Chaque mois, les blogueurs et blogueuses qui participent à la Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.
Cette fois, c’est au tour d’Alice Wonderland de choisir le sujet : la tête dans les étoiles.
C’est à l’Atelier des lumières dans le 11e à Paris – nouveau lieu de création artistique – que nous avons la tête et les yeux dans les étoiles numériques.
La création du studio OUCHHH est aussi conceptuelle que spectaculaire. A découvrir sans attendre avec l’autre spectacle consacré au peintre Gustav Klimt.
Chaque mois, les blogueurs et blogueuses qui participent à la Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.
Cette fois, c’est au tour de Marie de choisir le sujet : Ding-Dong.
C’est au Château de Rambouillet récemment restauré que j’ai croisé cette petite merveille. Une horloge, discrète, posée sur une chemise dans un bureau éclatant de lumière. Un de ses détails m’a particulièrement frappé : cette femme ailée.
Du 15 mars au 1er avril prochains, le collectif Q Rators en partenariat avec la Queer Week, la galerie Treize et le Point Éphémère, propose un événement entièrement consacré à l’érotisme et aux multiples visions de la sexualité.
Le festival Session of tenderness nous invite à réfléchir sur les normes des rapports intimes, la vision de notre corps et de la beauté dictées par la société.
Pas moins de 17 artistes aux disciplines différentes vont permettre de créer un dialogue artistique entre l’Europe et les pays de l’ex-URSS en s’interrogeant sur le monde actuel.
À cette occasion, nous avons pu interviewer le groupe artistique russe Bobo qui proposera une performance pour le moins inédite : se faire tatouer par de parfaits inconnus ! Le public devra répondre à une question en apparence simple et banale : « Qu’est-ce que l’amour ?» et la réponse restera gravée à tout jamais sur le corps de l’artiste. Votre vision de l’amour conservera ainsi une trace singulière. 😉
Interview
USOfParis : Confier son corps à de parfaits inconnus est osé. Surtout en conservant une trace à vie. Vous n’avez pas peur ?
Cyanide Zloy : Un peu. Natalia Petukhova : Il veut juste avoir des tatouages gratuits ! 🙂
La performance que vous proposez est assez radicale. Quel a été l’élément déclencheur du projet ?
Cyanide : En réalité, c’est la suite d’une performance réalisée en 2013 intitulée : « la définition de la liberté », dont le principe consistait à confronter les symboles de la liberté et de l’amour pour avoir une belle photographie. En fait, ce n’est pas si radical que ça pour l’artiste que je suis, ou pour l’art contemporain en général.
Natalia : Nous aimons l’art et nous voulons vraiment qu’il nous suive à chaque instant… J’ai un gigantesque tatouage tout le long du corps et ce n’était pas une performance, mais un désir personnel. Les Russes n’ont pas réussi à recouvrir la totalité de ma peau, mes espoirs se tournent alors maintenant vers Paris !
En utilisant votre corps afin de laisser le public s’exprimer, vous pensez qu’il se révélera plus facilement ?
Cyanide : Aucune idée mais je l’espère. Nous verrons ça ensemble pendant la performance !
Natalia : Comme ce sera dans un bar (le Point Éphémère), je pense que le public sera plus détendu et donc plus ouvert. Comme le disait Jacques Lacan, l’être humain a besoin de l’autre pour se comprendre. Ici, l’encre sera cet « autre » pour vous.
Quel message souhaitez-vous délivrer par le biais de cette performance ?
Cyanide : Bien entendu, il y a un message codé dans la forme mais je veux laisser le travail de décodage au public ! D’autre part, comme la plupart des œuvres d’art contemporain, cette performance remet en question le sens même de l’art : “Qu’est-ce que l’art ?” Dans le cas d’un tatouage, c’est un message à long terme, mais il n’est pas éternel car il ne dure que le temps d’une vie humaine. Cette citation résume bien le problème :“Ars longa, vita brevis“.
Natalia : Pour moi, le message serait « tout est connecté ». Toutes les personnes rencontrées au cours de nos vies laissent une trace en nous. D’anciens tatoueurs soviétiques pensent que le fait de tatouer quelqu’un est quelque chose de sacré, reliant l’artiste et son modèle pour toujours. Et comment peut-on commencer à aimer un garçon russe sinon en le blessant un peu ? 😉
Quel est votre rapport au corps ?
Cyanide : Nous avons nos hauts et nos bas vous savez.
Natalia : Le concept du festival Session of Tenderness semble être la description plutôt exacte de nos relations avec le corps : le sexe, l’érotisme et l’amour.
Et vous, quelle est votre vision de l’amour ?
Cyanide : Dans la Russie actuelle, lorsque je pense à l’amour, c’est le ministère de l’amour de 1984 de George Orwell qui me vient à l’esprit.
Natalia : L’amour, c’est un peu comme un tatouage. C’est douloureux, c’est un peu dangereux, mais tu en veux quand même 🙂
Comment imaginez-vous l’amour dans le futur ?
Cyanide : Tout dépendra de ce à quoi je vais ressembler après la performance !
Natalia : Par Wi-Fi. Peut-être que les gens se réuniront dans des bars et se tatoueront avec des nanopuces d’amour.
Quel conseil donneriez-vous aux nouvelles générations à venir ?
Natalia : Plus il y a de tatouages, mieux c’est !
Une philosophie de vie ?
Cyanide : Il ne sert à rien de me tuer avant mes 70 ans ! Natalia : L’amour partira, le tatouage restera pour toujours !
Session of tenderness festival d’art post-soviétique par Q Rators
exposition à la Galerie Treize
24, rue Moret
75011 PARIS
Du 15 mars au 1er avril avec échanges entre les artistes Ukrainiens, Russes et Biélorusses : Kseniya Platanova, Seleznev Nikita, Zhanna Gladko, Sergey Shabohin, Alyona Petit et les artistes partenaires de la Queer Week : Sébastien Hamidèche, Céline Drouin Laroche, le collectif Black(s) to the future et Mathilde Fenoll
Les 21 et 22 mars de 20h30 à 23h Soirées de performances avec Alina Kopytsa, Mikhail Badasyan, Alyona Petit, SVITER art-group, Bobo, Tekhnopoeziya au Point Éphémère
200 Quai de Valmy
75010 Paris 10
Les 21 et 22 mars dans les laveries du 19ème arrondissement : Concerts de Tekhnopoeziya
Le 23 mars toute la journée : Installation interactive d’Alexandre Budaey, marché Place des fêtes (Paris 19).
Il y a quelque temps, nous partions explorer Granville, en Normandie. Une destination qui est d’accès pratique, confortable et rapide par le train.
Cette fois, on vous propose de découvrir les coulisses de ces voyages, en partageant notre visite dans le Technicentre SCNF de Clichy. La plaque tournante de la maintenance des trains fonçant vers la Normandie. Rencontre avec des hommes et des femmes passionnés de rails.
En prise directe avec la réalité du terrain
C’est sur site que se gère toute la maintenance des Intercités et des TER à destination de la Normandie. De l’intérieur à l’extérieur des trains, rien n’est laissé de côté. Ceci grâce à une équipe de 310 agents qui œuvrent 7j/7 et quasiment 24h/24. Ils doivent s’assurer que 11 trains circulent quotidiennement sur les rails. Aussi bien par grand froid ou forte chaleur et parfois c’est hard.
Pour y parvenir, ils ont à leur disposition trois immenses ateliers, des dizaines de voies extérieures.
Au Technicentre, toutes les pièces sont disponibles : du plus petit boulon ‘à l’énorme groupe de climatisation.
Le tout pour plus de praticité mais aussi de réactivité.
C’est impressionnant de voir ces voitures stockées ça est là, sur des fosses de maintenance ou surélevées.
Une gestion quotidienne planifiée…
Chaque train, chaque rame, chaque voiture a bien évidement un cycle planifié d’entretien. Le plus court (quasi quotidiennement à une semaine) : le simple remplissage d’eau, vidange des toilettes, au nettoyage poussé de l’intérieur et de l’extérieur. En cycle moyen (hebdomadaire à mensuel) : contrôle des organes de sécurité, éléments mécaniques, les semelles de freins, les toitures, le confort et les portes… Contrôle annuel ou semi-annuel : des visites techniques pour procéder au remplacement éventuel d’organes mécaniques, de systèmes de freins, la réparation du réseau électrique, des sièges…
Toutefois, cette planification rencontre aussi des aléas.
Le dernier fût la forte vague de neige et de froid de ce mois de janvier 2018 : 40 fenêtres abimées ou cassées à remplacer en express. Ce fût l’occasion d’un grand chamboulement en termes d’organisation.
Cet épisode neigeux a aussi nécessité l’utilisation de 13 tonnes de sel pour maintenir le site de Clichy en état de fonctionnement.
Une autre facette de la SNCF
Dans ces coulisses, loin du bashing commercial sur la SNCF, on a rencontré des agents fiers de leur job. Ils font tout pour que nous, voyageurs, ayons des conditions optimales lors de nos déplacements.
On a bien senti un peu de tension suite aux dernières réformes de l’organisation du travail. Et certaines grèves engendreraient aussi des désagréments pour les agents du Technicentre de Clichy.
Il n’y aurait donc pas que les clients SNCF qui seraient touchés.
Tout est mis en œuvre pour que vos voyages vers la Normandie se déroulent sans encombre et dans un confort maximal. Alors pourquoi ne pas foncer en gare et prendre des billets pour vous offrir quelques jours de repos au Mont Saint-Michel ou au Havre?
Stage Entertainment France c’est déjà 11 années de production depuis la gestion de la direction du Théâtre Mogador. La production a adapté des comédies musicales célèbres. Et c’est pour une annonce plutôt marquante que nous avons rejoint la rue Mogador : une alliance avec le Cours Florent. La création d’une classe libre Comédie Musicale, voilà une vraie (r)évolution dans le monde de l’enseignement artistique en France.
Comme il existe déjà une formation Comédie Musicale au Cours Florent, une seule question est à poser.
Pourquoi une classe libre pour la Comédie Musicale ?
Frédérique Farina, qui dirige la filière Comédie Musicale du Cours Florent rappelle le contact : “Au début, on s’est posé la question d’une 4e année dans la classe Comédie Musicale. Et puis, on s’est penché sur l’idée d’une classe libre donc ouverte à tous sur concours.”
Les musicals sont des spectacles qui attirent les professionnels. “Pour Chicago [programmée la saison prochaine], il y avait 600 candidat(e)s à l’opencall.” complète Eric Loustau Carrère. Mais la grande problématique a toujours été : y a-t-il de la place pour les musicals à Paris ? “Oui ! affirme Laurent Bentata, DG de Stage Entertainment, et il y a de bons acteurs ! Mais on va créer une passerelle entre la théorie et la pratique”
D’ailleurs, durant les auditions de Chicago, un casteur venu de New York a confié au staff : “Il y a 30 ans, c’était l’enfer pour trouver des acteurs au top niveau danse et chant à Broadway !”
Alors que les comédies musicales acquièrent leurs lettres de noblesse en France, il était temps de créer un appel d’air d’un genre nouveau.
Mais pour le créateur des Cours Libres Théâtre du Cours Florent, Francis Huster, un seul mot d’ordre : “Il faut faire des élèves des objets rares. On ne doit rien exiger des élèves mais qu’ils trouvent leur rareté. Ce n’est pas de faire des acteurs des chanteurs et inversement.”
Pour résumer, si un boucher ou une boulangère qui a du potentiel scénique souhaite se présenter, ni l’un ni l’autre ne doit être exclu.
Une formation diplômante…
Le Cour Libre Comédie Musicale c’est 8 mois de formation intensive, avec plus de 500 h de cours. L’enseignement se répartira à moitié aux Cours Florent et pour l’autre moitié sur scène au Théâtre Mogador. Le but s’est de former [les élèves] seul, ou à deux pas uniquement en groupe.” Alors tous les aspects de la comédie musicale seront approchés (danse, chant et jeu d’acteur) ainsi que la physicalité de la scène.
L’objectif principal : une promotion de 16 à 20 élèves avant l’été 2019. Ils seront titulaires d’un diplôme reconnu à l’international grâce à la notoriété combinée du Cours Florent et de Stage Entertainment.
Et bien sûr, les élèves de cette classe auront automatiquement accès aux castings de des comédies musicales produites à Mogador.
C’est parti pour les inscriptions…
Ce concours est donc ouvert à tous et toutes, de 16 et 35 ansau niveau européen !
Un seul prérequis : avoir des bases, en chant, en danse, ou en jeu (ou les trois).
Il se déroulera donc en 3 tours qui testeront toutes ces aptitudes : épreuve de danse en groupe, épreuve de chant libre ou imposé (en français et ou en anglais) et aussi des scènes à jouer.
1er Tour au Cours Florent : du 1er au 16 juin 2018
2ème Tour au Cours Florent : du 20 au 23 juin 2018
3ème Tour au Théâtre Mogador : du 2 au 3 juillet 2018
Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 28 mai 2018 à 18h.
Et pour vous motiver un peu plus le parrain de cette première promotion sera Laurent Lafitte !
Plus d’infos sur les modalités du concours sur la page des Cours Florent.
Inscription au concours : 95 €
Frais d’inscription annuelle (pour les lauréats) : 370 €
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Cette fois, c’est au tour de Jemelivre de choisir le sujet : Contraste(s).
C’est à la Seine Musicale vendredi dernier, lors des Victoires de la Musique 2018 qu’un contraste est apparu dans mon objectif. Eddy de Pretto seul en scène, a fendu la pénombre de la scène pour emporter le public avec sa Fête de trop. Une performance remarquée qui nous a rappelé celle d’une autre révélation, il y a quelques années : Christine and The Queens.
Cette photo a été appréciée par le jeune chanteur qui l’a postée sur son Instagram.
Chaque mois, les blogueurs et blogueuses qui participent à la Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.
Cette fois, c’est au tour de Sous mon arbre de choisir le sujet : Festivités.
Je pensais finir l’année 2017 en beauté avec une superbe projection et un feu d’artifice de ouf sur les Champs-Elysées.
Mais c’était sans compter la foule extrêmement dense, les bandes de potes qui te bourrent et surtout une Anglaise saoule, agaçante et collante – oui, je sais c’est un cliché. 😉
Des conditions de prise de vue extrêmes relatives mais une vue imprenable sur la Tour Eiffel sur l’Arc de Triomphe.
Quand deux monuments parisiens sont réunis sur un seul, forcément c’est magique !
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Cette fois, c’est au tour d’Angélique de choisir le sujet : Péché Mignon.
La gourmandise est une passion folle ! Et pas plus tard que mercredi soir à la Maison Merci x My Little Paris : craquage complet pour les adorables biscuits de Noël associés à un bon cocktail.
Un after work très agréable mais avec un supplément de sucre.
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Cette fois, c’est Josette qui a choisi le sujet : ambiance automnale.
La visite du Hameau de la Reine est impressionnante, car éloignée de la grandeur et des dorures du Château de Versailles.
Son charme discret est un vrai bonheur et les couleurs d’automne lui vont si bien.
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Une innovation design et technique nous a impressionnés récemment à la Monnaie de Paris.
Ce meuble conçu par Mathieu Lehanneur posé sur des bulles de verres.