Quelle idée! Faire dessiner, dans un froid polaire, un artiste américain de passage Paris! J’avoue que, des fois, j’ai de bien curieuses inspirations. Mais j’avais deux arguments de taille: tourner en lumière du jour et en profiter pour lui faire découvrir la fontaine Niki de Saint Phalle.
C’était donc le premier séjour dans la capitale pour Rich Tommaso, jeune dessinateur de bande dessinée, de retour d’un festival bien connu.
Il m’a consacré un peu de temps, juste avant une séance unique de dédicaces à Paris, à la Librairie Super Héros.
Le lendemain de ce tournage, il prenait aussitôt son avion pour les States, sans avoir pu profiter de tous les charmes de la capitale. A-t-il eu le temps de visiter la Tour Eiffel? Le suspense est entier.
Rich a promis qu’il reviendrait dans les prochains mois pour deux semaines de visites intensives. Avant ce retour, je vous conseille la lecture de son dernier “Peter et Miriam”. Une drôle d’évocation de l’amitié entre deux jeunes sur fond de cinéphilie aiguë.
http://richtommaso.com
Le reportage a du être très agréable à faire, ce jeune américain est toujours en train de rigoler….et en plus il a l’air très doué; moi qui suis nulle en dessin je suis toujours fascinée de voir avec quelle facilité un dessinateur reproduit ce qu’il voit en quelques coups de crayons.
Une belle rencontre! Je ne connaissais pas Rich. Ce portrait m’a donné envie de lire son dernier ouvrage. Je souhaite une très belle continuation à votre petite équipe.
Bravo les artistes !! Ce film est très doux, très agréable a regarder et Rich Tommaso, sympathique !! Pauvre Rich, vous l’avez obligé à dessiner dans le grand froid alors que ses mains sont importantes pour lui… Vous êtes durs !!
Continuez !! (à maltraiter les jeunes artistes ou à faire des films…)
Les 2 !!
Un talent que j’aurai aimé avoir ! Great !
la magie de la video qui met en avant le dessin… et une autre vision des immeubles, on finirait par aimer la ville. Rhaaa, lovely. Trouvez le sujet principal de la sequence…
Vivement la sortie du prochain album ou les façades parisiennes côtoieront peut être la jeune fille Eiffel au béret, à moins que ce ne soit l’inverse