Salon du chocolat 2018 : tentations très gourmandes venues du Japon

Le Salon du Chocolat 2018 invite le Japon à tenter, émerveiller et surprendre nos papilles.
Chefs-d’œuvre visuels, mini-sandwich jambon chocolat, mignonneries, saveurs matcha et thé à gogo, fraises enrobées.
Tout est kawaii, mignon et désirable.
Petit tour des découvertes à faire absolument cette année car la plupart des chocolatiers japonais présents au Salon du Chocolat ne sont pas encore présents en France.

Salon du chocolat

salon du chocolat

Une série de chefs-d’œuvre réalisés par une sorte de magicien gourou. Tout de noir vêtu, Junichi Mitsubori tranche avec les couleurs attrayantes de ses créations. Il serait le maitre du wagashi, des pâtisseries traditionnelles japonaises. Difficile de le contredire tant ses créations sont photogéniques.

Salon du chocolat

salon du chocolat

J’ai goûté à une fraise enrobée de chocolat blanc. Oui, je sais : Godiva baigne ses fruits dans le chocolat. Sauf que les fraises de Ginza Sembikiya sont plus subtiles visuellement et gustativement. Mon adhésion est telle que j’ai acheté une jolie boîte colorée que je garderai certainement en souvenir une fois l’ensemble dévoré.

Salon du chocolat

Salon du chocolat

Le stand Tokyo Chocolate réserve de surprenantes créations. Comme les pinchos japonais chocolat jambon cru à 3€, de la taille d’un amuse-bouche. Le pain de burger revisité a été remplacé par une sorte de biscuit cuillère, c’est mangeable mais ce n’est pas la folie. Il y a aussi la version thon : pas tentant. Et le fourré matcha.
Les sucettes kawaii font fureur, d’autant qu’elles sont réalisées sur place.
À côté, de petites ganaches chocolat blanc et crème fraîche au matcha d’Uji saupoudrées de matcha plutôt convaincantes. Ainsi que d’autres chocolats tout mignons à croquer.

Salon du chocolat

J’ai testé aussi la tablette chocolat du Cacaotier Gokan à l’hojicha, un thé vert torréfié japonais. Le goût est assez délicat et suffisamment convaincant pour repartir avec un exemplaire. Juste à côté, ne pas hésiter à goûter la madeleine chocolat.

Salon du chocolat

Le talent japonais gagne aussi les World Chocolate Masters 2018. La réalisation spectaculaire du finaliste Akihiro Kakimoto impose le respect. Est-ce que cette femme chocolatée sera récompensée ? Réponse très bientôt.

Salon du chocolat

J’ai aussi aimé les boîtes de la Chocolaterie Takasu.

Il y a aussi le bonbon chocolat en forme de Tour Eiffel à retrouver au milieu des 30 autres variétés proposées par Salon de Royal (Kyoto). Le stand offre un beau décor japonais et des animations. A ne pas manquer.

Salon du chocolat

Enfin, le pâtissier japonais installé à Paris, Sadaharu AOKI, ressort son drôle de gaufrier pour offrir son Tokyo Macaron Yaki, un macaron au chocolat enrobé de pâte à gaufres au thé vert. C’est moelleux à souhait. C’est mon passage obligé à chaque Salon du Chocolat.

Salon du Chocolat 2018

à la Porte de Versailles – Pavillon 4 
1 place de la Porte de Versailles
75015 Paris

jusqu’au dimanche 4 novembre 2018

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RADIO ELVIS en interview : on a parlé Ces garçons-là, tournée, New York…

Aussitôt terminé sa première tournée, Radio Elvis est reparti à l’écriture, renforcé par l’énergie du live et des plus de 250 concerts.
Le nouvel album Ces garçons-là est un écrin magnifique réunissant 11 titres virtuoses.
L’ensemble est porté par la poésie de Pierre Guénard et les compositions avec ses deux compagnons de route Manu Ralambo et Colin Russeil.
J’ai déjà le coeur accroché à New York, Prières perdues et La Sueurs et le sang

Interview Radio Elvis 

Radio Elvis
selfie exclu pour UsofParis

UsofParis : Que retenez-vous de la première tournée de Radio Elvis ?

Pierre Guénard : En 250 dates, on a appris à se connaître ! Colin, le batteur, et moi, on se connaissait déjà. On a fait le premier EP ensemble. Manu est arrivé sur la fin de l’enregistrement.
Dans un bus 9 places, ça crée des liens (ça peut aussi les défaire). D’ailleurs, ça a fait les deux. 😉
Au début, on n’avait pas les mêmes références, on s’est fait écouter des choses.
Et pour le deuxième album, on s’est rendu compte que l’on avait les mêmes envies, le même vocabulaire pour parler musique. C’est important d’avoir les mêmes mots pour parler d’un son.
C’est quand même très abstrait.
C’était ma première expérience de tournée, je découvrais tout. J’ai appris mon métier.

Vous avez fait de belles scènes ! 

Manu Ralambo : Le plus bel exemple : on jouait dans un joli théâtre de verdure au bord de la mer et le lendemain on se retrouvait dans une église à l’autre bout de la France.
Après la grande scène des Francos, on jouait quelques jours plus tard dans un champ, sur des tapis.
Pierre : On a fait une tournée de villages où on montait la scène tous les jours !
Ça nous appris à gérer notre stress et surtout à savoir ce qui était important sur scène. On a eu toutes les galères possibles en concert. Et en fait, on s’en sort toujours ! 🙂
Faire un mauvais concert, ce n’est pas possible ! Notre métier,  c’est de savoir gérer les imprévus.
Manu : On trépigne là. On a envie de retrouver la route.

Un groupe, c’est un peu un couple. Quel type de couple êtes-vous ? 

Pierre : On est un couple apaisé. Il y a eu des moments de tension même pendant la tournée. Il y a eu tout un automne compliqué entre nous. On galérait dans nos vies et aussi sur scène et on avait beaucoup de pression, avant la Cigale.
Nous avions 40 dates en trois mois. Et après la Cigale, ça nous a libérés. En fait, on est un couple organisé. Dans la gestion du groupe, chacun a vite trouvé sa place. Je m’occupe du RP, des médias, de l’image. Colin et Manu, plus de la partie technique. En plus, on trouve maintenant chacun notre place artistiquement, ce qui n’est pas forcément évident.

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J’ai eu l’impression d’une énergie live en écoutant certains titres.

Pierre : L’album dégage plus de live car nous avons appris à jouer ensemble. On s’est plus lâché sur ce disque. On joue mieux depuis le premier, on a de meilleurs instruments et ça compte. Et on a enregistré sur bande. Au final, on a plus confiance en nous.

Prières perdues est un titre très fort !

Manu : Pour ce titre et La sueur et le sang, on s’est dit faut qu’on les fasse de A à Z sans rien couper. Jouer live.
Pierre : C’est une prise totale. On a fait venir un pianiste exprès en studio, Nicolas Subrechicot (le pianiste de Lou Doillon). Il a enregistré aussi New York, plusieurs titres. On voulait jouer en live. Donc on devait être quatre.

Pierre : Quelques titres de l’album n’ont pas été écrits en tournée, mais les premières phrases ont été écrites pendant, comme 23 minutes.
J’ai repris des vieux carnets.
J’ai commencé à écrire en octobre 2017 et on a commencé à enregistré en mars 2018, en 10 jours. On a tout composé en 6 mois. Il fallait vraiment qu’on s’arrête. Et que l’on joue pour nous.
Il y avait une urgence à dire les choses, sans trop réfléchir, se laisser aller dans la spontanéité et dans la confiance.
C’est très laborieux l’écriture des textes pour moi. Je réécris beaucoup. J’ai parfois un carnet entier pour une seule chanson.

Quelle est l’origine de Prières perdues et Fini fini fini ?

Pierre : Ce sont deux textes qui sont apparus en même temps, le 13 novembre 2015, le jour des attentats et le jour d’enterrement de mon grand-père. Sur la route pour rejoindre le groupe après l’enterrement pour un concert, j’ai écrit Fini fini fini. Et le soir, on dînait ensemble et on apprenait les nouvelles. J’ai commencé à écrire Prières perdues dans la chambre.
C’était aussi l’anniversaire de ma soeur. C’était très éclaté émotionnellement.
Et la vie en France a vraiment changé à partir de ce jour-là.

Le titre New York a-t-il été écrit sur place ?

Pierre : La grille d’accord s’est faite en tournée. On écoutait pas mal Kevin Morby. Cette grille d’accord m’évoquait ce musicien.
On faisait une session de défrichage dans les Landes, au Manoir de Léon, en studio. C’est le premier titre que l’on a commencé à travailler avec Fini Fini Fini.
On était hyper enthousiastes. Mais j’ai mis un an à trouver les paroles.
Ça nous évoquait tous New York parce qu’il y avait ce piano à la Mickael Nyman.
Une atmosphère un peu briques, des films de Spike Jonze, Arcade Fire, MGMT.
L’ambition pour cette chanson était d’en faire notre Ultra Moderne Solitude à nous. On adore cette chanson de Souchon, elle est magnifique. Ça m’a d’ailleurs empêché d’écrire car je trouvais toujours moins bien que l’original.
Mathieu Lescop m’a aidé à écrire les refrains.

New York s’épuise, la musique ça épuise ?

Manu : Oui ! Je me souviens quand on s’est dit qu’on allait commencer à composer.  Se mettre au piano, à la guitare, puiser, chercher. C’est de l’énergie !
Pierre : C’est une charge mentale dense, quand on entre en studio. Ne rien oublier de ce qu’on s’est dit, de ce qu’on a projeté.
On avait pas mal pris de notes, Manu aussi.
Quand j’ai fini mes voix, j’ai cru que j’allais faire une dépression. Parce que la pression, les contraintes. On n’a pas de studio à vie.

Un accident heureux pour ce nouvel album ? 

Pierre : Le publison ! 🙂
Manu : On a enregistré dans un studio des années 90 où Noir Désir a enregistré l’album 666.667 Club. Il y avait une machine électro qui déconnait. Et notre ingé son s’est amusé avec “cette panne” pour faire des effets. Au final, il l’a mis quasiment partout.
Pierre : Ce qui est heureux aussi c’est que l’on a fait avec les éléments qu’il y avait sur place : le piano à queue, rhodes bass comme The Doors, ça a donné la direction première de l’album.
Denis Barthe, le batteur de Noir Désir, nous a prêté aussi le synthé Juno 106 avec tous les réglages de Des visages, des figures. J’étais subjugué.
Ça a participé à la magie de l’enregistrement.

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Quel homme êtes-vous ?

Manu : Depuis l’enfance, je n’y pense plus trop. 🙂
On me dit beaucoup : “tu as une part de féminité“. Et je m’en fous ! 🙂
Pierre : Je n’ai jamais été pris pour quelqu’un de viril. Je me suis fait souvent traité de PD – alors que je ne voyais pas en quoi c’était une insulte. Il se trouve que toutes les références que j’aime sont souvent très gayfriendly. Et je plais beaucoup aux homos en général. 😉
A une interview sur mes séries télé d’enfance, j’ai répondu Xena la guerrière, symbole pour les lesbiennes.
Parfois, je doute. Avec ma copine, on en rigole !
J’aime bien les mecs. J’aime les beaux hommes, comme les belles femmes.

Pour le clip de Ces garçons-là, j’ai demandé qu’on filme le cul du torero, car je trouvais les lignes magnifiques. Et ça ne fait pas de moi un homo.
Je fais attention à mon image, c’est un défaut. 🙂
Je suis un homme qui se cherche beaucoup capillairement et vestimentairement.

Interview by Alexandre 

Radio Elvis

Radio Elvis 
Ces garçons-là

(Pias / Le Label)

sortie le 9 novembre 2018 

Pias Nite Carte Blanche à Radio Elvis
le 15 novembre à La Maroquinerie, Paris.

Radio Elvis

Concert le 4 avril 2019 au Trianon, Paris 

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Viens fêter la sortie de l’album de Sparky in the clouds #concours

USofParis te propose de fêter la sortie de l’excellent premier album Kings and Queens du groupe SPARKY IN THE CLOUDS.
Rendez-vous vous est donné le jeudi 8 novembre au Hasard Ludique pour la release party. 

L’occasion de savourer des sonorités folk et modernes venues de la douce Albion.

Sparky in the clouds

Sparky in the Clouds c’est avant tout la rencontre de Mathias Castagné, guitariste, et de deux sœurs anglaises, Miranda et Bryony Perkins.
Ce trio produit une folk/pop harmonieuse et aérienne avec un univers visuel qui lui est propre. Il n’y a qu’à regarder le dernier clip aussi étrange qu’emballant.

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Sorti le 21 septembre dernier,  Kings and Queens regroupe 11 titres avec une musique charmante et une atmosphère rétro pop envoûtante aux sonorités anglaises.
On aime cette approche épurée et moderne des chansons.

Alors on vous propose de gagner des invitations pour le concert du groupe au Hasard Ludique à Paris.

Sparky in the clouds

Sparky in the clouds

1er album Kings and Queens
(Zamora Label) 

En concert le jeudi 8 novembre à 19h30

Hasard Ludique
128, avenue de Saint-Ouen
75018 Paris

Et en tournée :
16 novembre : Salle des Fêtes,  Villiers-le-mahieu
17 novembre : Salle de la Bonnette,  La Queue Les Yvelines
18 novembre : La Barbacane, Thoiry

18 mars 2019 : Espace Carpeaux , Courbevoie
05 avril 2019 : Les Arcs,  Quéven

#Concours

Pour gagner tes invitations, c’est très simple.
Remplis vite le formulaire ci-dessous.
Après tirage au sort, les gagnants seront prévenus par mail.

Alors si tu es libre le jeudi 08 novembre 2018, participe.
Sparky in the clouds vous promet un live joyeux et intrépide.

Bonne chance à tous et à toutes !

Sparky in the clouds
Sending

Plus de jeux concours
Concours Gratuits

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POURDEBON : priorité aux petits producteurs français & aux pépites !

POURDEBON fait se rencontrer consommateurs recherchant aussi bien la qualité que les perles rares en matière de produits de nos belles régions françaises et producteurs désireux de partager dans un large rayon légumes, recettes, affinages et autres petites pépites gourmandes.
Le tout est à portée de clic et aussi à Paris, pour 3 semaines au pop up store Heureux les curieux.

Pour de bon

En franchissant la porte du 23 rue du Pont aux Choux dans le 3e, mon œil n’a pas manqué d’être attiré par des cageots de belles pommes de terre (Juliette des Sables, Baie de Somme, Maison Bayard). La couleur des légumes est plutôt rare dans les commerces parisiens. Là, c’est un saut dans la pleine nature qu’il m’est donné de faire.

Pour de bon

A quelques pas, les rayons de ce store proposent un best-of de ce que l’on peut trouver sur le site Pour de bon.
Une sélection de vins (Château Les Gérales, Bergerac) et un pétillant à la fraise côtoient un champagne Cuvée des amoureux (de J. Martin & Fille), parfait pour la Saint-Valentin.

Pour de bon

Mon cœur s’emballe quand il redécouvre le flan de la Maison Savary. Le meilleur qu’il m’ait été donné de goûter.
Il y a aussi le Fondant Baulois pour satisfaire les passionnés de chocolat.
Les Pécoules, pralines enrobées de chocolat et autres amandes grillées épicées du Mont Bouquet (Gars) sont des petites merveilles croquantes pour un encas ou une pause gourmande.

Pour de bon
plateau de fromages / Le palais gourmet

Sourire des producteurs, belles rencontres

Sur les 220 producteurs référencés sur le site Pourdebon, les rencontres peuvent surprendre. Par exemple, comment imaginer que derrière un  plateau de fromages se cache un compatriote de la région de la Loire ?
Stéphane a repris la fromagerie de son beau-père, en compagnie de sa femme Sabine. Cet ancien ingénieur affine lui-même ses fromages, proche de Roanne et de Trois Gros, l’un de ses clients restaurateurs. Le Palais Gourmet ravit une clientèle de toute la France grâce au site et avec ses 110 à 140 références au lait de vache, chèvre et brebis.
Le fromage c’est une éducation. On commence par le doux, l’industriel. Plus on en mange et plus les gens recherchent la finesse. 
Nous sommes donc à la recherche de produits fermiers et raffinés.

C’est au tour d’une apicultrice du Gers – précisément à Pillardon – qui m’enchante avec son pain d’épice du Gers. Pas de sucre ajouté, pas de lait, ni d’œuf. Le pain d’épice est composé à 50% de miel de sa fabrication.
Une chose à vous dire propose un coffret avec trois déclinaisons : écorces d’orange, de citron et de bergamote confites.
Ce pain d’épice forme un duo parfait avec le foie gras de canard du Périgord noir de la Famille Trébier.

Pour de bon

Et dernière pépite merveille : le jambon de porc noir de Pierre Matayron. Cet éleveur va plus loin que l’appellation  “Noir de Bigorrre”.
Ses truies mettent bas en plein air et toutes les naissances ont lieu sur la ferme. Par la suite, ses cochons vivent en liberté sur les 45 hectares de terres gersoises. Enfin, son jambon de Porc Noir Gascon est séché et affiné 18 à 24 mois. On goûte alors un jambon ultra fin et fondant. Un vraie merveille !

Beaucoup d’autres découvertes sont à faire sur le site et au pop up store éphémère jusqu’au 10 novembre.
Il y a aussi des box en édition limitée parfaites pour un cadeau à se faire à soi ou à une personne que l’on sait gourmande.

Pour de bon

Pourdebon

chez Heureux les Curieux
23 rue du Pont aux Choux
75003 PARIS

du 24 octobre au 10 novembre 2018

Ateliers et rencontres jusqu’au 8 novembre 

site officiel : pourdebon.com

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TOTEM du Cirque du Soleil à Paris : splendeur visuelle & performances folles

Totem signe le grand retour du Cirque du Soleil sous chapiteau à Paris, depuis Amaluna.
Moins de maquillages, des corps d’athlètes qui se découvrent et des numéros toujours aussi dingues.
Le tout mis en scène par un dieu québécois du théâtre : Robert Lepage.
L’émerveillement est à son comble ! 

Totem

Totem, une machinerie imparable

Le Cirque du Soleil a le don de savoir nous capter pour une soirée entière. L’enfant a matière à être ensorcelé. L’adulte a de quoi lâcher prise pour s’imaginer aussi bien en équilibre sur un bout de bois ou à voltiger dans les airs.

Cette fois, ce  n’est pas un enfant qui porte le récit ou un personnage fil rouge – ce qui n’est pas désagréable en soi.
Totem, c’est l’histoire de l’espèce humaine et l’humanité qui mène le récit dans un mélange d’époques et de continents.
Il y a des danses amérindiennes, des chants africains, l’équilibrisme asiatique, un savant fou, un Italien caricatural, des maîtres-nageurs ultra sexy mais aussi des animaux (singes, amphibiens…).

La parade des numéros alterne prouesse, magnificence, entente parfaite entre les artistes et pointes d’humour bien relevées.

Totem

Totem

Monocycles, trio d’anneaux, barres russes…

Cette fois, les visages sont, pour la plupart, sans masque et non surchargés de maquillage. Totem n’est pas un conte mais plus un récit enchanté. Il y a donc plus de réalisme que dans les autres spectacles du Cirque du Soleil présentés à Paris.
Et surtout, il est possible de voir les corps de certains athlètes qui performent torses nus. Attention les yeux, il y a du lourd.

L’un des premiers numéros à être éclatant est le quintette de jeunes femmes sur monocycles. D’une part, elles sont perchées à plus de deux mètres du sol, premier coup de flip. D’autre part, elles jonglent avec des coupelles en métal et tiennent l’équilibre parfois à une jambe et pédale, deuxième coup de flip. Le brio est à son paroxysme !

Totem

Le trio d’anneaux voltigeurs est un numéro musclé. Les torses imberbes des deux hommes sont massifs et les bras et épaules de l’acrobate féminine peuvent causés quelques complexes à la gente masculine présente dans les gradins.
Le numéro est ingénieux dans l’alternance de montées et descentes des figures aériennes, des coups de force et de l’intensité.

Totem

Les barres russes font se déployer un groupe d’hommes aux carrures distinctes. Il y a les porteurs aux larges épaules et cuisses et les acrobates plus fluets pour de meilleurs sauts.
A un moment, un des frêles acrobates se met à descente un escalier imaginaire sur les barres en bois. C’est sidérant.

Ma voisine et aussi cousine a aimé comme moi le décor avec l’écran vidéo ingénieusement intégré et qui fait parfois donne l’illusion d’une vue en relief.
Les costumes sont aussi absolument sidérants.

Totem

TOTEM
par le Cirque du Soleil

à la Plaine de Jeux Bagatelle
Bois de Boulogne
Route de Sèvres
75016 Paris

du 25 octobre au 30 décembre 2018

du mardi au samedi à 20h
matinée le samedi à 16h30
le dimanche à 13h30 et 17h 

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Musée Grévin en proie à la folie pour Halloween / Nocturnes exceptionnelles

Une série de nocturnes au Musée Grévin vient réveiller ce lieu qui joue plutôt les beaux endormis avec ses célébrités en cire.
Pour Halloween 2018, des personnages étranges animent le parcours suite à la déferlante d’une épidémie.
La folie s’empare de Grévin est une manière très originale de redécouvrir ce décor à lumière tamisée.

Musée Grévin

Musée Grévin

Je ne m’attendais pas à voir des poupées de cire ensanglantées, bâillonnées, momifiées ou encore crucifiées.
Le Musée Grévin franchi le côté obscur de la vie pour nous confronter à nos démons, à l’effroi et à la mort.
Les personnages (chirurgien, diseuse de bonne aventure, prostituée, infirmière en chef…) qui ponctuent le parcours en imposent aussi bien en menace, qu’en caractère ou étrangeté.
On réagit vite et on ne traîne pas quand il s’agit d’avancer et de faire de nouvelles rencontres.

Musée Grévin

Il y a tant de choses à voir ! La qualité des costumes et maquillages des comédiens, les nouveaux entrants : Eric AntoineAlexandra Lamy, Catherine Frot, Kev Adams… et les anciens indétrônables : Elizabeth II, Gandhi, Johnny Hallyday.
Le décor ! Il y a des salles sublimes à rédecouvrir avec une lumière différente et des déluges de fumée.
L’animation en continu spéciale nocturnes Halloween est assez fascinante.

Au final, la visite passe à une vitesse folle. J’ai aimé revoir le Grévin que j’imaginais comme une vieille institution.
Je me suis marré face à certaines situations et aux cris de surprise ou d’effroi des personnes m’accompagnant.

Musée Grévin Musée Grévin Musée Grévin

Musée Grévin
La folie s’empare de Grévin

Nocturnes spéciales Halloween jusqu’au 31 octobre 2018

10, boulevard Montmartre
75009 PARIS

site officiel : www.grevin-paris.com 

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Chicago le musical à Théâtre Mogador : tout simplement brillant !

Heureux-heureuses, celles et ceux qui découvriront Chicago le musical au Théâtre Mogador.
L’adaptation française de ce classique 5 étoiles de Broadway est imparable.

Le cast est brillant : Sofia Essaïdi, Carien Kiezer, Jean-Luc Guizonne entourés d’autres excellents interprètes et danseurs.
Chaque soir, le jazz et la magie de Bob Fosse font se déchaîner les corps, palpiter les cœurs et briller les yeux !
Le glamour est sidérant de beauté. 

Chicago le musical

Chicago le musical, scène minimaliste

Alors oui, le décor est simple et il ne changera pas de la soirée : l’orchestre tient lieu – avec prestance – de fond de scène dynamique et classe.
Les costumes sont moulés à même les silhouettes des danseurs et chanteurs, chanteuses.
Il y a bien quelques plumes qui viennent égayer la sobriété du noir.
Nul besoin de surcharge de moyens pour concevoir un chef-d’œuvre scénique absolument inoubliable.

Chicago le musical

Chicago le musical

Velma, Roxie et Billy, un trio infernal 

Ce qui compte c’est la rencontre d’un trio improbable et imaginatif. Velma, Roxie et Billy. Deux meurtrières manipulatrices (une blonde incendiaire et une brune tonitruante) doublées d’un avocat véreux.
Ils forment une union à la moralité très douteuse mais qui ne manque pas de culot, d’éclat, voire même d’élégance.
On suit les jeux d’égo, les échanges croustillants dans cette prison pour femmes de Chicago.
Velma et Roxie attendent leur procès en médiatisant leur pauvre vie, tandis que leur avocat tient la dragée haute pour préparer sa brillante plaidoirie.

Chicago le musical

Chicago le musical

Sofia, Cairen et Jean-Luc au diapason 

On redécouvre Sofia Essaïda. C’est un éclat incroyable sur la scène de Mogador qui ouvre le show avec le titre phare : Faut que ça jazz !
Elle est magnétique, capable de grands écarts, de levers de jambe bluffants.
Chicago le musical est taillé pour elle. Elle réalise simultanément son rêve et sa plus belle performance scénique et physique.

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Carien Keizer, ancienne meneuse de revue au Lido, a la silhouette parfaite pour incarner Roxie. Son léger accent – elle est originaire des Pays-Bas – lui donne un charme supplémentaire.
Elle joue à merveille l’espièglerie.
Sa chanson titre, Roxie, qui ne dure pas moins de 14 minutes tient lieu de performance.

Jean-Luc Guizonne a une classe folle. Il incarne un avocat aussi élégant que passionné avec un magnétisme de dingue.

Il y aurait tant d’autres talents à citer comme Sandrine Seubille éclatante en Mama, V. Petersen incroyable Mary Sunshine, Alex Freï, The Spirit of Bob Fosse…

Nicolas Engel va faire taire les mauvaises langues qui disent que : « Chicago c’est impensable sinon en anglais ! »
L’adaptation en français est de la dentelle. Ça passe magnifiquement. Donnant raison à Bob Fosse qui aimait tant notre langue.

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Chicago le musical

Chicago le musical

au Théâtre Mogador
25 Rue de Mogador
75009 Paris

du mercredi au vendredi à 20h
samedi à 20h30
matinées : samedi et dimanche à 16h

Équipe artistique : 
mise en scène : Tania Nardini
chorégraphie : Ann Reinking
adaptation française : Nicolas Engel 
direction musicale : Bob Bowman – Dominique Trottein 
avec Jean-Luc GuizonneSofia EssaïdiCarien Keizer, Sandrine Seubille, Pierre Samuel, V. Peterson…

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HARD : une catho dans le porno au Théâtre de la Renaissance !

Culte la série de Canal + initiée à l’époque par Bruno Gaccio, en charge de la Nouvelle Trilogie !
Hard c’est l’histoire d’une veuve qui découvre que son époux menait une vie pro plus inhabituelle que prévue.
Original de plonger, au théâtre, dans l’univers du porno, à bout de souffle car mis à mal par l’hégémonie des internets, avec une galerie de personnages désopilante.

Hard
photo Charlotte Spillemaecker

Hard : plus dure est la révélation

Ce qui est dur c’est aussi bien le deuil quelque peu malmené de Claire que le cadre dans lequel elle va plonger, suite à la disparition de son bien-aimé.
Une catho dans le porno ! La situation est poilante d’autant que c’est la belle-mère qui est en charge de révéler l’innommable à la veuve.
S’ensuit le choc d’une vie : découvrir un monde inconnu, avec ses codes, son vocabulaire, ses extrêmes et ses personnalités : Roy la poutre, en tête !

Hard

photo Charlotte Spillemaecker

Une farce avec double péné

Il est évident que Nicolas Briançon n’a pas boudé son plaisir de metteur en scène pour diriger ses comédiens dans ce joyeux bordel où une histoire d’amour peut naître.
Chaque personnage a de la profondeur malgré les apparences. La veuve n’est pas qu’une catho effarouchée. Les acteurs porno ne sont pas à prendre seulement pour ce qu’ils sont : des corps objets.

Hard

photo Charlotte Spillemaecker

Distribution réjouissante

De François Vincentelli qui impose en hardeur au cœur tendre à Claire Bonotra bigotte ne manquant pas d’audace.
Nicole Croisille est pétillante en lesbienne du 3e âge, Stephan Wojtowicz génial en tenancier bourru. Isabelle Vitari campe quant à elle une divine manipulatrice.
Et total respect pour Charlie Dupont qui assure la performance non pas que physique mais surtout labiale en jouant avec un improbable accent sud-américain.

Hard une fantaisie pure qui fait valser les clichés qui peuvent coller aussi bien au porno qu’à la comédie populaire.

 

Hard

adaptation de Bruno Gaccio
mise en scène Nicolas Briançon
avec Claire Bonotra, François Vincentelli, Nicole Croisille, Charlie Dupont, Isabelle Vitari, Stephan Wojtowicz

au Théâtre de la Renaissance
20 Boulevard Saint-Martin
75010 Paris

du mardi au samedi à 21h
matinée : samedi et dimanche à 16h30

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Le Taillevent : révélations gastronomiques avec le chef David Bizet

Il y a des noms de grandes maisons comme Taillevent qui font vibrer nos papilles. Alors, pour une occasion exceptionnelle, nous avons poussé les portes de l’établissement situé à quelques pas de l’Arc de Triomphe, de la place de l’Étoile et des Champs-Élysées.
Il faut dire que l’arrivée du chef David Bizet a aiguisé notre intérêt.
Rendez-vous pris pour un déjeuner et le menu à 110 € avec deux verres de vin. Faisons confiance au sommelier 😉

Taillevent

On prend place dans le cocon ouaté du restaurant. Une grande table nous attend, alors que nous ne sommes que deux. L’accès à la banquette est un peu rocambolesque – il faut obligatoirement avancer la totalité de la table pour passer.

Taillevent

Pour patienter avant l’entrée, quelques amuse-bouches et une assiette apéritive Fine mousse de foie gras, anguille fumée, cèpe et betterave. Le palais dit déjà Amen à tant de délicatesse.
C’est sans compter le beurre salé au lait cru du Finistère Le Poncelet. #exquis

Le menu changeant toutes les trois semaines, nos plats ne seront déjà plus qu’un doux souvenir à la lecture de ces lignes.

Divines entrées

En fait, il est difficile de faire passer l’émotion que l’on a pu ressentir en quelques bouchées sur ce premier service.

Poireau en croûte de sel truffée, mimosa de cèpes, essence sauvage poivrée

TailleventL’assemblage de poireau en forme de pavé est superbe. Le poireau est ferme mais fond sur la langue. La vinaigrette à la truffe est très douce et révèle toutes ses saveurs à la fin du plat.
Une entrée très automnale, douce et fraîche. #Harmonieux

Oeuf de poule et champignons herbacés. Crémeux de topinambours au jus de truffe

TailleventEn une cuillerée, on a l’impression d’avoir une forêt en bouche : fraicheur de la chlorophylle et saveurs de sous-bois riches en tanins.
L’œuf fondant allie les bonheurs. Le crémeux de topinambour envoie dans les airs et les effilochés de champignons donnent du croustillant en bouche. #Parfait

Des plats qui explosent les perceptions

Les entrées nous ayant scotchés, on ne pouvait que s’attendre à de nouvelles explosions de saveurs pour la suite. Aucune déception.

Foie de veau doré, échalotes grises à l’encre de seiche, sauce Diable

TailleventJamais nous n’avons goûté pareil foie.
L’épaisseur du morceau ne nuit pas à sa saveur, au contraire. C’est une merveille de finesse, de tendreté.
Et cette scénographie improbable de feuilles, de champignons. Quelle beauté !

Canard Colvert rôti à la feuille de figuier, chanterelles et anchois marinés

TailleventLe canard sauvage provenant de la chasse à un goût subtil de gibier. Contrairement à d’autre sanglier ou cerf des campagnes.
La cuisson harmonieuse et fine lui donne un fondant exceptionnel. Une délicatesse de viande tellement rare qu’elle n’en est que plus savoureuse.
D’ingénieux petits puits de pomme de terre renfermant la sauce accompagnent parfaitement ce plat sauvage, et franc. #Délicat.

Des desserts pour finir en extase

Dans un repas, même gastronomique, il y a toujours quelque chose qui pêche, souvent le dessert.
On ne peut même pas reprocher cela à Taillevent, tant les douceurs finales sont d’une finesse remarquable.

Figue rôtie à la feuille de châtaigner, gourmandise vanille et céréales torréfiées

TailleventL’intitulé peut laisser sur sa faim.
Mais à l’arrivée de l’assiette, ces deux bouchées en forme de petites toques de chef vont dévoiler leurs goûts. D’ailleurs, ils explosent en bouche. Et le petit tube ultra fin de caramel donne à ce dessert un craquant exceptionnel. #Sublime

Chocolat crémeux au thé noir, riz soufflé caramélisé et mûres sauvages.

TailleventDes chips de chocolat croustillantes à souhait qui englobent des sortes d’écrasés fruités. C’est jouissif. 
De petites touches glacées enchantent le palais. 

Avec le chef David Bizet en cuisine, Le Taillevent est une adresse incontournable de la gastronomie parisienne.
Elle n’est certes pas à la portée de toutes les bourses, mais elle peut être parfaite pour fêter un évènement, comme un anniversaire.
Un summum de plaisir gustatif garanti !

Le Taillevent

13 -15 rue Lamennais
75008 Paris

Menu déjeuner 90 ou 110 €
À la carte, de 52 à 97 €
Menu Quintessence à 198 €

Et une carte de vins forcément exceptionnelle !

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Exposition Louis-Philippe et Versailles : l’insoupçonné destin croisé

Le château de Versailles n’a pas toujours bénéficié du rayonnement que nous lui connaissons aujourd’hui. En effet, après la révolution française s’est posée la question du devenir de l’ancienne demeure royale, dont la symbolique divisait l’opinion publique.
Avec l’exposition Louis-Philippe et Versailles, nous découvrons le projet du monarque afin d’assurer la transition tant désirée : édifier un musée « À toutes les gloires de la France » au sein de son emblème le plus fort. Aujourd’hui oubliée, cette histoire dans l’Histoire a pourtant largement contribué au mythe de Versailles !

5000 m2 de nouveaux espaces à découvrir, des salles restaurées pour l’occasion, des œuvres variées, l’exposition est à l’image du lieu : fastueuse, élégante et captivante. L’occasion pour Versailles de nous présenter un de ses visages méconnus pour un moment intime et stimulant…

Louis-Philippe et Versailles

L’impulsion d’un homme

Au début de son règne, Louis-Philippe doit faire face à un pays épuisé et divisé par des années de conflits et d’instabilité politique. En fin stratège, il sait que le secret d’une nation forte, c’est l’union. Dans ce dessein, il va miser sur ce qui relie les Français : l’histoire nationale.

Lui vient alors l’idée de créer un musée, ouvert à tous, afin de faire revivre les héros de l’histoire de France. Le choix de décor s’est dirigé vers le château de Versailles, longtemps délaissé du fait de son lourd passé.

Louis-Philippe et Versailles

Le corps central du château conserve ses attributs palatiaux avec les appartements du Roi et de la Reine. Pour le reste, l’architecte Frédéric Nepveu associe à merveille l’héritage décoratif de l’ancien régime avec les nouvelles techniques de son époque.

Louis-Philippe et Versailles

Ce qui devait initialement être une adaptation s’est en réalité transformée en une véritable appropriation du lieu ! Grâce à cette initiative, le dialogue entre passé et présent est enfin rétabli. Comme Louis XIV en son temps, Louis-Philippe désire faire de Versailles l’image de son règne.

Louis-Philippe et Versailles

Un superbe écrin retrouvé

L’atout de l’exposition est l’ouverture de salles habituellement fermées au public. Dans les salles d’Afrique et de Crimée, des structures métalliques permettent un éclairage zénithal des plus intéressants. Ainsi, notre vision de l’esprit souhaité par Louis-Philippe s’affine.

Nous y découvrons ses goûts personnels, son ouverture au monde et son esprit révolutionnaire. Aidé par la sensibilité romantique de l’époque et passionné des Arts, son attirance pour l’éclectisme s’illustre également par des toiles monumentales, du mobilier ou des porcelaines.

Louis-Philippe et Versailles

S’ensuivent les salles des Croisades, richement ornées. Avant d’observer la galerie des Batailles et la salle du Sacre de Napoléon d’un nouvel angle, une surprise nous attend…

Louis-Philippe et Versailles

Louis-Philippe et Versailles

Direction le théâtre royal ! Sa beauté seule vous transporte directement au cœur du XIXème siècle… Vous ajoutez alors un des décors ayant servi pour la soirée inaugurale du 10 juin 1837 et l’immersion est totale… Son état est exceptionnel. À ce jour, il reste au monde l’unique décor de théâtre de cette époque.

Louis-Philippe et Versailles Louis-Philippe et Versailles

Le domaine de Versailles n’en finit donc pas de nous livrer ses secrets… Bien que peu connu de nos jours, l’impact de Louis-Philippe sur le château a eu un effet extraordinaire : il l’a rendu éternel…

by Jean-Philippe 

Louis-Philippe et Versailles

Exposition Louis-Philippe et Versailles

Jusqu’au 3 février 2019

du mardi au dimanche
de 9h à 18h30 jusqu’au 31 octobre
puis de 9h à 17h  à partir du 1er novembre

Le décor du théâtre est visible uniquement jusqu’au 4 novembre.

au Château de Versailles
Place d’Armes
78000 Versailles

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