Archives de catégorie : Dernières infos

Live-report concert concert DEAD CAN DANCE aux Nuits de Fourvière Lyon – Anastasis Tour

Un concert de DEAD CAN DANCE est par essence exceptionnel, du fait même de la rareté des tournées du groupe.
Il l’est encore plus sous le ciel de Lyon.

Cette année, le groupe s’offre une tournée hexagonale de plusieurs dates en France avec les Arènes de Nîmes, le Zénith de Paris et Hérouville St Clair à venir.
Etape céleste à Lyon ce jeudi.

A Fourvière, les nuits peuvent être fraîches mais clémentes. Ce jeudi, au dessus du Théâtre Antique, les nuages gris sont joueurs et offrent quelques gouttes. Pas de quoi entamer la motivation du public venu pour son trip world musique de la saison. Certains étaient venus avec leurs plus atours, tout de noir vêtus.

Première partie démoniaque avec la fougue d’Emel Mathlouthi.
Une vraie surprise qui sera la cerise sur le coup d’une soirée intense en sonorités universelles.
Avec un set de 5 chansons, la chanteuse d’origine tunisienne a emporté le public exigeant de Fourvière.

Coup de force vocale porté par une musique aux influences orientales magnifiée d’une vague d’électro et sourires timides ont alterné cette première rencontre avec une artiste que nous ne manquerons pas de suivre.
Emel peine à réaliser la chaleur des applaudissements.

22h.  Brendan Perry en costume gris et Lisa Gerrard en robe longue et cape font leur entrée sur scène. Éclairage progressif pour découvrir chaque musicien présent pour cette soirée.

L’entrée en matière se fait avec Children of the sun interprété par Brendan Perry, comme pour conjurer un pacte avec le ciel. Lisa, derrière son cymbalon, sourit, regarde le public et ferme les yeux.
Suit Agape, interprété par la contralto, troublante par son ascétisme, le visage comme épargné par le temps.

La chanteuse ne parlera pas de la soirée, pourtant sensible à l’accueil du public. Elle semble pourtant prononcer quelques mots mais totalement inaudibles.
Les premières notes de Rakim forcent les applau des plus fidèles des spectateurs à l’oreille affûtée.
On se prend à rêver que ce titre pourrait faire partie de la bande-son nous accueillant au Paradis. Brenda serait Dieu le père, Lisa, la Vierge Marie. Le set prend un tour mystique pour certains.

Kiko, Amnesia nous amènent sur d’autres rives encore. Du côté de l’Afrique. Avant que Sanvean ne vienne exalter la fosse et les gradins de Fourvière, véritable hymne adressé à l’humanité.
A la fin de la chanson, Lisa salue ses deux partenaires de scène.

Black Sun et un nouvel hymne du groupe: Nierika.

Brendan, tel un roi lion, chevauchera au cours de la soirée un tambour africain. Il remercie poliment en français, mais ne prendra la parole qu’une fois de la soirée pour introduire le titre Ime Prezakias qu’il traduit en anglais par : “I’m a junkie“.

Sur le morceau instrumental Cantara, Lisa Gerrard entame une chorégraphie délicates avec des manjira, sorte de mini-cymbales. Gestes lents et précisions imposent soudain le recueillement.

Dernier titre avant rappel avec All in good time. A cet instant, le chanteur baryton montre une nouvelle facette de sa personnalité, devenant crooner avec un texte que n’aurait pas renier Sinatra, s’il était encore parmi nous.

Suivront ensuite 5 derniers titres alternés par les sorties et entrées de scène de Lisa qui part se réchauffer en coulisses, une chanson sur deux. Un manteau porté par un assistant l’attendant après le rideau de scène.

Fin de partie avec Return of the She-King et pluie de coussins à la surprise des musiciens. Lisa, imperturbable, lancera des baisers au public.

Prochains concerts de Dead Can Dance

Arènes de Nîmes, le 29 juin
Le Zénith de Paris, le 30 juin
Festival Beauregard, le 7 juillet

 

Merci aux Nuits de Fourvière qui nous ont permis de partager ce concert coup de coeur avec vous !

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Play Me I’m Yours : concert gratuit de BABX à la Galerie Vivienne – Samedi 6 juillet à 14h30

L’opération “Play Me I’m Yours” se poursuit jusqu’au le 8 juillet prochain.
Peut-être avez-vous déjà croisé un de ces pianos posé au coin d’une rue ou dans un endroit insolite comme aux Docks / Cité de la Mode et du Design.

Ce samedi 6 juillet à 14h30, BABX prendra part à cette opé originale en s’installant dans la très belle et historique Galerie Vivienne à Paris.
Ce mini-concert gratuit sera l’occasion pour le chanteur de reprendre des morceaux de Thelonious Monk, pianiste et compositeur de jazz américain mais aussi de son dernier album Drones Personnels.

Toutes les infos sur la page FB de l’évément

Lieu :
Galerie Vivienne
6, rue Vivienne 75002 Paris
M° Bourse (L3) ou Pyramide (L14)

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SISTER ACT The Musical au Théâtre Mogador : la comédie musicale événement à Paris

Fin de saison pour SISTER ACT la comédie musicale de l’année.
Comme pour Mamma Mia ou Cabaret, une saison supplémentaire n’aurait pas été de trop.

La troupe de Dolorès et de ses soeurs en version française quitte la scène du Théâtre Mogador ce dimanche 30 juin, après avoir accueilli 300 000 fidèles.

Notre équipe l’ayant découverte sur le tard n’a pas eu le temps de partager avec le plus grand nombre sa surprise.
Alors que nous pensions retrouver les titres célèbres du film que nous fredonnions déjà notre billet en main, la partition de la musicale réserve une première singularité. Les chansons sont toutes originales.

La redécouverte de cette histoire qui a bercé la jeunesse de nombreux trentenaires et quadras est totale.

Que dire ensuite des décors qui réservent aussi leur lot d’étonnement ?

Ce soir-là Aurélie Konaté interprétait une Dolorès pétillante, provocante et charmeuse.
Une vraie révélation à suivre de près.

Prochaine comédie musicale from Broadway à partir du 24 octobre 2013 avec La Belle et la Bête.

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Hôtel Joséphine & Hôtel R. Kipling Rue Blanche : design, couleurs & fun pour une nuit à Paris

New and design. Color and adventure.  Funny and elegant.
Josephine & R. Kipling Hotels offer another way to sleep in Paris.

On ne va pas vous mentir. À la vue du rez-de-chaussée de l’Hôtel Joséphine au 67 rue Blanche et l’Hôtel R. Kipling  au 65 – fausse cheminée et bibliothèque pour le premier, orange tapant sur les murs et dans l’ascenseur pour le second – la perspective de passer une nuit dans l’un de ces derniers-nés de l’hôtellerie parisienne était compromise.


Mais c’était sans compter sur la malice des deux décoratrices qui se sont lancées une “battle” bon enfant d’un côté et de l’autre de la rue. Julie Gauthron pour le Joséphine et Christine Gérondeau pour le Kipling, les deux hôtels étant 4 étoiles.

Commençons par l’Hôtel Joséphine, en hommage à la reine de la nuit Joséphine Baker. Ambiance tout en couleurs, dans un mix vintage design pour le moins rassurant et captivant.
Au cours de la visite de quelques chambres, notre équipe se projetait volontiers dans ces espaces lumineux et raffinés. Imaginant une soirée et une nuit originale dans ces intérieurs chaleureux et cosy.


Gros coup de cœur pour les luminaires qui offrent des jeux de lumière “trippant”, selon la couleur de la tapisserie.
Il vous faudra plusieurs nuits pour découvrir toutes les compositions ou alors le trousseau de clé de toutes les chambres.
Et que dire de cette porte de salle de bains qui laisse deviner les ombres de son hôte ? Idéal pour un jeu amoureux digne du Crazy Horse pour les couples de dormeurs les plus inspirés.

En fin de parcours, la chambre au dernier étage avec poutres apparentes et son petit balcon pour amoureux est le must pour tout Valentin désireux de surprendre sa belle. On imagine volontairement que des touristes puissent ne pas vouloir quitter leur chambre.
Un petit côté Bohème de Montmartre ou atelier d’artiste sous les toits, qui aurait pu être le théâtre de longues séances de travail des peintres Toulouse-Lautrec ou Degas.


La salle des petits-déjeuners, quant à elle, sous voutes en sous-sol, offre un cadre paisible pour retrouver la forme avant une expédition dans les rues de Paris.

Côté Hôtel R.Kipling – en hommage à l’auteur du Livre de la Jungle – c’est aventure et dépaysement avec des éléments de déco qui semblent avoir été glanés au cours de nombreux voyages aussi périlleux qu’exotiques.

L’auteur britannique est présent dans chacune des chambres à travers son portrait.


Cet hôtel 4 étoiles est à la fois un terrain de jeu pour solitaire avec des chambres single en mode cocooning et pour couple fusionnel avec la chambre sous les toits – un peu bas de plafond – mais au charme délicat avec vue sur les toits et terrasses du quartier.


Encore une fois, les luminaires captent toute notre attention.


Et les petites ouvertures sur la porte des salles de bain nous inspirent des scénarios aussi bien débridés que déplacés selon la situation des locataires. A vous de les expérimenter.

Saurez-vous deviner lequel de ces deux hôtels emporte nos suffrages ?

Hôtel Joséphine
67, rue Blanche 75009 PARIS

Hôtel R. Kipling

65, rue Blanche 75009 PARIS

 

Chambres à partir de 145 euros

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Live Report concert: Muse fête la Musique au Stade de France – 21 juin 2013 – The 2nd Law Tour : Un vrai feu d’artifice sonore

Muse au Stade de France pour The 2nd Law Tour:  une date que certains attendaient avec impatience.
Après leur concert époustouflant d’octobre dernier à Bercy, quoi de plus naturel que de passer cette Fête de la Musique 2013 avec
l’un des meilleurs (le meilleur ?) groupe de rock anglo-saxon sur scène.

Une longue attente depuis l’ouverture des portes et deux premières parties.
Fun nous a comblés par ses sons et ses rythmes si particuliers.
Paramore nous a laissés un peu sur notre faim: un son un poil bourrin, sans finesse et peinant à réveiller le public.

21h15, le show de Muse débute enfin.

Et avant de dérouler le fil du concert, voici un avant goût vidéo avec des extrais de ce concert (l’ordre a été volontairement modifié)

Après une intro placée sous le signe de The 2nd Law (leur dernier album), le groupe enchaîne avec Supremacy, de quoi réveiller le stade avec renfort de pyrotechnie !

Pour cette mise en bouche, Muse mélange allégrement les dernières compositions et les anciens tubes, dont certains très peu joués sur scène.
Super Massive Black Hole précède Panic Station plutôt revendicatif.
C’est  donc l’occasion de mettre en scène, sur les écrans, les dirigeants des grandes puissances mondiales (Obama, Merkel, Hollande, Cameron, Poutine…)  dans une danse grotesque et cartoonesque.

S’en suit un Bliss, ressorti des cartons, et qui fait plaisir à entendre dans ce set remodelé.

Pour la suite, le trio nous offre le premier moment d’émotion de la soirée avec l’incontournable Resistance.

Ce morceau laisse toujours une impression particulière, même en live !
Poursuivant dans la mélancolie, le groupe déroule un Animals tout en douceur.

Et le trio ne cesse de contrarier sa setlist, en introduisant déjà certaines grosses machines sonores, et ceci  pour notre plus grand plaisir
car retentit ensuite L’Homme à l’hamonica d’Ennio Morricone.

Et il faut dite que le remix rock du prélude du film Knights Of Cydonia, fait toujours se dresser les poils d’émotion.
Rien de tel pour enflammer l’auditoire !

Mais Muse nous gratifie aussi de oldies, des morceaux peu joués sur scène, comme Sunburn qui continue le set,
suivi d’un Hystéria qui déchaine la foule.


Et là, on peut croire que Muse a tout donné pour ce concert d’envergure.
C’est sans compter le classique mais efficace Felling good, le brillant Follow me et son intro planante.

Le seul bémol de ce concert – de notre point de vue – reste Liquid Station et la voix en retrait du bassiste Christopher Wolstenholme.
Nous restons aussi circonspects, comme toujours, sur le premier titre choisi pour le dernier album : Madness, mais qui possède
une vraie ampleur musicale pour ces concerts en stade.

Pour rompre avec cette ambiance plutôt pop, le groupe nous envoie directement dans son univers fait de grosses percu, de guitare et basse lourdes comme on les aime.
Times is running out résonne dans le Stade, au plus grand bonheur du public toujours enclin à reprendre le refrain en cœur.


Et pour satisfaire les nombreux spectateurs, la guitare saturée de Stockholm Syndrome se met à fendre l’air devenu électrique à travers les gradins.

Créant un véritable moment de communion musicale grâce à cette basse lourde et ces effets sonores.

Et il faut croire que Muse a passé un cap depuis quelques concerts, car le groupe renoue avec son premier album.
Et au plus grand bonheur de ses premiers fans, Matthew se lance dans la plus belle des sérénades de la fin des années 90 –
avec celle de Radiohead et son  Creep (avec laquelle elle a longtemps été comparée) – Unintended.

Uniquement en duo avec le bassiste Christopher, sur l’avancée de scène, le public ne met que peu de temps à réagir à cette mélopée des plus enivrantes et pleine de souvenirs pour les plus vieux des spectateurs !

Pour suivre ce vrai moment d’émotion, Blackout nous conduit vers un univers fait de poésie avec cette danseuse suspendue sous une ampoule géante.

Comme lors de leur concert en juin 2010, ce moment restera comme le plus poétique et le plus planant de ce show dantesque.

Et même à ce stade du concert, nous ne sommes pas au bout des surprises.
Se lançant dans un Guinding Light de grande ampleur, Matthew nous réserve une première.

Un bain de foule auprès de ses fans !  Et pas moins de 5 min dans la fosse à côtoyer son public français (le meilleur pour le groupe).

A tel point qu’il n’hésitera pas à se parer d’un drapeau bleu-blanc-rouge siglé MUSE.
Et avant le premier rappel, c’est Undisclosed Desires qui se répand dans le stade au comble de l’euphorie.

Après une courte pause, Muse nous offre un morceau que l’on ne pensait pas taillé pour un stade et qui se révèle un mastodonte musical: The 2nd Law: Unsustainable.

Un pur moment  de gros sons comme seul Muse sait nous les offrir: grandiloquent à souhait, des basses profondes.
Un véritable moment de musique !

S’en suivent les poids lourds musicaux du groupe, ceux qui déchainent les foules et qui embrasent l’auditoire: Plug in Baby
et le dernier tube, hymne des J.O de Londres: Survival.

Ode au combat et surpassement de soi, ce morceau est véritablement devenu un de leur hymne en concert.

Et pour clore leur show dans un apothéose totale, le trio du Devon choisit Uprising et Starlight, leurs plus grands classiques.

Et une fois de plus, Muse nous en a mis plein les yeux et les oreilles.

La pluie nous ayant épargné, le seul regret de cette soirée c’est que le show ne dure pas plus de 2 heures.
On en aurait bien repris un peu plus.

La setlist (hors interludes) du concert de Muse au Stade de France, le 21 juin 2013 :

Supremacy
Supermassive Black Hole
Panic Station
Bliss
Resistance
Animals
Knights of Cydonia
Sunburn
Hysteria
Feeling Good
Follow Me
Liquid Station
Madness
Time Is Running Out
Stockholm Syndrome
Unintended
Blackout
Guiding Light
Undisclosed Desires

 1er rappel
The 2nd Law: Unsustainable
Plug In Baby
Survival

 2ème rappel
The 2nd Law: Isolated System
Uprising
Starlight

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CINEMA PARADISO @ Grand Palais drive-in, food, roller, art & video games

Le Grand Palais n’en finit de plus de créer l’événement et d’offrir de nouveaux décors propices à toutes sortes d’activités et d’expériences.
A peine l’Art du Jardin plié qu’un nouveau terrain de jeux s’installe.
Cinéma Paradiso c’est un drive-in sous serre, un diner, une piste de rollers

L’équipe a arpenté le lieu à l’occasion du Collette Day, ce mercredi.
Un programme de réjouissances entre compet’ de roller, élection du meilleur milk-shake et réinvention des recettes cultes de films.

Car on sait aussi très bien manger au cinéma. Comme on peut en juger avec la Soupe aux choux ou plus déglingos encore: le KLOUG du Père Noël est une ordure.
Et c’est à la réalisation de ce dessert au chocolat que nous avons été conviés

Aux fourneaux, la chef “volante” Céline Pham qui cuisine dans les pages du Fricote Magazine et que l’on peut retrouver au resto Chez Aline dans le 11e.
Elle rit de ce que le dessert peut provoquer comme souvenir en chacun de nous. Il était pour la Bande du Splendid, un met ragoûtant aussi horrible à voir qu’à manger.

Pour couper court à tout écoeurement possible, Céline a trouvé une combine pour contrecarrer le goût tout chocolat avec une petite crème argousier-citron et des finitions qui peuvent surprendre comme ces feuilles de thym citron ou ces fleurs de sauge aux côtés des cacahuètes et autres amandes et noisettes enrobées.

Le résultat est au final assez photogénique. Même si l’on croirait un amas de terre avec des petits cailloux.
La volonté de la chef était de coller à l’esprit du film et de ne surtout pas faire un beau gâteau.
Lors de la dégustation, elle confie qu’elle était prête aussi à relever le challenge de réaliser le plat du film L’Aile ou la Cuisse avec Louis de Funès.

En bouche, la mousse au chocolat donne corps au fondant au chocolat noir. C’est dense mais savoureux.
Bref, un dessert trompe l’oeil à concocter pour une soirée entre potes.

Au coeur du Grand Palais, au centre de la Nef, un diner US offre un havre de détente pour bikers en fuite.

Les nostalgiques des jeux d’arcade ne vont pas en croire leurs yeux avec les quelques pièces historiques exposées et en libre accès.
De fiévreuses parties ont déjà été annoncées avant et après les séances ciné du soir.

Et pour finir, autour des différents stands et des animations, le public peut également revoir ses gammes avec les dernières créations de quelques figures reconnues du street-art et de l’art contemporain avec L’Échappée Belle.
Vous croiserez, dans le désordre, l’artiste Yue Minjun, récemment célébré à la Fondation Cartier, le collectif H5 côtoient Shepard Fairey, Rero, l’Atlas ou encore Seth, vu récemment dans la résidence d’artistes aux Bains Douches.

L’artiste ZEVS a fait un clin d’oeil a un des occupants réguliers du Grand Palais: Karl Lagerfeld.
A travers une installation originale les objets sont des suspects potentiels. Ne causent-ils pas de sérieux dommages à vos portefeuilles ?

CINEMA PARADISO

au Grand Palais

tous les jours à partir de 11h
et jusqu’au 21 juin 2013

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PHOTO DU MOIS #15: le feu

Chaque mois, les bloggers et bloggeuses qui participent à La Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème.
Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants, le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.

Pour le thème du mois: FEU, le sujet s’est imposé de lui-même un soir de mai du côté de la Cité de la Mode et du Design à Paris. Une soirée de concerts et dégustations sous la houlette du Fooding.
La fraîcheur à la tombée de la nuit a été l’occasion de belles rencontres autour du feu.

Maintenant, un petit tour des autres blogs participants s’impose. Attention les yeux !

AkromaxChristeavDjoulSinuaisonsDr. CaSoXavier MohrAnne Laure TFilamotsflechebleuCaro from London CathyStephane08scarolles-and-co LavandineCricriyom from ParisLeviacarminaClaire’s BlogAngéliqueA bowl of orangesMorgane Byloos PhotographyThalieCalamoniqueUn jour, une vieMeyilomagda627GuillaumeSolveigEl PadawanHibiscusAkaiericLa NantaiseCaterineLouisianneFrançois le NiçoisChloéCocoENieLau* des montagnesLucile et RodLes voyages de Seth et LiseTestinauteCocosophieKrnLes voyages de LucyMamysorenUne niçoiseCath la CigaleSophie RififiBiGBuGSHappy UsGiselle 43FrédéricLa Fille de l’AirCaraNickyGilsoubMimirelitonAlice WonderlandPhoto TutoAnneJulieMissCaroleLa PapotteArwenAgrippineOriPilisiCherrybeeTuxanaAlbanCarnets d’imagesElodieThibCarnet d’escapadesBlogoth67HypeandcieCaro JulesetMoaXoliv’AvaBestofavaGalinetteLaulineaGizehM.C.OCindy ChouWolverineIsaquarelDelphineFEurydiceChat bleuVivianeCéline in ParisJosianeChristelleMTambour MajorIsa ToutSimplementZazaMathildeLa voyageuse comtoiseChristopheNFanfan RaccoonLyonelkA’ichaCekolineJ’adore j’adhèreLaurent NicolasLa MessineMarmotteLisaDeParisDame SkarletteChampagneRenepaulhenryVioletteThe ParisienneHomeos-tasieL’AzimutéeLes bonheurs d’Anne & Alex.

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Master Class : Levy, Chattam, Frain, Dicker et Bourdin, auteurs de nouvelles inédites pour la Galaxy Note 8

Ce mercredi, fans de littérature et bloggers avaient rendez-vous avec 5 auteurs de romans qui se sont récemment prêtés au jeu de la nouvelle: Irène Frain, Françoise Bourdin, Marc Levy, Maxime Chattam et Joël Dicker.

Une Master Class conviviale prend place aux Café Restaurant Les Éditeurs au carrefour de l’Odéon, fermé pour l’occasion.

Un dialogue à plusieurs voix – rappelant les grandes heures d’un Pivot au temps d’Apostrophes – débute autour des 5 nouvelles conçues exclusivement pour la tablette Galaxy Note 8.0.

5 écritures sont célébrées ce soir.
Chaque auteur explique son inspiration. Irène Frain évoque la découverte de lettres entre ses parents, à l’origine de sa nouvelle. Joël Dickers a lui voulu s’attaquer à un monde qu’il ne connaissait pas: le sport, se posant la question de savoir comment parler de sport à des lecteurs qui n’aiment pas ou ne connaissent pas. Un double défi car l’écriture d’une nouvelle est “un exercice très difficile, car on n’a qu’une seule chance!

Alors que Maxime Chattam évoque en 3 pages le crime parfait, confiant qu’après lecture, nous ne verrons plus un stylet comme avant, Marc Lévy ne sait toujours pas comment vient une idée. Il a donné son accord à Samsung après avoir écrit la nouvelle. La trouvant à son goût après une semaine d’écriture, il a accepté de la publier, ajoutant dans un rire: “je ne suis pas courageux!”

Chacun n’oublie pas de citer quelques références de nouvelles qui l’ont passionné. C’est l’auteur H.P. Lovecraft qui a marqué l’imaginaire de Maxime Chattam, sans omettre la nouvelle de Stephen King: Brume, “un chef d’oeuvre du genre.” Françoise Bourdin évoque Edgar Allan Poe, Stefan Zweig et surtout La Sonate à Kreutzer, rare nouvelle de l’auteur russe Tolstoi.
Et non sans un brin de provocation, Irène Frain déclare que le plus grand auteur de nouvelles est certainement Shérazade. Chacune de ses aventures est une nouvelle à part entière.

La répartie et la bonhommie de Marc Levy surprend le côté de l’auditoire qui n’a pas l’habitude de se jeter sur son dernier opus.

Mais c’est à Maxime Chattan que revient la meilleure conception du thème de la soirée : “une nouvelle, il faut enlever le gras! Pour un roman, j’autopsie un corps en entier. Pour une nouvelle, j’autopsie un organe seulement.”

Après la Master Class, séance de dédicaces et rencontres au premier étage, pour poursuivre l’échange avec les auteurs.

Marc Lévy passe une tête et puis repart. Ce jeu du dialogue avec ses lecteurs ne lui plait sûrement plus.

Irène, Françoise, Maxime et Joël, quant à eux ne boudent pas leur plaisir de partager avec leurs lecteurs.
Françoise Bourgeois nous avoue qu’elle aurait aimé écrire un blog. Sur quoi? lui demandons-nous. Réponse: “mes coups de gueule!”, dans un éclat de rire. Mais elle a toujours craint que le temps lui manque.

De son côté, Joël  Dicker s’autorise ce qu’il ne fait sans doute jamais sur son livre: La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert. C’est à dire des dédicaces dessinées. De futurs collectors très certainement.

Quand nous nous rapprochons d’Irène Frain, l’auteure partage avec jovialité son histoire, et surtout celle de son prénom.

Autre surprise, Maxime Chattam prend le temps du dialogue avec chaque lecteur venu à sa rencontre. Avec nous, il parlera de sa passion récente pour Ron Mueck qu’il a découvert à la Fondation Cartier, tout en s’intéressant à notre blog:”envoyez-moi l’adresse via Twitter!

On parle idées. Comment viennent-elles? Il dit s’en vouloir parfois de perdre 2 heures de sa vie à cause d’un mauvais film. Tout en ajoutant: “mais le plus étonnant c’est que tout me stimule même les pires films peuvent avoir des résonances 6 mois, voire 1 an plus tard.

Les 5 nouvelles inédites de Maxime Chattam, Marc Lévy, Françoise Bourdin, Irène Frain et Joël Dicker sont à retrouver sur le site Samsung.

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PHOTO DU MOIS #14 : l’eau

Chaque mois, les bloggers et bloggeuses qui participent à La Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème.
Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants, le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.

Pour ce mois, le thème est: l’eau.
Et à Paris, les beaux jours de retour, tous les regards se tournent vers la Seine.
Apercevant cette péniche approchant, j’ai pensé à la photo de Willy Ronis, La Péniche aux enfants, datant de 1959.
Le célèbre photographe s’était alors penché au dessus d’un pont parisien et avait découvert deux enfants jouant dans la cale de la péniche.
Il avait juste eu le temps d’un déclic pour immortaliser une scène, poétique.

Vous ne trouvez pas que cette péniche 2013 ne manque pas de charme au milieu du fleuve parisien ?
La noirceur de son chargement offrant un contraste parfait entre l’eau et le ciel.

Surfez pour découvrir toutes les autres propositions à travers les blogs participants :
Chat bleu, La Nantaise, scarolles-and-co , Cekoline, WolverineZaza, Karoll art, LaureThalie, Alban, LisaDeParis, Petite Cuillère CharentaisesCocosophie, Nie, Akaieric, Viviane, Carole In Australia, Claire’s BlogLavandineOriIsaquarel, La Fille de l’Air, GuillaumeXavier Mohr, Calamonique, Louiki, Sephiraph, Caro JulesetMoaA bowl of orangesUne niçoiseELes voyages de Seth et LiseMeyiloGilsoubTestinauteLaulineaJosiane, Angélique, Emma, Céline in ParisRenepaulhenryJulie, Hypeandcie, Les bonheurs d’Anne & AlexFrédéric, Isa ToutSimplement, Lucile et Rod, Raphaël, Alexinparis, CocoEl PadawanJ’adore j’adhèreDame SkarletteMclwKrn, Champagne, Stephane08Xoliv’A’ichaCaterineflechebleuSolveigLa Messine, Christelle, Galinette, La voyageuse comtoiseCricriyom from Paris, La Papotte, Ferdy Pain D’épice , Cathy, BestofavaChristeav, N, ChristopheDelphineFLouisiannePilisiEurydice
Filamots
AnneLyonelkCherrybee, Leviacarmina, La Flaneusemagda627, Mamysoren, Happy UsBiGBuGS, Kob, Caro from London Tambour MajorL’AzimutéeDjoulNickyHomeos-tasieTuxanaDr. CaSoMThe MouseThib, Carnets d’images, Agrippine, Giselle 43, Photo Tuto, Fanfan RaccoonCarnet d’escapades, Sinuaisons, Hibiscus, Un jour, une vieMarmotteMimireliton, Karrijini, CaraArwenCath la CigaleM.C.OFrançois le NiçoisAlice Wonderland, La Parigina, Lau* des montagnesLes voyages de LucyGizehMorgane Byloos Photography, The Parisienne, AkromaxBlogoth67VioletteCaroline, Ava, Laurent NicolasChloé

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Une question ? Contactez Anne

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