mairie de Paris, Anne Hidalgo, qui a filé plus vite que l’éclair. Dommage.
Notons la présence féline et glamour de la journaliste Audrey Pulvar.

Autre présence, hautement symbolique, la créatrice de lingerie de luxe, Chantal Thomass.

Très vite, les invités se dirigent vers la sortie pour l’illumination de la façade de la Conciergerie.
Cette attraction hautement symbolique est d’une intensité exceptionnelle.
Les touristes n’en revenant toujours pas d’une telle audace.

Cette soirée a permis un coup de projecteur sur deux rendez-vous ouverts à tous et à découvrir tout le mois d’octobre, autour de l’opération Jardins d’Espoir.

Le premier rendez-vous se situe au Domaine national de Saint-Cloud avec l’oeuvre de Kaliko, Souffles d’Espoir.
Une installation poétique.

Deuxième rendez-vous à l’Hôtel de Béthune-Sully. Avec les Arbres d’espoir qui vont se chargés de messages d’internautes.
A leurs côtés, les 40 photos finalistes du Pink Ribbon Photo Award, soutenu par Estee Lauder.
Parmi elles, les 4 photos sélectionnées par le jury, intenses en émotions.

Nous avons choisi volontairement le portrait d’un homme pour évoquer ces images chargées d’émotions et de messages d’espoir.
Un homme parce qu’il est un soutien essentiel dans cette lutte aux côtés, de sa compagne, son épouse, sa mère, sa soeur.
Un homme pour ne pas oublier que le cancer du sein n’est pas qu’une réalité féminine.

Et n’oubliez pas votre Ruban Rose !

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INSTAGRAM YOUR MOTHER : photos, followers, tattoos & fun – Part 1

New on the blog !
Instragram your mother
offers you a little trip in pictures and funny discoveries on instagram app.

Nouvelle rubrique sur le blog !
Un tour détonnant et totalement subjectif en photos avec nos découvertes des comptes Instragram.

Empire State Building on my arm
New York inspire. Mais pas de la même manière pour tout le monde.
Certains seraient plus en mode t-shirt I Love NYC. Et puis d’autres, sont prêts à assumer, pour la vie, l’attraction qu’à cette ville sur eux.
t_owens1 est un de ceux-ci. Respect pour la patience dont ce jeune homme a dû faire preuve pour la réalisation de cette oeuvre corporelle.

The cab you need !
Il suffit parfois d’un accessoire pour dire à la face du monde, ou tout simplement à votre propre mère: l’essentiel…
Julio Gaggia a trouvé ce qu’il cherchait et assume.

Fashion baby feet
A défaut d’être tracés dès la naissance avec une puce, les nouveaux-nés du futur pourraient bien porter le sceau de la mode dès leur naissance.
Gageons que l’idée du photographe Raphoou ne soit pas au goût de certains parents, prêts à se faire tatouer les petits petons de leurs bambins sur le torse (histoires vraies vues sur le net).

Muscle Man VS jungle food
Nombreux sont les utilisateurs d’insta qui passent leur journée à prendre la pose pour le plus grand plaisir de leurs followers.
Remarquez aussi que se cachent parmi eux des âmes sournoises.
Bradley2121
is a bad boy !  Pas seulement parce qu’il porte un bracelet de force en cuir. Mais surtout par qu’il a le don d’agacer ceux qui se remettent difficilement au sport à leur retour de vacances.
Sur plusieurs photos, le “graphic designer” américain est accompagné d’un paquet de gâteaux industriel tout en affichant une ligne irréprochable.

Cupid is my soul
Mesdemoiselles, vous cherchez parmi tous ces beaux insta-mâles l’amour de votre vie ?
Dans ce cas, ne vous précipitez surtout pas sur le compte de Landowilkins.
Vu comment il traite Cupidon…

L’oeil d’United States of Paris est à l’affût sur Instagram.
Préparez-vous à de nouvelles et réjouissantes découvertes au prochain numéro !

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