Chaque mois, les blogueurs et blogueuses qui participent à la Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.
Cette fois le thème du mois a été choisi par Thalie : en chantant. Note de l’auteur du thème : Comme le dit la chanson : “quand j’étais petit garçon je repassais mes leçons en chantant ; et bien des années plus tard je chassais mes idées noires en chantant […] la vie c’est plus marrant c’est moins désespérant en chantant” Votre photo devra donc représenter une chanson dont le titre sera à deviner par le reste du groupe. A vos appareils, prêts, photographiez … en chantant !
Indices : il s’agit d’un titre français récent qui a fait quelques millions de vues sur Youtube.
Si vous souhaitez rejoindre la communauté de la Photo du mois, rendez-vous sur la page FB du groupe, si ce n’est pas déjà fait !
Chaque mois, les blogueurs et blogueuses qui participent à la Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.
Cette fois le thème du mois a été choisi parNicky: évasion.
A la simple évocation du mot évasion, une image m’est revenue comme un flash. Un parc nord américain, celui nommé Valley of Fire, en plein Nevada. Sorti de Las Vegas en fin de journée, puis descente du bus fissa pour pouvoir immortaliser le paysage avant que le soleil ne se retire pour laisser place à une nuit noire. Pas le temps tout à fait de saisir tous les détails, l’immensité aussi. Mais la preuve par la photo que ce n’était définitivement pas une illusion.
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Holiday on Ice, c’est 72 ans de spectacles et c’est le premier événement donné dans un hôtel de Toledo, Ohio, en décembre 1943, qui a laissé son nom à la troupe : Holiday.
Les spectacles ont bien changés depuis et la troupe revient en France ce printemps avec un spectacle inédit, Believe.
Nous avons assisté, ce mercredi, à la conférence de presse de présentation.Et dans ce show, beaucoup de nouveautés pour Holiday on Ice, tant sur le fond que sur la forme.
Believe : de l’histoire aux costumes
Premier changement : ce spectacle a une histoire du début à la fin.
Et résumer son livret est simple : un Roméo et Juliette, sur glace, en mode lutte des classes.
Antonio (Andrew Buchanan), le héros, vit dans le monde d’en bas, un univers de machines et de labeur. Clarissa (Robin Johnstone), l’héroïne, vit dans la prospérité et l’opulence du monde d’en haut. Lorsque les deux personnages se rencontrent, l’inéluctable surgit : le coup de foudre entre Antonio et Clarissa. Confrontés au rejet de leurs semblables, ils feront tout pour que leur amour triomphe.
Pour restituer la dualité de ces univers, Luc Peumans, (qui en est à sa 7ème collaboration avec Holiday on Ice) a imaginé deux scènes superposées : une pour le monde d’en haut et une pour celui du bas. Celles-ci sont reliées par deux ascenseurs et deux rampes qui permettent aux acteurs d’évoluer entre les différents plateaux.
Un écran LED géant englobe ce décor pour faciliter le voyage entre ces deux univers.
C’est le champion des Jeux Olympiques 1984 de danse sur glace Christopher Deanqui a été choisi pour mettre en scène et chorégraphier le show Believe.
C’est une double première pour lui : la mise en scène d’un spectacle et sa collaboration avec Holiday on Ice. Believe est aussi l’occasion d’une autre première collaboration celle de Nicolas Vaudelet pour la création des costumes.
Durant les 6 mois de travail, de la conception à la réalisation définitive, il a dû se confronter aux spécificités techniques d’un spectacle de si grande ampleur : matières souples pour les mouvements, zip pour les pantalons des hommes car ils ne peuvent enlever leurs patins lors des changements rapides de costumes. Mais il a aussi dû prendre en compte les impératifs artistiques. Car, si le metteur en scène souhaitait donné une silhouette plus “couture” aux costumes, il lui a fallu garder l’ADN d’Holiday on Ice : le cristal et les paillettes. Le parcours professionnel de Nicolas Vaudelet l’a certainement aidé à relever ce défi : concevoir 120 costumes en un temps si court.
En effet, le styliste a fait ses classes chez Christian Lacroix. Puis, il est passé parles maisons Dior, Louis Vuitton, Givenchy et Sonia Rykiel. Il a aussi participé, chez Jean-Paul Gaultier, à la conception des tenues de scène de Madonna pour son Confessions Tour. Après une période au ballet national espagnol, il travaille depuis 2013 pour le groupe Franco Dragone pour lequel il a conçu les costumes de la dernière revue du Lido : Paris Merveilles.
De l’innovation !
Pour ce spectacle, point de grand sportif médaillé sur la glace. Nathalie Péchalat, qui aurait dû être sur scène, prend le rôle de narratrice (pour cause de grossesse). Mais on nous a assuré qu’elle serait tout de même visible par le public. Mais par quel moyen ? Surprise.
Avec Believe, il y a une réelle volonté de faire évoluer la troupe d’Holiday on Ice. De nouvelles disciplines ont été incorporées à la troupe classique. Acrobates sur glace, pole-dance, et chanteurs en live qui sont les voix deux protagnistes de cette histoire.
Et cocorico ! La pole danseuse est française, mais surtout talentueuse. Un de ces numéros dévoilés lors de la conférence de presse est magique. Il faut dire que Vanessa Biel a remporté de nombreux prix internationaux.
Candice Parise et John Eyzen sont les voix du spectacle.
Leur parcours est bien distinct. Candice a joué le rôle d’Esmeralda dans la tournée asiatique de Notre Dame de Paris, mais aussi dans Hair et Roméo et Juliette. John, lui, a été repéré dans la Star Academy 2004. Il est aussi passé par la comédie musicale Roméo et Juliette.
L’extrait qui nous a été montré nous fait dire que le chant en direct va certainement donner une autre dimension émotionnelle à l’histoire qui sera jouée devant nous.
Adam Nadas & Ievgen Lukashenko sont impressionnants sur scène.
Véritables acrobates, ils vont sans conteste apporter une touche plus folle et débridée au spectacle.
Philippe Candeloro, notre champion du patinage français, a été plusieurs fois danseur étoile des spectacle d’Holiday On Ice.
Pour Believe, il a revêtu une nouvelle casquette celle de directeur de casting à la recherche de nouveaux talents.
Mister Candeloro a pris la tête d’un casting organisé dans toute la France et ouvert à tous styles d’artistes (patineurs, acrobates, free stylers). La volonté du champion : créer un pont les milieux amateur et professionnel sans pour autant passer par le monde sportif.
Le gagnant de ce grand casting aura l’opportunité de participer à un numéro qui sera présenté en première partie de Believe.
Et le nom nous a été dévoilé nous a été dévoilé ce jour. Parmi les 100 candidats et les 12 sélectionnés c’est la Team 23 qui décroche la première place !
C’est l’occasion de mettre en lumière une discipline peu connue : le free style sur glace.
Découvrez la Team 23 avec une de leur vidéo. On a hâte de les découvrir sur la scène glacée !
Ce spectacle créé en 2015, est déjà en tournée en Allemagne. Celle-ci, prévue pour trois ans, passera par la France en mars 2016.
La production attend d’ailleurs prêt de 250 000 spectateurs français.
Serez-vous de ceux-là ?
Believe par Holiday on Ice En tournée en France à partir de mars 2016 :
Chaque mois, les blogueurs et blogueuses qui participent à la Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.
Cette fois le thème du mois a été choisi par elPadawan : mémoire.
Dans le contexte qui touche Paris et la France, difficile de ne pas faire acte de mémoire. Penser à la solidarité quotidiennement et non plus uniquement quand un événement tragique frappe notre pays ou le monde.
Nous avons partagé sur les réseaux sociaux les murs graffés pour l’occasion sur la Place de la République. Ici, une feuille simple affichée à quelques pas seulement du Bataclan, sur un kiosque à journaux. Simple et efficace.
Nombreuses sont les marques qui usent de la valeur street art pour changer leur image. Forcément, on est toujours un peu dubitatif quand on nous présente une nouvelle opé. Mais une interview peut révéler que, même s’il y a une volonté commerciale derrière une opération marketing, elle peut être aussi, et surtout, à l’origine d’une vraie rencontre artistique.
La relation entre Eristoff et l’artiste Nairone en est l’exemple.
Debrief de cette collaboration inédite entre Jim Phillips, Travie McCoy, Nairone, Thibault, chef de produit Eristoff, et John de l’agence HK Corp, lors de la soirée de lancement de l’Eristoff Wolf Pack Édition au Ground Control à Paris.
Nairone et Eristoff : un coup de coeur artistique
Lors de la soirée de lancement limitée 2014, il y a un an, Thibault, chef de produit pour Eristoff, rencontre Nairone : un graffeur de 24 ans (à l’époque) venu réaliser une performance.
Nairone c’est un graffeur du nord de la France, installé depuis quelques années à Paris. Son style et son univers séduisent Thibault qui décide de le faire collaborer à la prochaine campagne de la marque avec la réalisation du design de l’édition limitée 2015. “Il fallait qu’on capitalise sur cette rencontre et que l’on fasse quelque chose de plus fort pour se démarquer du mouvement street art dans lequel se sont engouffrées les autres marques. On a voulu mettre en avant un jeune talent émergeant, Nairone” nous confie Thibault. “Il a une patte extraordinaire avec laquelle on a tout de suite accrochée. En lui permettant de collaborer avec les plus grands noms du monde du graf, on souhaitait donner un vrai coup de pouce à sa carrière, le faire grandir et évoluer.”
“Je ne sais pas définir mon style. Je fais juste ce que j’aime faire et je ne sais pas pourquoi je le fais. Je m’inspire juste de ma vie et du pop art. J’utilise la technique de Roy Lichtenstein : je fais mes images à plat, je reprends des images de BD que j’agrandis et que je projette sur la toile ou sur le mur. A partir de là, je le fais à ma sauce” nous précise l’artiste.
Mais pour un graffeur, n’est-ce pas vendre son art que de collaborer avec une marque ? Nairone assume : “Les gens qui font du graffiti passent leur temps à en faire mais pas à en vivre. Je vis de ma passion mais avant je suis passé par le vandale, par la police. Je profite de rencontres incroyables que je n’aurais jamais faites, seul, comme avec Phillips et McCoy.”
Une volonté de pérenniser la valeur street art
Suite à l ‘édition 2014 qui a vu collaborer le chanteur Oxmo Puccino et Mambo, street artist installé à Los Angeles, avec la marque de vodka, l’agence HK Corp a souhaité, cette fois, “investir sur le long terme“, nous explique John, “avec un artiste qui a un style qui correspond à l’image de la marque, qui a envie de s’en imprégner et de la retranscrire de manière très naturelle.”
Donc l’édition limitée 2015 Wolf Pack d’Eristoff c’est la rencontre de trois styles : Nairone, pour la partie France/Europe, Travie McCoy, le New-yorkais et Jim Phillips, le Californien. Mais “la combinaison des trois n’a pas forcement été évidente” dixit Thibault.
C’est aussi quatre mois de collaboration entre les artistes qui a commencé par mails avant leur rencontre. Un jour, Nairone a reçu le tout premier croquis de Jim Phillips.
Les loups de cette première esquisse n’ont que très peu évolués par rapport à la version finale.
“C’est quand on s’est vu qu’on a mixé nos croquis. McCoy et moi, on a décidé de laisser la face de la bouteille à Phillips”, ajoute Nairone. “Travie a pris l’arrière et moi j’ai créé l’univers liant entre leurs deux visuels” et John de l’agence HK Corp de préciser : “Nairone a apporté le côté fusionnel entre les 3 artistes, créé l’association entre les 3 profils”.
Une aventure artistique et humaine
Après de multiples échanges par mails, les trois artistes et l’équipe de com se sont retrouvés sur la côte ouest des USA, pour finaliser l’édition. Ils se sont tous immergés dans l’univers de Jim Phillips :
“Nous avons eu la chance de pénétrer la vie de Jim avec sa femme et ses enfants à Santa Cruz” confesse Thibault. “On est loin du marketing pur : j’ai pu participer de façon très concrète à la création autour d’une marque qui s’est faite de manière très naturelle. Un échange humain entre trois profils artistiques qui ne se connaissaient pas à l’origine et qui ont vécu une expérience commune pendant 10 jours.”
Pour Nairone, c’est l’occasion d’apprendre de ses aînés. “Travie m’a donné envie d’aller plus loin, de réussir, d’être ambitieux mais sans oublier la passion avant tout. Avec Jim, j’ai découvert l’envie de produire. Quand on est arrivé chez lui, son garage était un musée. Il y a 40 ou 50 ans de sa production, tout y est exposé.”
Pour Thibault, il y a chez Phillips “une forme de maturité, on l’écoute. C’est un personnage passionnant. C’était fabuleux comme rencontre.”
Et au détour d’une petite frustration, Nairone a peut-être pu nouer une relation artistique plus profonde avec Jim. “Il nous emmenait que dans des restaurants de poisson. Et comme j’aime pas ça, je prenais que des menus enfants. Alors un jour, j’ai dessiné un skate en forme de hot dog et Jim m’a dit : Faut qu’on garde contact, on va faire quelque chose de ça.”
“Tous les trois, on a partagé sur tout : le personnel et le professionnel. J’en ai pris plein la tête pendant 10 jours, fallait être là pour le vivre. La séparation à la fin du projet a été très dure” nous dit John. Quelques larmes ont coulé sur les joues de l’attachant Nairone qui ne cache pas l’émotion qu’il a ressentie à ce moment.
Eristoff : des contraintes techniques pour les artistes
Cette bouteille emblématique de la marque possède quelques particularités contraignantes pour les artistes.
“J’ai eu du mal à m’approprier le support. On a tous les trois fait des croquis séparément, puis on les a mixés pour la bouteille test. Et c’est là que l’on s’est rendu compte que ça n’allait pas avec la forme car les bourrelets du bas déformaient le dessin.”
Mais une visite de Nairone dans l’usine qui imprime les étiquettes a permis de déjouer ces contraintes : “j‘ai pu poser des questions et on a pu résoudre les problèmes.”
Rendre compte de cette collaboration hors norme
“C’est une collaboration artistique qui s’est super bien passée, même si elle n’était pas évidente.” Pour Thibault le chef de produit Eristoff, il y a eu une vraie volonté de rendre compte de cette coopération artistique à travers diverses vidéos mais comme le confirme John de HK Corp : “c’est difficile de transmettre les émotions dans les films d’une marque, c’est hyper délicat d’y faire adhérer le public, de ne pas penser que c’est du faux“.
“Ce qu’on voit c’est ce qui c’est réellement passé.” conclut Thibault.
Et l’équipe créa de HK Corp, sur un coup de tête et une idée improvisée, a voulu raconter l’histoire de cette aventure via l’intérieur de la bouteille dans un film 360°.
Il leur a donc fallu trouver des solutions techniques pour ne pas avoir de déformations causées par le verre de la bouteille mais aussi pour y intégrer le dispositif de tournage.
L’équipe a donc customisé une caméra, qui est du coup unique, avec un rendu plutôt intéressant. Elle a pris place dans une bouteille originale en plexiglas et non en verre.
Le futur entre Nairone et Eristoff
Apparemment, le jeune artiste street art a forgé une belle relation avec la marque de spiritueux. A telle point que celle-ci voit plus loin dans leur partenariat : “la collaboration avec Nairone ne s’arrête pas à cette année. Les premiers retours sont positifs. C’est une histoire qui commence. On souhaite faire des performances avec lui, travailler sur des projets d’édition limitées, sur des projets d’autres marques.”
Nairone adhère à cette entente réciproque : “Je sais ce qu’il faut faire ou pas, mais j’ai vraiment l’impression de dessiner pour moi, c’est ça qui est cool !”
Quand on lui parle de sa relation à Instagram et de sa volonté de cacher son visage, il affirme : “Oui, je joue avec l’anonymat. Je ne sais pas pourquoi. Ça me fait juste rire, je crois. Mais comme on me suit c’est aussi pour montrer que ce que je fais est plus important que qui je suis.”
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.
Pas le temps d’attendre la traditionnelle Foire de Paris du printemps prochain pour découvrir les nouveautés connectées, les coups de coeur gourmands ou refaire votre intérieur ? La Foire d’Automne est faite pour vous ! Et elle n’a rien a envier à sa grande sœur.
Rien que pour vous : 380 exposants répartis sur trois pavillons et organisés en 5 thématiques : Découvrir & Innover, Explorer le monde, Prendre soin de soi, Se régaler et Vivre bien chez soi.
Même si vous retrouvez les basiques comme les cuisinistes, les marchands de meubles, les stands food, la Foire d’Automne n’est pas une simple copie de le Foire de Paris.
Elle met l’accent sur l’expérience, l’innovation et l’animation.
Coaching, tuto et DIY (Faites-le vous-même) Le Bar des copines est de retour cette année avec ses conseils et ateliers dédiés aux femmes : DIY pour les futures mariées, Geekettes – pour devenir une pro des réseaux sociaux – ou Halloween – pour parfaire vos cupcakes version fantômes et revenants avec votre bambin ou le maquillage de vos ados.
Les mâles ne sont pas en reste avec le Men’s corner qui propose les mêmes sujets mais version testostérone : battles de repassage et bras de fer sportif pour Super Nana, effets spéciaux de maquillage pour Halloween, coaching sportif pour sa séance “fais bouger tes muscles” à domicile.
Côté maison, on vous propose du coaching bricolage et déco : plomberie, bricolage de base, pose de parquet et même une initiation à l’impression 3D, qui devient accessible au grand public pour tout réaliser chez vous. Côté cuisine, l’atelier Afrofusion vous fera voyager à travers les 5 continents, pour une initiation aux mélanges culinaires et donc gustatifs, en passant par Tokyo, New-York, Rome, Mexico et Marrakech. #Yummy !
Les innovations à la Foire d’Automne 2015 La volonté appuyée de mettre en avant les innovations technologiques a débouché sur la création d’un Grand Prix de l’Innovation “Smart & Connecté”. Les lauréats et les participants sont exposés dans un espace dédié. Vous y trouverez certainement le produit tendance de demain et celui qui vous facilitera la vie.
Fun et animations La Foire d’Automne a l’envie de rendre ludique votre visite. Plongez à la découverte de la grande tendance du moment : l’Escape Game. Une cession de 30 min pour vous donner des frissons et tenter de résoudre cette énigme inédite. Leavin Room présente ici sa version transportable du concept d’enquête policière pour votre journée de team building ou une soirée entre amis à domicile et si vous êtes extravagant pourquoi pas à votre repas de mariage !
Sans oublier le moment d’évasion avec les spectacles de la Polynésie.
Des shows, des cours de danses traditionnelles ou de ukulélé, c’est l’idéal pour une pause au votre journée de visite.
Avec toutes ces propositions, on pourrait simplement dire : à chacun sa Foire d’Automne !
Foire d’Automne 2015
Jusqu’au dimanche 1er novembre de 10h à 19h
Pavillons 2.2, 2.3 et 3
L’agence WATO – We Are The Oracle – est la spécialiste des soirées spectaculaires dans des lieux hors normes : château abandonné, gare frigorifique abandonnée, bunker, skate-park, et bien sûr les Underwater 1, 2 et 3 à la piscine Pailleron.
Depuis 4 ans, l’équipe menée par Foulques l’intrépide s’intéresse à un lieu inaccessible. Elle a passé une année de démarches en secret. Le projet complètement fou et trippant : Venise sous Paris nous est enfin dévoilé et soutenu par la Mairie de Paris.
C’est la promesse d’une soirée de fête unique qui va faire briller vos yeux et marquer la nuit parisienne en la faisant rayonner sur la scène internationale. Les médias étrangers ne vont pas manquer de se l’écho de cet événement.
Les 4 premières soirées de janvier sont sold out ! 8 nouvelles dates sont mises en vente.
Foulques et son équipe sont de véritables acharnés, fous furieux et géniaux créateurs des plus beaux délires. Quand ils ont un lieu dans le collimateur, rien ne peut plus les arrêter. Même si l’intention est totalement folle sur le papier.
Avec leur projet 100% original sous le bras, ils ont dû tout d’abord convaincre les gardiens du lieu.
Par la suite, WATO a frappé aux portes des mairies d’arrondissements pour les associer et trouver des soutiens.
En effet, le lieu de cette prochaine soirée, qui sera tenu secret jusqu’au 16 novembre, couvre une grande superficie de la Capitale.
C’est donc avec la complicité de quelques élus conquis que le projet arrive à l’Hôtel de Ville. Et là c’est “Oui, mais… ”
Venise sous Paris : le rêve à porter de clic !
L’Oracle a lancé une mobilisation parisienne et internationale.
Pour que le projet soit concrétisé, 2 000 réservations étaient nécessaires pour obtenir le go final de Mme la Maire et ses adjoints. Et le pari a été largement remporté avant la date limite fixée au 16 novembre.
Venise sous Parisse déroulera en janvier 2016. Donc ne prévoyez aucun séjour au ski de longue durée, ne quitter pas Paris au risque de rater la soirée de votre vie.
Au programme : balade en gondole de 30 minutes dans un lieu envoutant jusqu’aux portes de la soirée, un palais éphémère flottant, puis théâtre et fête dans une ambiance Venise du 18è siècle.
A Kind of Magic!
Ayant la chance de connaître le lieu, Venise Sous Paris promet d’être une soirée magique mais elle sera aussi la chance unique de passer un moment dans l’un des trésors de l’architecture parisienne qui n’est pas prêt d’être ouvert une seconde fois au public.Vous êtes conquis(e) comme nous ? Voulez participer sans attendre à l’une des plus belles aventures de votre vie de Parigot(e) sans prendre l’avion ?
Réserver votre pass tout de suite ! Votre empreinte carbone vous remerciera et votre compte Instagram trouvera une seconde jeunesse avec toutes les belles photos postées de cette soirée.
Venise sous Paris
Réservations ouvertes pour 8 nouvelles dates sur le site dédié : 5 et 6, 12 et 13, 19 et 20, 26 et 27 février 2016 Prix : 50 € (et ça les vaut forcément !)
Dates sold out !
vendredi 23 et samedi 24 janvier 2016 à 19h
vendredi 29 et samedi 30 janvier 2016 à 19h
Chaque mois, les blogueurs et blogueuses qui participent à la Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.
Et cette fois le thème du mois choisi par Dame Skarlette est nuage.
Impossible de résister à l’appel du ciel (clément) londonien qui se marie si bien au design des immeubles signés Renzo Piano (architecte du Centre Pompidou).
Tous les cinq ans, Canon présente ses innovations technologiques lors d’un rendez-vous incontournable qui se déroule simultanément dans 5 villes dans le monde. Pour Canon Expo 2015, c’est Paris qui a été choisie comme ville européenne. Ce mardi, la Grande Halle de la Villette, totalement privatisée pour l’évènement, nous accueille pour une visite en avant-première. La marque japonaise a réuni toutes ses filiales et entreprises appartenant au groupe pour nous donner une vue la plus large possible de ses avancées.
8K, impression relief, sécurité, réalité augmentée, capteur et impression ultra haute définition : une plongée dans l’image de demain assez bluffante !
Commençons par ce qui va certainement bouleverser notre rapport aux albums photo numériques : le HDbook.
La très Haute Définition pour le grand public
Le HDbook c’est un livre réalisé grâce à l’imprimante photo DreamLabo 5000. Une impression Haute Définition qui dépasse les normes habituelles : 2 400 dpi, là où l’impression classique se limite à 300 DPI, un papier spécifique et 7 cartouches d’encre pour un rendu saisissant.
Déjà disponible dans d’autres pays, ce produit sera bientôt en vente dans l’Hexagone. Le partenariat entre Canon et le détaillant Camara sera officialisé lors du Salon de la Photo 2015 qui se tiendra à la Porte de Versailles en novembre prochain.
L’autre nouveauté de ce produit est la réduction de reliure qui permet la reproduction d’images grand format sans contrainte de lisibilité.
L’impression Relief : la 3D à plat
Attention, illusion d’optique à venir !
Si sur certaines impressions on pourrait penser à de l’emboutissage afin de donner du relief, c’est en réalité de l’impression en volume.
Sur cette photo de sportif, on devine facilement, grâce aux ombres projetées, les courbes tracées par l’imprimante.
Mais la technicité se révèle en prenant une vue rasante de la photo sur laquelle on perçoit avec précision les différentes couches agglomérées.
Toutefois, lorsque l’on passe à des photos plus classiques, portraits, photo de groupe, de famille, la technologie atteint ses limites et le rendu reste moins qualitatif. Mais ce n’est que le balbutiement.
En revanche, elle est totalement surréaliste sur la reproduction de tableau : exemple avec cet autoportrait de Rembrandt.
Sur ce gros plan du tableau, on remarque nettement l’accumulation de couches de peinture comme sur l’huile originale avec les détails du geste du peintre.
Un des avantages anecdotiques c’est que l’on peut, enfin toucher la peinture pour avoir sous les doigts les effets de matières.
Le but de Canon étant aussi d’initier une préservation du patrimoine.
L’innovation dans la performance technique
Deux exemples saisissants de ce que veut mettre en avant la Canon Expo 2015 : le capteur 250 M de pixel et la vidéo 8K.
Ce capteur va certainement être le prochain chouchou des photographes. La démo de ses 250 millions de pixels est à couper le souffle.
Imaginez un appareil placé à 3 kilomètres de la Tour Eiffel et qui enregistre une vidéo. La définition est telle que vous pouvez isoler une image et voir une personne qui vous salue.
Certes, il y a une petite baisse de qualité, mais avouez tout de même que c’est saisissant !
L’appareil embarque aussi une technologie qui permet d’éliminer les fluctuations de l’air dues au variation de températures, bien visibles avec cette résolution.
Le 8K, la définition de demain Alors que la norme 4K (ou UHD pour la télévision) commence tout juste à entrer sur le marché, la Canon Expo 2015 nous allume avec la vidéo 8K.
8K : c’est 8 fois la taille d’une image HD.
Une image ultra détaillée pour un rendu fascinant. L’image en devient presque trop réaliste.
Là où l’innovation est majeure pour l’oeil, c’est sur le moniteur 8K.
La minutie du rendu et le grain parfait se constatent même à la loupe. Un vrai bonheur pour les amoureux des images.
Pour le moment, le workflow de post-production passe uniquement par des proxys et une conformation des rushes. Mais, comme le format RED à l’époque et dans une certaine mesure le 4K actuellement, les systèmes et logiciels de post-production intègreront certainement dans quelques années ce nouveau format de tournage.
Tour d’horizon des innovations
Pour clore notre périple au sein de Canon Expo 2015, voici un panorama des quelques découvertes qui nous ont marqués.
Canon investit dans la recherche : prototypes ou matériel prêt à être déployé, l’éventail est vaste.
En mode insolite, découvrez toute la gamme d’objectifs de la marque : réellement étourdissant !
La protection des personnes et des biens est un enjeu majeur actuellement.
Clin d’oeil à ce système qui permet de rendre anonyme les personnes qui ne se trouvent pas dans la zone désignée comme sensible.
Améliorer les diagnostiques pour accroitre l’efficacité des interventions, c’est le but de cette machine qui réalise en temps réel la modélisation 3D et la capture des textures et des mouvements d’objets.
Petit détour par le capteur à 4 millions d’Iso qui permet d’enregistrer des images dans le noir total alors qu’il nous est techniquement impossible de rendre en photo !La réalité augmentée commence à atteindre notre vie de consommateur.
Cette technologie est grandement représentée dans le salon.
Peut-être bientôt choisirez-vous votre voiture grâce à cette technologie.
C’est aussi l’occasion des temps forts de la vie d’employé de la marque avec 8 ateliers spécifiques comme avec cette création d’une campagne de lancement d’un nouveau vélo.
Et pour finir, effet vertige garanti avec cette prise de vue depuis un toit de building américain hyper réaliste.
L’envers du décor : photo 2D et miroir.
Parfois la simplicité est surprenante.
Canon Expo 2015, le bilan
Après ce choix très sélectif, des centaines d’inventions et de découvertes resteraient à détailler. Mais impossible ici.
Le mot d’ordre de la Canon Expo 2015 est clair : la très haute définition pour la prise de vue ou le rendu et l’innovation au service de chacun.
Ce qui est sûr, c’est que beaucoup de ces technologies innovantes seront dans notre vie quotidienne dans 5 ans, lors du prochain rendez-vous mondial.
Le street-artiste L’Atlas a été choisi pour imaginer le packaging de la nouvelle édition limitée de Perrier : inspired by street art. Si l’édition 2014 a été créée à 6 mains par le Brésilien Eduardo Kobra, la Japonaise Sasu, et l’Américain JoOne, cette année, le Français L’Atlas est l’unique créateur de la série complète. Rencontre avec l’artiste lors de la soirée de lancement chez Colette.
Au départ, L’Altas devait concevoir uniquement les visuels des Perrier arôme. Il s’essaie aux classiques et là, banco ! La marque adore et lui donne l’ensemble de la collection à redessiner.
La patte graphique de L’Atlas : des labyrinthes calligraphiques inspirés par les arts traditionnels arabes et orientaux. Il s’est formé auprès d’artistes réputés en Égypte, au Maroc et en Chine.
Toujours géométrique, sur toiles ou murs, son art devient spectaculaire quand il s’attaque à des espaces hors-normes. Sur une place ou lors de la résidence aux Bains Douches en 2013.
La conception du design de la collection Perrier Inspired by street art a nécessité un an de travail, pour un résultat en total adéquation entre le style de L’Atlas et de la marque à bulles : la cannette fine de 33 cl est vraiment accrocheuse vous ne trouvez pas ?
Autour de ce travail et durant ces mois d’octobre et de novembre, l’artiste va parcourir le monde pour réaliser des performances autour des éléments naturels : le feu à Séoul, l’air à New York, la terre à Mexico City et l’eau à Paris. L’Atlas et son équipe vidéo et photo investiront donc ces quatre villes pour concevoir des oeuvres prenant la forme d’un Land Art.
Une invitation à découvrir son travail grandeur nature.