Une comédie musicale sur un personnage légendaire mais aux mains couvertes de sang : le pari est osé !
Jack, l’éventreur de Whitechapel, c’est 11 comédiens-chanteurs et 3 musiciens en live donnent à entendre l’histoire de ces femmes fauchées par ce sanguinaire et montrent la folie suspicieuse qui s’est abattue sur Londres en 1888.
Suspense au cordeau
L’identité de Jack l’éventreur n’est toujours pas validée à ce jour. Ce constat garantit la pointe de suspense nécessaire au récit. Le spectateur se questionne sur le profil du tueur et surtout sur le choix opéré par l’auteur du livret.
Un peintre américain arrive à Whitechapel, un quartier mal famé de Londres. Il fait la rencontre d’une bande de prostituées et se trouve attiré par …
Il va tout faire pour conquérir son cœur alors que les premiers meurtres de femmes commencent à effrayer tout Londres.
Un inspecteur se met à la recherche d’indices pour trouver Jack. Il est aidé d’un assistant, Mortimer, peu doué mais qui nous réserve des moments d’humour.
Car cette création n’est pas que drame, il y a de la gouaille, de la danse aussi.
L’originalité de cette création tient au fait que les victimes content leur histoire. Elles ne sont plus des inconnues.
La partition offre de belles envolées même si pour certains.nes le thème peut être un peu répétitif.
Moi je me suis pris à fredonner un air, en sortant. Preuve de l’efficacité de la composition de Michel Frantz.
Jack, l’éventreur de Whitechapel
Musiques de Michel Frantz
Livret de Guillaume Bouchède et Jean Franco
Lyrics de Julien Mouchel
Mise en scène de Samuel Sené, assisté d’Elisa Ollier
Costumes de Zoé Imbert
Chorégraphies d’Amélie Foubert
Créations vidéo de Harold Simon
Lumières d’Alex Decain
Avec : Juliette Behar, Laura Bensimon, Marion Cador, Julie Costanza, Jean-Baptiste Darosey, Madline Marbaix, Alexandre Jérôme, Rachel Pignot, Angélique Rivoux, Sandrine Seubille, Harold Simon
Le lundi à 19h30
Le mardi à 21h30
au Théâtre Trévise
14 Rue de Trévise
75009 Paris
Tél. 01 45 23 35 45