Retour de la blonde incendiaire Alison Goldfrapp au Trianon – après un sold out en 2010 – pour un concert d’une rare intensité.
La chanteuse assure elle-même sa première partie
Exit le guest prévu en ouverture sur les billets. Et prise de scène à 20h pétantes du band en provenance de Bruxelles.
Début du show avec les titres phares de Tales of us, le dernier opus planant et en mode pédale douce sur l’electro-dance.
Instruments à cordes sur scène, sobriété des atours et la diva n’use pas de son célèbre ventilateur pour susurrer ses nouvelles ballades.
Dans la salle, on sent comme une impression de redécouvrir une voix qui s’était perdue dans un déluge de beats – qui ne nous déplaisaient pas.
La belle sourit, boit entre chaque chanson. Jean-Michel Jarre au 2e balcon n’en perd pas une miette.
Dans un écrin de lumière tamisée, aucun projecteur direct, Alison rappellerait les actrices du cinéma muet et de l’expressionnisme allemand avec ses grands yeux.
Annabel opère une belle montée en émotion.
Soudain, les premiers tubes arrivent au galop. Little Bird, You never know et Ride a white horse.
Les tubes dance-floor donnent justice aux boys dans le parterre qui s’étaient armés de leur débardeur estival, taillé pour le moove à plein régime.
Rappel à un peu plus d’une heure de show.
Le retour du ventilo
Pour les deux derniers titres de la soirée, la chanteuse cède à l’appel du souffle dans les cheveux pour un Train fiévreux.
Fin de partie avec Strict Machine, au bout d’1h30, tout pile et jamais plus avec Goldfrapp, fidèle comme jamais à son timing.
Tales of us, nouvel album de Goldfrapp est dans les bacs depuis le 9 septembre 2013 chez Mute/Naïve
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