L’équipe vous propose de courtes rencontres avec celles et ceux qui font l’actu et qui ont fait le buzz au Salon du Livre édition 2012, Porte de Versailles.
Eric Zemmour interpellé par une lectrice qui n’apprécie guère le laissez-aller du journaliste-écrivain. A-t-elle raison?
Un candidat à la présidentielle: François Hollande qui répond à une question sur deux.
Xavier De Moulins, journaliste et présentateur des News sur M6 nous présente son livre
Un livre coup de coeur sur le Stand des Editions Mercure de France.
Jean-Louis Fournier nous propose une radiographie de son lectorat.
Coup de coeur bd: Freud dessiné par Anne Simon. Souriante et pétillante. Un coup de coeur on vous dit.
ENJOY
Chaque mois, les blogueurs qui participent à La Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème.
Toutes les photos sont publiées sur les blogues respectifs des participants, le 15 de chaque mois, à midi, heure de Paris.
Pour ma première participation, alors que le désespoir me gagnait, j’ai découvert, en début de semaine, une scène comme seul Paris en a le secret.
Une rencontre inédite, en bord de quai de Seine, sur l’Ile Saint-Louis entre une amatrice de glaces profitant des premiers rayons de soleil et un cygne.
Découvrez toutes les autres photos des ami(e)s bloggeurs et bloggueurs all over the world!
C’est l’Evénement du début d’année, voire de 2012 tout entier. Le vaisseau Burton s’amarre enfin à Paris, à La Cinémathèque Française jusqu’au 5 août.
Alors que l’exposition que le MOMA à New York a consacré au cinéaste l’année dernière suscitait toutes les convoitises et poussait certains fans français à traverser l’Océan pour ne pas rater une occasion rare de pénétrer l’univers burtonien, la blogosphère n’en finit plus de trépigner depuis plusieurs jours, euphorique d’avoir un Maître à vénérer en chair et en os sur son sol.
Et quel plaisir effectivement d’avoir désormais les preuves originales des nombreux talents du cinéaste américain – expatrié à Londres – que l’on peut présenter aux grincheux convaincus que Burton ferait toujours le même film.
L’ouverture de l’exposition et de la rétrospective a été marquée par une master class sold out en moins de 10 minutes, un vernissage tapis rouge avec refoulement d’invités et une séance de dédicaces qui aurait, au final, fait plus de malheureux que de chanceux. A ce jour, le mystère reste entier sur les raisons de ne pas avoir stopper l’allongement de la file d’attente, quand il en était encore temps et avant qu’elle n’atteigne le Palais Omnisport de Bercy.
Au 5 étage du bâtiment dévolu aux expositions temporaires, ce n’est que surprises, régression, jubilation et longue contemplation individuelle. Face à autant de merveilles, vous ne pourrez pas commenter toutes les œuvres avec voisin.
Les superlatifs ou substantifs ne manquent donc pas devant l’ensemble des pièces ponctuant un parcours vaste dans l’univers de Tim Burton. Dessins, sculptures, courts-métrages de jeunesse, publicités et reliques de films dont le pull angora d’Ed Wood. L’interdiction de toute reproduction de cet objet fétiche est un nouveau mystère à soulever.
Autant être prévenu avant de grimacer sur le prix du billet ou devant la queue à prévoir au cours des week-ends. L’enfant qui est en vous, ne vous sera jamais autant reconnaissant de l’inviter à traverser l’imaginaire d’un maître de l’image : dessinée, animée et filmée.
Après que le carrousel d’animaux étranges (inspiré d’un dessin pour le film Beetlejuice) accompagné de la musique de Danny Elfman a fini de vous fasciner, vous allez entrer dans une vaste salle réunissant dessins, esquisses et autres tableaux. Vous reconnaîtrez l’enfant huitre, et rencontrerez aussi bien de drôles de couples que des personnages improbables. Galerie de portrait géante avec monstres, ogres, squelettes, gravures de mode métalliques, personnages tentaculaires et brouillons de Mister Jack.
L’œil en perdrait l’équilibre, si la curiosité ne nous poussait pas à explorer chaque nouveau thème qui s’offre à nous.
Un bébé bleu, certainement l’enfant caché de Sally, héroïne de L’Etrange Noël de Monsieur Jack, nous accueille dans une autre salle. Rencontre silencieuse avec ce enfant immobile, au visage rafistolé.
La sélection thématique est aussi l’occasion de revenir, entre autres, sur une légende. Celle de propositions refusées par Disney pour le dessin animé culte : Taram et le chaudron magique. Les pièces à conviction encadrées épatent car l’univers Burtonnien est bien présent. Néanmoins, on se prend à sourire en imaginant la tête des décideurs quand ils ont découvert des monstres à poil ou des tables anthropomorphiques. Plus d’un « gloups » a dû être étouffé.
Suit une enfilade consacrée aux courts et longs métrages. Les films sont évoqués par quelques dessins et pièces maîtresses : le costume et le gant de Johnny Deep dans Edward aux mains d’argent, une série de visages de Mister Jack, des maquettes de martiens pour Mars Attack !, un épouvantail à tête de citrouille évoque Sleepy Hollow.
Batman avec trois masques en latex.
Au sujet de ce dernier film, saviez-vous que Burton écoutait l’album The Wall de Pink Floyd pendant le tournage des aventures du superhéros masqué?
Les présentations sont parfois un peu synthétiques quand vous croisez l’un des films chers à votre cœur.
On en aurait bien pris plus dans les mirettes : des costumes par exemple, une ou deux exclus sur le prochain film 3D Frankynwinnie, du studio Disney.
Souvenons-nous de l’exposition consacrée à Stanley Kubrick qui s’étalait sur deux étages. Tim Burton l’aurait tout autant mérité.
Reste une dernière question. Celle de l’achat du catalogue en version luxe avec lithographie signée de la main du maître. A 1000 exemplaires, cette édition a-t-elle quelque chance de prendre de la valeur avec le nombre des années?
Lundi, mercredi à vendredi :12h-19h. Week-end, jours fériés et vacances scolaires (14 au 29 avril et 4 juillet au 5 août) : 10h-20h. Nocturne le jeudi jusqu’à 22h.
Liox est un street artiste et peintre qui crée des installations éphémères au coin de la rue. Une galerie très personnelle à ciel ouvert.
Il faut un bon flair ou une bonne étoile pour découvrir les derniers oeuvres collées à même le poteau, qu’il offre aux parisiens.
Une fois l’artiste passé, il n’est pas interdit de repartir avec la feuille à dessin de votre choix, quand vous l’avez.
Son art est donc proche du subliminal.
Rive Gauche, les riverains ont une certaine tendance à la contemplation et ne sont pas poussés par l’envie de de décoller les oeuvres.
Sans doute à cause de leur dimension.
Rive Droite, rue des Archives, par exemple les dessins ne mettent que peu de temps pour attirer les convoitises, voire parfois le vandalisme.
Voici la galerie photos réalisée le jeudi 9 mars 2012 – Boulevard Saint-Germain – Paris
Série des Marianne
Marianne Molle
O larmes etc.
Rue de Buci 6e – Série collection Printemps-Eté
Hommes de Belleville Made in Ménilmontant – 2010 – 20 euros TTC
Femmes de Belleville – Made in Ménilmontant – 2010 – 20 euros TTC
La question impertinente de la semaine: pouvons-nous conseiller l’exposition événement Bob Dylan à la Cité de la Musique à un(e) ami(e) qui ne connaîtrait que peu de choses concernant le chanteur américain?
Ce lundi, soir de vernissage, il n’est pas rare de croiser des visiteurs curieux, d’autres qui veulent avant tout se montrer et quelques-uns qui ont trouvé un cadre amusant pour donner se rendez-vous entre friends.
Bref, il y a de grands écarts entre les fins connaisseurs comme Hughes Aufray, présent, et les autres, qui ne connaissent tout au plus qu’une seule – mais la plus emblématique – chanson du répertoire du song-writer: Like a Rolling Stone.
Ouvrant cette première exposition d’envergure sur l’artiste folk, la galerie de photos noir et blanc du photographe Daniel Kramer sur mur bleu impose le recueillement.
Les salles voisines seraient presque anecdotiques si elles ne contenaient pas quelques pièces rares dont une série de guitares réunies, d’après le commissaire de l’exposition, Robert Santelli, “pour la première et dernière fois en France”. Une raison unique donc de croiser des pièces mythiques comme le compagnon de route d’Elvis Presley, l’instrument culte de Woody Guthrie dont toutes les guitares portaient la mention: “This Machine Kills Fascists” (cette guitare tue les fascistes).
Face aux portraits d’un jeune homme en devenir, le visiteur ne peut qu’être touché. D’abord par la frêle silhouette, ensuite par la précocité de la vocation. Suivi au cours d’ne année entre 1964 et 65 par le photographe Daniel Kramer – assistant de Diane et Allan Arbus – Bob, âgé de 23 ans s’illustre en compagnie de grands noms comme Joan Baez ou encore Johnny Cash, regard magnétique.
De l’aveu du photographe présent pour deux rencontres le soir de l’ouverture de l’expo: “Bob Dylan était un bon sujet photo et fallait que je sois un bon photographe, face à lui. C’était le point de départ indispensable pour débuter cette relation artistique.”
Suivra la réalisation de deux couvertures d’album pour le chanteur. La première, Bringing it all back, capte un Dylan pris au centre d’un effet visuel dont Daniel Kramer garde encore le secret. Cette couverture vaudra à ce dernier une récompense aux Grammy Awards.
La seconde pochette, jugée provocante à l’époque : Highway 61 revisited offre une scène de rue comme on pouvait assister dans le New York des années 60. Le chanteur est cette fois assis sur des marches d’escalier les cuisses un peu trop écartées pour l’époque. On distingue en arrière-plan une silhouette coupée au niveau bas ventre.
Cet ensemble d’arguments convergent à répondre par l’affirmatif à la question posée en début de billet. Bien que le personnage puisse décevoir, surtout depuis ses dernières tournées, par son manque de respect pour un public qui vient toujours en nombre, quelque soit votre niveau de connaissance du répertoire du chanteur, vous trouverez forcément une bonne raison pour vous rendre Porte de Pantin.
Exposition Bob Dylan, l’explosion rock 61-66
A La Cité de la Musique
Jusqu’au 15 juillet 2012
L’affaire Flactif, le meurtre sanglant d’une famille au Grand Bornand, a défrayé la chronique judiciaire et les faits divers en 2003.
Presque dix ans ans après les faits, Possessions, le film du réalisateur Eric Guirado s’empare de cette histoire pour en faire une fiction dont les rôles principaux sont tenus
par Julie Depardieu, Alexandra Lamy, Jérémie Rénier et Lucien Jean-Baptiste.
Saluons tout de suite leur performance, le casting est à un niveau de jeu exceptionnel.
Outre Jérémie Rénier (Bruno Caron), qui a pris 18 kilos pour le rôle afin de laisser le personnage l’envahir de l’intérieur. Julie Depardieu campe une Maryline Caron parfaite, déçue que son rêve d’une vie meilleure s’étiole au fil des déconvenues, contaminant son mari.
Face à eux, Lucien Jean-Baptiste et Alexandra Lamy sont parfaits dans ce couple de “bourgeois provincial” qui affiche sa réussite et sa domination sur le couple Caron.
Mais la mention spéciale revient à Appollonia Luisetti, âgée de 8 ans, qui interprète Morgane Caron, la fille du couple Caron.
On se demande comment cette fillette a pu sortir indemne d’un tournage décrivant des rapports humains d’une telle violence. De l’aveu même du réalisateur, c’est une véritable actrice, qui à son âge, est pleinement consciente de jouer un rôle. La preuve, dixit le réalisateur, la réaction de la jeune actrice à la fin des prises: “Eric, j’ai été bonne ?“
Dans cette fiction tirée de ce fait divers, le réalisateur ne veut que s’attarder sur les liens humains entre les différents protagonistes.
Et malgré l’avertissement que ce film n’est que pure fiction, résonne et remonte en nous le souvenir de ce meurtre ultra médiatisé tout au long du récit. A tel point qu’il est difficile de se décoller de l’actualité de l’époque qui a inondé les médias.
Il est évident que le cinéaste s’est beaucoup documenté pour écrire son scénario.
Mais outre le jeu d’acteurs, la maîtrise de ce film réside dans des images parfaitement construites, des cadrages justes et des paysages mis en valeur. Un réel plaisir.
Eric Guirado saisit le bon regard, le juste mouvement, le moment clef de chaque scène. Et comment ne pas être touché par la retenue de la mise en scène lors du point culminant du film.
Malgré ces atouts artistiques , on regrettera cependant que le scénario ne s’attarde pas plus sur la vie de la famille Castang.
Possessions est un polar psychologique juste et maîtrisé qui nous fait oublier la déception d’Avant l’Aube de Raphaël Jacoulot.
Ce samedi, l’équipe du blog a eu l’honneur d’assister à la 27e cérémonie des Victoires de la Musique. Préférant la musique live au Tournez Manège musical de TF1 avec The Voice, nous avons pu saisir quelques images en exclu, au cours de la soirée, dont un Orelsan en joie avec ses deux victoires, sa bande et toutes les filles qui voulaient une photo avec lui.
Première image: Skip the use pour un live fiévreux, entouré de très jeunes filles.
Zaz, en plein déploiement vocal, devant une vue de Time Square à New York.
L’un des éclats de cette cérémonie, injustement oubliée: Camille.
Orelsan, ses deux victoires et quelques membres de sa bande.
Laurent Voulzy tentant de se frayer un chemin au milieu de ses fans féminines. Un invité VIP en profite pour rappeler à l’artiste qu’ils se sont croisés dans l’Eurostar. Le chanteur et sa victoire sont restés de marbre.
Rouge passion. Les girls de Brigitte glamour de dos et un inconnu de face.
Brigitte sur le plateau de Planète Musique Mag de Thomas VDB après la cérémonie.
David Tomaszewski, réalisateur du dernier clip d’Orelsan, Raelsan, garde tout son mystère derrière son masque.
La fine équipe en remet une couche suite au premier concours.
Nous vous proposons une nouvelle fois de gagner des places pour Je ne serai pas au rendez-vous actuellement au Théâtre des Mathurins. Ecrit par le metteur en scène Ladislas Chollat avec Patricia Haute-Pottier, cette pièce va vous transporter dans un questionnement délicat sur les notions de temps et d’opportunités à saisir au cours de sa vie.
Pour le moment, nous n’avons pas envie de vous en dire plus parce que nous voulons que vous la découvriez avant d’en reparler ici-même.
Tentez votre chance pour gagner 2×2 places afin d’assister à la représentation du mardi 6 marsà 19h00.
Répondez aux deux questions suivantes: 1/ De quel générique de dessin animé culte des années 80 Roger Dumas a-t-il écrit les paroles? Indice 2/ Quel est le nom du librettiste américain d’Avenue Q récemment interviewé par l’équipe d’United States of Paris? Indice
Beth Jeans Houghton est La voix de 2012. L’équipe du blog en a décidé ainsi, après un tour de table rapide et efficace.
C’est donc irrévocable. Nulle protestation ne sera recevable.
Quand vous aurez entenduSweet Tooth Bird, premier titre de son album, Yours Hooves of Destiny, vous comprendrez l’urgence de découvrir l’univers de cette jeune artiste musicalement et visuellement inspirée. C’est aérien. Au son de cet hymne, on s’imaginerait tout à fait défiler en pleine rue et franchir les montagnes les plus hautes.
C’est pour cela, que nous n’avons pas résisté à l’envie d’en savoir plus. Rencontre faite, il y a quelques jours. Beth, l’exubérante dans ses clips, se fait animal discret dans le cadre feutré d’un hôtel parisien.
Bien sûr qu’elle est capable d’en complexer plus d’un à cause de son âge et de son talent. Mais une fois passé ces deux points cardinaux, vous ne résisterez pas longtemps à Humble Digs, Dodecahedron ou Atlas. C’est festif, à la croisée de la fulgurance d’Arcade Fire et de la dentelle mélodieuse de Divine Comedy.
Avec Liliputt, on serait dans un London rétro. Le clip faisant penser au film Orange Mécanique de Stanley Kubrick, Beth courant dans un tunnel qui n’en finit plus.
Réjouissons-nous, BJH accompagnée de son band, sera un des éclats vocaux de la 15e édition du Festival Les Femmes s’en mêlent.
Les routes de France vont se retourner sur son passage lors de cette tournée féminine.
Les dates de concerts:
MARDI 20 MARS – Normandy • Saint-Lô
MERCREDI 21 MARS – La Carène • Brest
JEUDI 22 MARS – Stereolux • Nantes
VENDREDI 23 MARS – Théâtre les 13 Arches • Brive-La-Gaillarde
SAMEDI 24 MARS – Le Bournot • Aubenas
Fini les apéros cachés organisés au cours de l’été en plein chantier de l’Hôtel Jules et Jim, installé rue Gravilliers, dans le 3e. Chaque grande étape était en effet, l’occasion de rendez-vous conviviaux. L’équipe du blog avait ainsi pu assister à l’installation du mur végétal dans la cour de l’établissement.
Depuis quelques jours le décor sent bon le neuf. Le cadre feutré du hall d’accueil mais aussi celui du bar invite à la confidence et à la complicité.
Lors de la soirée d’inauguration, les yeux des convives ont du mal à contenir leur surprise en découvrant le décor de cet hôtel composé de matériaux simples et durables: verre, bois massif, pierre, béton brut et Hi-Macs – coque composite composée de pierre, résine et liant.
Première étape, le comptoir d’accueil, lumineux, recyclable et arty.
Une fois saluée la jeune hôtesse d’accueil souriante, nous franchissons une porte nous menant dans la cour intérieure. Ici, la vue est imprenable sur les deux autres bâtiments composant l’établissement: deux maisons de deux étages.
Derrière les murs, des chambres au charme discret, cosy et parfaitement insonorisées. Il vous faudra vraiment tendre l’oreille pour surprendre les conversations des chambres voisines.
Chacun des trois bâtiments offre ainsi un cadre de nuitée distinct et original. Nous en pinçons pour les petites chambres de l’ensemble situées au 8e étage du premier immeuble avec vue sur le Sacré Coeur, pour la première et vue sur les toits du 3e arrondissement, pour la seconde.
Au cours de cette soirée festive, une nouvelle tendance qui fera des émules. Aux côtés des cocktails et autres coupes de champagne un peu trop classiques au demeurant, un bar à soupe est aussi proposé pour réchauffer les plus téméraires préférant la chaleur d’une cheminée en extérieur.
La sélection musicale orchestrée par la malicieuse Béatrice Ardisson nous offre des reprises qui incitent souvent à interrompre sa conversation pour reconnaître la version originale.
De son côté, Geoffroy Sciard, désormais directeur du lieu, n’en finit plus de sourire et se réjouir de la fin d’une aventure faite de graviers, marteaux piqueurs et casque de chantier et des premières heures d’une nouvelle plus sereine, internationale et tout aussi inventive.
Au fait, vous doutiez-vous qu’il faisait aussi chaud sur le chantier de l’hôtel?
Photographie de Bruno Perroud, de la série Instantanés