Le Grand Musée du Parfum ouvre ses portes rue du Faubourg St Honoré à Paris en plein mois de décembre pour éveiller le nez du grand public et mettre en lumière un savoir-faire français qui mérite d’être célébré au même titre que la haute couture.
Un musée qui privilégie les expériences, la scénographie, l’espace et qui ne vous assomme pas avec une collection d’innombrables objets : on adore !
S’enrichir les sens
Le nez est invité à explorer tous les espaces de l’hôtel particulier du 8e arrondissement. Il est rare, voire quasiment impossible, de jouer et découvrir avec son nez. Ce nouveau musée offre un parcours original d’expériences, de plaisirs et de souvenirs aussi – car la mémoire olfactive est convoquée avec une collection impressionnante de senteurs, effluves à humer avec ou non excès. Bien sûr, il y a aussi de quoi en prendre plein la vue : entre les jeux de lumière, les installations artistiques et le design. Tout est beau : que ce soit les escaliers, les vitrines, les niches où se lovent les flacons estampillés Grand Musée du Parfum.
Des pièces originales ont été conçues spécialement pour cet établissement comme ces incroyables fleurs blanches venues d’une planète inconnue et composant un Jardin des Senteurs gracieux. Elles sont l’œuvre de l’Agence Projectiles.
Scénographie interactive et stimulante Même si l’on ne lit pas tout, il y a vraiment de quoi prendre du plaisir dans ce parcours au 3 thématiques Historique avec les fragrances au cœur de belles romances historiques. Il est plus que stimulant de relire les récits amoureux comme ceux de Cléopâtre et Marc-Antoine ou la reine de Saba et le Roi Salamon sous le prisme du parfum.
A côté de ces évocations, des objets qui ont traversé les âges prouvant que le parfum était aussi bien source de raffinement, que merveilleux moyen de se distinguer des autres et d’attirer les nez portés par des senteurs inconnues ou inédites. Un jeu des sens au 1er étage avec une forêt surréaliste, un bouquet de roses exaltant, des tubes à essais pour autant d’expériences scientifico-ludiques et de sensations fortes.
Le nez de son créateur Que serait le parfum sans son nez. LE créateur, celui qui est capable des mélanges les plus improbables, audacieux, curieux qu’enivrants et source de profonde addiction.
Etes-vous fidèle en eau de toilette ou volage ?
Rencontre par écrans interposés avec nez, parfumeur et spécialistes qui dévoilent leurs secrets et qui répondent à la terrible question : Se parfumer ou pas ?
Prévoir de passer du temps pour une dernière exploration : celle de la collection de matières premières formée de 25 gouttes qui se sentent et s’écoutent. Ingénieux design et concept pour savoir sur l’Essence de Vétiver, la vanilline ou encore la calone.
On ressort de cette adresse charmé par l’immeuble, les espaces et la tentative de nous extirper de notre quotidien urbain malodorant.
Attention toutefois à ne pas trop rêver de fleurs, de Provence, de papillons en retrouvant le flot des voitures du Faubourg St Honoré.
Le Grand Musée du Parfum 73, rue du faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
Surprenant !
Concept-stores, restos, cinéma, flipper, boutique éphémère de créateurs ouverts 7j/7 à la Villette.
Un centre de 25 000m² qui mixe shopping et loisirs d’un nouveau genre prend place dans une aile abandonnée de la Cité des Sciences et de l’Industrie de la Villette. Vill’up est bien décidé à réveiller le visiteur avec son design, ses boutiques classy et ses attractions dont la chute libre indoor qui nous fait vibrer.
Design, fun et sensations
On ne s’y attendait pas. Et puis l’annonce déboule : ouverture de Vill’up fin 2016 ! Parfait pour changer nos habitudes en période de fêtes.
Ce qu’on aime d’entrer c’est la chaleur du design : des luminaires à la façade des boutiques en passant par le mobilier.
On n’est pas aux Halles (pas de Gap, H&M, Marionnaud, SFR), les grandes enseignes n’ont pas droit de citer. #bonheur
Ici, on peut recharger son smartphone en chevauchant un vélo rétro : c’est rigolo ! On peut aussi attendre sa douce en pleine essayage, en se faisant une partie de flipper Ghostbusters ou Transformers Frida Kahlo graffée sur un mur de boutique nous fait de l’oeil, elle est divine.
Au bout de l’allée, tous les regards sont attirés par un puits vitré où il est possible de s’envoyer en l’air. En groupe et à raison de 2 sauts dont un en hauteur avec son moniteur, il est possible de tester les sensations fortes de la chute libre sans aucun risque puisqu’Indoor.
Simple détail : ne pas craindre de sa balader en combinaison moulante de couleur bleu. On a essayé, on a kiffé !
Boutiques coups de coeur On en pince déjà pour Petit Pan. Nul besoin d’être accompagné d’un tout petit blondinet ou brun pour entrer dans cette boutique dédiée aux enfants avec coussins, girafes en tissus et autres luminaires nuages ou animaux. Le grand retour de la Pâtisserie Ciel qui va nous régaler à nouveau de ses bouchées aériennes made in Japon.
Storie : la volonté de sauvegarder l’artisanat à travers le monde. De Chine au Maroc, en passant par l’Afrique du Sud, les objets utilitaires ou de déco ont tous une histoire et c’est beau ! Boutique éphémère créateurs !
Ifly et Yoo Moov Stations Pour avoir déjà testé un simulateur de chute libre, on vous garantit que iFly vaut le détour et l’investissement. Ce n’est pas à un saut que vous aurez droit mais à deux !
Avantages : vous pouvez vous rater et du coup progresser en regardant vos camarades, car vous sortez en groupe. Et surtout, vous faire soulever dans les airs grâce à votre moniteur.
Il y a une équipe de choc, jeune, souriante et pro de la chute avec des centaines d’heures au compteur.
Aucune appréhension à avoir. Juste du pur fun dès 5 ans !
Yoo Moov Stations réserve aussi son lot de sensations pour tout geek ou visiteur voulant se frotter aux nouvelles technologies. Ecran 360 degrés, images 3D et 5DI. Le voyage dans l’espace d’être inoubliable. On a hâte de le tester à partir du 14 décembre.
Une salle IMAX à Paris ? On dit OUI ! Le Cinéma Pathé va ravir les cinéphiles d’autant que cette salle est équipée d’un son immersif Dolby Atmos. Autant dire qu’Avatar 2 va faire exploser les réservations !
Vill’up 30 avenue Corentin Cariou 75019 PARIS
Métro : Porte de la Villette
Horaires :
Ouvert 7j/7
Boutiques : de 10h à 20h
Ciné, loisirs et restos : de 10h à 1h du mat’
Terminé les chambres de 9m2 typiques du 7ème arrondissement. Pour ses 90 ans, l’Hôtel Montalembert s’offre une nouvelle jeunesse tout en conservant son âme des débuts. Hôtel des écrivains, des artistes, des habitués du quartier – Rive Gauche – l’esprit devait absolument être conservé.
Les chambres de 9m2 ont donc été transformées en salles de bain. Place à l’espace.
La décoration, confiée à Pascal Allaman, architecte décorateur, est élégante, chic et sobre. Elle reste typiquement parisienne via la présence de corniches et de moulures. Les tonalités et les matières sont chaudes, les matériaux utilisés, comme le marbre pour les salles de bain sont luxueux mais pas tape à l’œil. Le mobilier est simple, élégant. Nous avons l’impression de nous trouver dans une chambre d’un appartement haussmannien. On s’y sent bien.
Pensé et décoré par Géraldine Prieur, architecte d’intérieur, le lobby de l’hôtel est éclatant de sobriété et de beauté. Doté d’une forte personnalité, il se démarque des lobbys froids et sans âmes auxquels nous sommes souvent confrontés.
Le salon offre, quant à lui, une sensation de plénitude. Sa cheminée et sa bibliothèque nous invitent à nous y installer, comme à la maison.
Une fois la visite terminée, nous découvrons les propositions concoctées par le chef de l’hôtel, David Maroleau. Des merveilles ! Son gaspacho revisité est autant magnifique que délicieux, sa crème de cèpe aux noisettes est un enchantement ! Nous goutons également plusieurs cocktails réalisés par Jérôme Bréard, véritable artiste dans ce domaine. Il s’agit d’authentiques créations aux goûts étonnants mêlant différents alcools (saké, gin, rhum cubain) avec des fruits frais et des plantes aromatiques.
L’Hôtel Montalembert dispose de 50 chambres dont 10 juniors suites et suites. Situées aux 7ème et 8ème étages, les suites offrent une vue imprenable sur tout Paris. Cet établissement 5 étoiles, idéalement situé, permet de visiter les galeries d’art et les boutiques d’antiquités de la rive gauche. Le personnel y est charmant et accueillant. Un véritable havre de paix.
Le magazine AD célèbre chaque année le travail des architectes d’intérieur avec l’exposition AD intérieurs 2016.
Pour cette édition, la dizaine de talents sélectionnés par la rédaction sont réunis à la Monnaie de Paris. Dix espaces, dix ambiances avec pour finalité un voyage au coeur de la création autour du thème 2016 : la collection.
Un évènement ouvert à tous jusqu’au 18 septembre.
Focus sur quatre ambiances et quatre créations qui vous donneront certainement envie de découvrir les différentes façons de mettre en valeur votre collection toute personnelle.
Le salon sonore de Patrick Jouin et Sanjit Manku
Un gros coup de cœur pour ce salon d’un nouveau genre.
Imaginez que vous puissiez enregistrer et conserver vos souvenirs sonores dans des capsules de verre et les rejouer à l’infini ?
C’est l’idée un peu folle que les deux créateurs ont choisi de mettre en scène.
Un grand canapé cosy et enveloppant, un meuble mettant de manière classieuse en avant ces souvenirs : tout invite au voyage dans un style très moderne.
A côté de ce salon, l’atelier de création de ces totems-capsules vous est ouvert. Un moyen de plus de rentrer dans l’onirisme et la poésie de cette installation signée Jouin Manku.
Le grand salon animalier d’Oitoemponto
Plongez dans un univers digne des James Bond des années 70 avec cette proposition de l’agence portugaise Oitoemponto.
Autour d’une belle collection de pièces en argent de l’artiste Luiz Ferreira, le duo de créateurs venu de Lisbonne joue entre le clinquant, le chic et le rétro.
Les arches, récupérées sur un bâtiment démoli rappellent la modernisation de l’Élysée sous Pompidou, version Pierre Paulin.
Les vitrines jouent avec la lumière d’exposition pour se dissimuler derrière un filtre opaque, si vous ne désirez soustraire votre collection à des visiteurs non-initiés.
Découvrir le travail de Luiz Ferreira est un véritable bonheur pour les yeux. Et cette langouste en argent, totalement articulée des pattes à la queue, est une merveille de finesse et de précision.
Cédez à la pleine contemplation dans cette pièce pour admirer ces œuvres vraiment uniques.
La galerie des empreintes de Raphael Navot
Le bois et l’épure : c’est ce qui caractérise le mieux le travail de Raphael Navot pour AD Intérieurs 2016.
Cet architecte d’intérieur est connu les Parisiens noctambules pour l’aménagement du club privé Le Silencio, rue de Montmartre, lui aussi orné de bois mais totalement doré.
Une remarquable mosaïque, ultra découpée et travaillée compose le parquet de ce salon d’exposition, sobre et moderne.
En résonance, les deux grandes bibliothèques très épurées exposent une collection de moules de fonderie servant à la confection de décorations végétales et animales.
Très cosy.
La cuisine en réflexion de Ora Ito
Le petit prince du design Ora Ito signe ici une cuisine-salle à manger en hommage à Daniel Buren : le sol en marbre de la pièce a d’ailleurs été créé par l’artiste fou des rayures noires et blanches.
Épurée, géométrique et jouant sur les miroirs pour augmenter les volumes de la pièce (tant au sol que sur les murs), cette cuisine se transforme, avec toutes ses étagères en une bibliothèque dédiée à Buren.
Lors de notre visite, en fin d’après-midi, les rayons du soleil couchant éclairaient magnifiquement le décor. La magie de la création.
AD intérieurs : un défi pour les designers
Après ces quatre coups de cœur, il vous reste encore six espaces de créations à apprivoiser. Chacun possède sa particularité, un petit truc qui le rend aussi différent : du style baroque au cosy italien en passant par un boudoir ouaté et monochrome.
Le design pour chacun !
Il faut bien noter la gageure majeure de cette exposition : créer des volumes dans un lieu aussi rutilant et haussmannien que la Monnaie de Paris. Pari gagné pour une expo surprenante !
8 jours, 200 lieux, vernissages et anniversaires, 7 pays à l’honneur et initiation au slow design. La Paris Design Week 2016 va faire vibrer la ville et prouver que Paris a sa place sur la scène internationale de la création toute l’année. Du 3 au 10 septembre, il n’y aura qu’un hashtag à suivre : #PDW16 pour découvrir toutes les pépites du parcours. En tant qu’ambassadeur cette année, voici ma sélection à la subjectivité totalement assumée.
Now! le Off : the place to be
S’il n’y avait qu’un seul lieu à visiter – et ce serait dommage de ne pas profiter des autres – direction les Docks – Cité de la Mode et du Design.
Avec now! le Off, votre bain de design sera total. Plus d’une centaine de créateurs internationaux, un parrain prestigieux Eugéni Quitllet, designer de l’année 2016, le focus sur la lauréate du Rado Star Prize, Élodie Rampazzo et des allées entières d’inspirations tout azimut, d’idées brillantes. Seul risque : la de perte totale de toute notion de temps.
La sélection a été concoctée par Chantal Hamaide, rédactrice en chef du mag Intramuros. Autant dire que ce sera aussi pointu, qu’excellent et grand public.
J’en pince déjà pour la table sinueuse Ferrum et pour l’applique lumineuse d’Audrey Lacroix.
Au fait, les visiteurs-ses auront leur mot à dire et pourront voter pour élire l’un des 7 projets qui concourent pour le Rado Prize France 2016 – Prix du Public. Remarquez leur photogénie.
Slow-design : valoriser la main
Ce n’est pas la course folle du monde qui ralentit. Non, la Paris Design Week offre un focus sur la main de l’artisan à travers tout le parcours.
Le lin sera à l’honneur. Ambassadrice du développement durable, cette matière est modulable à souhait. Et les innovations n’ont pas fini de nous montrer tout le potentiel que les créateurs peuvent en tirer.
Pour se frotter au lin, rendez-vous au showroom éphémère de la Chambre des métiers et de l’artisanat de Paris (1er).
Autres mains d’artisan à ne surtout pas manquer : celles de Pietro Seminelli, incroyable dieu du pli que les couturiers adorent. Il présentera ses créations à la boutique Y’s (Yohji Yamamoto).
Lumières sur la Paris Design Week
Cette édition sera lumineuse ! Grâce à une première : les spécialistes es éclairage et luminaires vont cueillir les visiteurs à travers des scénographies, dialogues et innovations captivants. De quoi bluffer vos followers en continu.
Have some fun!
Chaises à bascule et délires géométriques chez Colette, skateboards, oie lumineuse, jeux en tout genre, le parcours de la Paris Design Week s’amuse aussi en dégainant la carte du ludique. Les bambins n’auront qu’une envie : vous accompagner !
House of games sera l’occasion de faire enfin votre entrée à l’Hôtel Plaza Athénée – qui participe pour la première fois à l’événement – pour découvrir l’audace de la marque Ibride. Le prétexte est tout trouvé pour fouler le tapis rouge.
Mais aussi de découvrir l’espace de coworking Kwerk. Design, fonctionnelle, inventive et aussi lieu de détente, cette adresse de la rue de la Bienfaisance dans le 8e a des atouts indéniables. Les start-ups, travailleurs indé et autres pros vont avoir du mal à résister.
7 pays à l’honneur
Je mise sur le Centre Culturel de l’Ukraine dont l’intitulé de l’expo invite à la poésie : Les vols dans les rêves et la réalité. Ce sera l’occasion de présenter le travail de 6 créateurs du pays.
Ne pas manquer pour autant les échanges avec la Chine (première participation du Centre Culturel Chinois), la Finlande, la Flandres, la République Tchèque, la Lituanie et et le Danemark.
Vendredi 2 septembre : vernissages à Saint-Germain-des-Prés Samedi 3 : vernissages Les Halles, Le Marais et Bastille Lundi 5 : vernissages Opéra, Étoile et Concorde Mardi 6 : vernissages Barbès et Stalingrad Jeudi 8 : soirée officielle de clôture dans le cadre de now! le Off aux Docks, Cité de la Mode et du Design
#CONCOURS
Envie de participer à la soirée officielle de clôture de la Paris Design Week 2016 en direct du now! le Off aux Docks le jeudi 8 septembre 2016 ?
Pour tenter votre chance, rien de plus simple, remplissez le bulletin en-dessous.
Les gagnant(e)s seront tiré(e)s au sort parmi les inscrits. Ils recevront un mail leur confirmant leur lot.
ATTENTION !! Avant de participer, vérifiez bien que vous êtes libre à la date proposée afin de laisser sa chance à tous et toutes !
Myope, hypermétrope, presbyte, vous galérez à trouver le bon opticien et vous vous perdez pied dans la jungle des prix ? Sensee vient mettre un coup de pied dans cette fourmilière.
On a découvert cette nouvelle enseigne colorée, design et vraiment maligne quelques jours avant l’ouverture officielle, à deux pas des Halles. Monture made in France, transparence des prix et accueil 2.0 sympathique : vous allez aimer à nouveau votre opticien !
Derrière cette nouvelle enseigne, il y a un homme Marc Simoncini, le créateur de Meetic et serial investisseur, mais aussi une équipe au travail depuis quatre ans.
Parti du constat qu’il est difficile de comparer les prix d’un opticien à l’autre (votre paire à 1€ de plus est-elle vraiment à 1€ de plus ?), il a souhaité rendre le plus transparent possible les tarifs.
Son idée : maîtriser les coûts des lunettes en contrôlant la création et la fabrication des montures pour avoir le juste prix sans intermédiaire, offrir un service de qualité et épurer l’offre tarifaire pour qu’elle soit compréhensible par tous et toutes.
Sensee : un concept simple
Pas la peine de tourner autour du pot : toutes les montures sont vendues à 49 €. Pour les verres : des tarifs clairs, simplifiés et uniques quel que soit votre correction.
Dans le magasin, pas de grandes marques, mais pas d’intermédiaire non plus. L’enseigne produit ses montures en France, à Oyonnax dans l’Ain, la capitale mondiale de l’industrie plastique (avec les entreprises Grosfillex et Bollé, entres autres).
Elle propose d’ailleurs 32 modèles pour femmes et 27 pour hommes, déclinés en 4 coloris différents suivant le modèle.
Pour les verres (de vue et de soleil), l’enseigne s’est alliée à Zeiss, l’un des géants historiques de l’optique : un autre gage de qualité.
Sensee, l’opticien en mode 2.0.
En boutique, on retrouve l’esprit concept-store des marques d’électroniques.
Magasin épuré, les vendeurs et opticiens diplômés vous accueillent tablette à la main.
Votre dossier client étant numérique, vous pouvez choisir votre monture en magasin et finaliser votre commande chez vous, créez votre paire depuis votre canapé et finaliser en magasin, après essai sur place.
Et vous pouvez même recevoir votre achat directement chez vous !
Un nouveau mode de vente de produit d’optique qui séduit jusqu’aux employés, et jeunes professionnels.
Après une expérience dans une grande enseigne d’optique, Romain, notre opticien et jeune diplômé, pensait retourner à Bordeaux pour avoir plus d’espace et de confort.
Il fait la connaissance de la Sensee team et adhère entièrement au concept en adéquation avec les paroles de ses profs : “ils nous disent qu’il faut repenser le métier, plus dans l’accompagnement ; expliquer le traitement, sélectionner le verre en fonction du client“, sans pousser le client à l’option de trop.
Prix malins !
Nous avions déjà adoptés un opticien indépendant pour nous équiper, made in France et sans surcoût – en constatant que le prix des verres pouvait être divisé par 2 (certes sans la fameuse paire de lunettes plus ou moins gratuite).
Alors, nous avons fait le test de prix by Sensee.
Pour une paire de lunette normale à faible correction : verres uni-focaux, amincis et anti-reflet simple,l’addition est sans appel : 129 € (hors remboursement) !
Preuve qu’il y a une véritable attente dans le domaine de la lunetterie : le site web a crashé suite au passage de Marc Simoncini sur le plateau du Petit Journal de Canal.
Alors, on vous engage, si ce n’est à acheter, au moins à pousser la porte pour découvrir cette nouvelle enseigne Sensee et pourquoi pas tester le miroir intelligent 2.0.
Sensee
84 rue Rambuteau
75001 Paris
Horaires d’ouverture :
du lundi au samedi de 10h à 19h30
Avis aux curieux et aux férus d’histoire. Jusqu’au 6 mars 2016, l’exposition Invention/Design. Regards croisés remonte le temps et explore les modifications sans cesse apportées aux objets du quotidien par les designers.
C’est l’histoire de la mutation des objets à travers le temps. Divisée en quatre thématiques, l’exposition Invention/Design. Regards croisés, au musée des Arts et Métiers, expose une centaine d’objets hétéroclites, venus des collections du musée, du Centre national des arts plastiques (CNAP) et de designers et industriels privés. De la simple hélice au ventilateur sans pales, des premières machines à écrire aux ordinateurs portables, de l’ampoule à la LED, le visiteur embrasse en un seul coup d’œil presque quatre siècles d’innovation et d’évolution. Le but : montrer les liens entre le design contemporain et l’histoire des inventions. Ainsi les designers, mus par l’audace, la curiosité, l’amour de l’esthétique et la quête de l’essentiel, se sont emparés des créations des inventeurs, pour en modifier les détails, les formes, voire l’usage. Ici, « le design est vu comme une intelligence et non comme la recherche d’une forme d’esthétique, explique Antoine Fenoglio, designer et co-commissaire de l’exposition. Cette intelligence est soumise à des contraintes de production, au progrès techniques ou encore à l’acceptation du public de ces objets ».
Inventeurs et Géo Trouvetou
Quelques pièces sont vraiment originales et valent le détour. Ne passez pas à côté de la laine en plastique créée par un engin inspiré de la machine à barbapapa. Immanquable également, la Mine Kafon, un détonateur à mine incroyable, inventé par le designer afghan Massoud Hassani, et alimenté à l’énergie solaire ! La mode y a également sa place, avec une robe d’Issey Miyake. Autre originalité de cette exposition, la chaise, objet fétiche du designer, n’est représentée que par une seule pièce emboutie d’un fauteuil de Ron Araad.
L’exposition est courte et ne se visite pas comme on admire un accrochage de tableaux. Elle demande un peu de connaissances. Le design est présenté comme la résultante d’une adaptation toujours plus grande à son époque. L’exposition s’adresse à un public plutôt averti et aurait presque pu être sous-titrée « Les designers parlent aux designers ». Elle reste toutefois très bien documentée, donc pour le novice, elle complète très bien la visite du musée en lui-même.
Pleins feux sur les Audi Talents Awards. Alors que le lauréat design, Alexandre Echasseriau expose ses travaux à la chapelle du Musée des Arts et Métiers, la cuvée 2015 est révélée lors de lancement officiel des DDays à Paris.
Dans ce foisonnement d’innovation, rencontre avec 3 des 6 membres du jury passionnés par les projets qu’ils ont eu à défendre.
Ce jeudi au Mandarin Oriental, fin de la première session de délibération du jury pour les catégories : court-métrage et musique à l’image.
Les finalistes présents dans ce salon du 1er étage tentent de masquer leur impatience en dialoguant avec leur voisin. Le jury complet vient soulager l’attente et annonce les premiers lauréats : Magali Magistry (court-métrage) et le duo Florent et Romain Bodart (musique à l’image). Quelques minutes après les remerciements et séances photo et juste avant de statuer sur les lauréats design (Isabelle Daëron) et art contemporain (Bertrand Dezoteux), nous avons échangé autour de l’innovation, des coups de coeur et des atouts de 3 jurés.
Pourquoi avoir accepté de participer à ce jury 2015 ?
L’innovation me passionne et KissKissBankBank est un outil ouvert aux les artistes et porteurs de projets créatifs et innovants. Permettre à des artistes d’émerger c’est ce que nous faisons tous les jours avec mon équipe, nous associer aux ATA était donc évidence.
Quelle est votre légitimité à participer aux catégories art contemporain et design ?
C’est vrai que c’est impressionnant ! (rires) Autant la musique à l’image et le court-métrage, ça faisait partie de mon métier avant car je travaillais dans la musique. Je représentais des artistes pour des bandes son de films et de pubs. Pour l’art et le design, je vais être beaucoup plus humble parce que ça ne fait pas partie de “mes talents”, mais je suis passionnée par ces disciplines. J’aurais aimé être designer en fait.
Ça va donc être une sorte de projection, un fantasme de me mettre à la place des finalistes et lauréats.
Qu’est-ce qu’il y a d’innovant dans votre équipe ?
La manière de travailler : nous accueillons tous les artistes et créateurs dans notre bureau openspace, chaque jour pour les aider, les coacher. Et l’entretien se fait dans l’openspace avec tous les départements : un artiste peut donc aussi bien rencontrer des développeurs qui ont un avis web, ou des spécialistes-projets ou la communication ou la stratégie. Nous sommes tous à disposition.
Toutes les oreilles sont à l’écoute ?
Ça peut être terrifiant au départ mais on fait comme si on n’écoutait pas. Il y a de la musique toute la journée dans le bureau, donc c’est assez décontracté. Mais on se permet de participer au cours d’un rendez-vous.
Et parmi les projets en ligne sur KKBB, quels sont ceux particulièrement innovants ?
Nous avons une vitrine d’objets innovants financés par KissKissBankBank mais aussi le KissKiss Game. Je pense au Cahier de dessin animé, une appli géniale qui transforme vos dessins en animation ; à Sea Orbiter, un vaisseau d’exploration sous-marine et aussi àJean Bouteille, le retour de la consigne (une innovation sociale).
Un projet qui vous a particulièrement touché ? J’ai eu un coup de coeur pour le projet de court-métrage Expire de Magali Magistry. Déjà dans la présentation que j’avais lue avant de la rencontrer, je trouvais toutes les références esthétiques magnifiques et maitrisées. Et puis le propos de ce qu’elle a envie de montrer à l’image est très intéressant tout en montrant pas mal d’innovations technologiques mais pas gratuitement ; elles vont servir le film.
Çasera vraiment un grand film et j’ai hâte de le voir.
Quelle est la kisskiss touch que vous apportez dans le jury ?
Un peu d’optimisme, un peu de disruptivité, de bienveillance aussi. Je vais essayer de mixer l’ensemble avec un peu de pop aussi !
Pourquoi avoir accepté de participer aux ATA 2015 ? Chez Soon Soon Soon, notre conviction est que l’innovation peut être partout et pas uniquement dans la technologie, dans tous les domaines et toutes les activités pro et personnelles de la vie. Comme nous ne sommes pas du tout expert dans ces domaines, moi pas du tout et Soon non plus, nous voulions apporter un regard neuf.
Nous savons ce qui est innovant et ce qui ne l’est pas et pouvons dire si le projet a un vrai potentiel de différenciation. C’est ça l’esprit de SSS.
Qu’est-ce qui est innovant chez Soon Soon Soon ? Nous travaillons en coworking, ce qui n’est pas vraiment nouveau aujourd’hui mais ça fait des années qu’on est noyé au milieu de plein d’autres entrepreneurs. Et puis, un aspect très peu utilisé en France : le travail en distance. Pour l’anecdote, celui qui s’occupe de nos réseaux sociaux (page FB, Twitter) est complètement nomade. Actuellement, il vit en Colombie. Il y a 3 mois il était en Équateur et 6 mois au Canada. Ce mec est top dans son travail donc on s’en fout qu’il ne tienne pas en place. Et si, à la différence de pas mal de boîtes, nous sommes en retard de 3 heures pour répondre à un mail, ce n’est pas si grave. J’aime beaucoup cet état d’esprit. On l’applique à tout le monde. Tout le monde est mobile : une personne de l’équipe est entre Paris et Toulouse, moi entre Paris et Lille.
Les frontières entre vie privée et vie pro sont totalement effacées. On l’entend beaucoup mais nous on le vit vraiment.
Un projet d’un finaliste qui vous a tapé dans l’oeil ?
Le niveau de qualité des projets et leur niveau d’aboutissement sont vraiment remarquables. On a vraiment affaire à des professionnels. On s’adresserait à une agence pour demander des propositions dans ces domaines, nous aurions la même qualité. C’est vraiment excellent.
Un projet qui m’a vraiment touché c’est justement un qui n’a pas été retenu : le court-métrage Girafede Demis Herenger. Il a vraiment un univers à lui dans lequel il vous entraine littéralement. On a vraiment envie de le suivre et de voir le résultat. Après le projet était moins abouti sur la technique. On voit que c’est un artiste-créateur mais il est moins manageur que les autres. Il pourrait faire un peu peur (rires). Mais on sait qu’il va y arriver.
Quelle est la Soon Soon Soon touch que vous apportez pour ces ATA ?
Le côté différenciant. Est-ce qu’on reste dans les codes de la profession, dans ce que l’on connait ? Ou est-ce que l’on va prendre des risques ? Quitte à soutenir un projet qui est moins bon techniquement mais qui meilleur sur le long terme.
Carole SCOTTA, fondatrice de la société de production et de distribution Haut et Court
Qu’est-ce qui a motivé votre choix de participer à ces ATA ?
Principalement la transversalité. Et le fait que je faisais équipe avec des personnes de domaines différents du mien. Savoir comment eux allait regarder ce que je suis censée connaître le mieux et inversement. C’est rare !
Quels critères pour vous comptent pour soutenir un projet ?
La cohérence de la pensée, la singularité de la démarche et la capacité des candidats de prendre des risques pour leur projet. Et surtout ne pas reproduire des choses déjà galvaudées.
Qu’est-ce qui caractérise votre équipe au sein de Haut et Court ?
Fonder une petite famille depuis 20 ans avec une vraie cohésion, un dialogue permanent entre nos différentes activités : la distribution, le cinéma, la télé… La transversalité qui me plait au sein des ATA, j’essaie de le mettre en oeuvre chez nous.
Allez-vous suivre Magali, la lauréate court-métrage ?
J’espère bien. Elle a peut-être déjà un producteur. Nous verrons bien. Mais je ne fais pas partie du jury pour cette raison.
Qu’est-ce qui vous a touché dans son projet ? La cohérence de son univers et comment elle l’a relié à des choses qui semblaient très personnelles dans un univers fantastique et futuriste. Comment créer un univers qui en même temps raconte des choses de soi et être capable de très bien en parler.
Pour les lauréats de musique à l’image, Florent et Romain, qu’est-ce quia compté pour votre choix ?
Leur pluridisciplinarité nous a séduits. L’un est aussi illustrateur, ils travaillent ensemble mais aussi ont chacun des projets personnels. Leur humilité aussi nous a touchés. L’exercice de style qui leur a été imposé était vraiment très bien. Nous avons revu les images autrement avec leur musique, qui pouvait s’effacer aussi pour être au service des images.
Citons les 3 autres membres du jury : la designer Matalie Crasset, Vincent Carry, créateur des Nuits Sonores, festival lyonnais de musique électro et Marc-Olivier Wahier , commissaire d’exposition, critique d’art, ancien directeur du Palais de Tokyo et fondateur de Chalet Society.
Pour en savoir plus sur les lauréats des Audi Awards Talents 2015, cliquez : Court-métrage : Magali Magitry Musique à l’image : Florent et Romain Bodart Art contemporain : Bertrand Dezoteux Design : Isabelle Daeron
Chaque mois, les bloggers et bloggeuses qui participent à La Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants, le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.
Le sujet du mois proposé par Sephirah est : une certaine idée du design.
Le réflexe a été de repenser à cette vue imprenable sur les cuisines du restaurant 39V, installées au sommet d’un immeuble haussmannien. Le design fait corps avec le bâtiment et le ciel. Au coucher de soleil le point de vue depuis la salle de restaurant est assez spectaculaire.
Vous avez moins de 30 ans, étudiant(e) ou tout(e) jeune diplômé(e) dans le domaine du Design, le concours Samsung Design Awards est pour vous. A la clé, l’aide d’un designer pro pour les 10 finalistes et jusqu’au 10 000 euros pour les projets lauréats.
Fort du succès du programme Launching People qui a célébré 4 lauréats dans 4 catégories – Design, Vidéo et Photo, Food Cuisine et Entreprenariat -, Samsung poursuit son soutien aux créateurs.
Le Samsung Design Awards lancé début décembre propose un défi aux graines de talents qui vivent, respirent et réfléchissent design.
L’idée de débuter une relation avec les designers de demain. Celles et ceux qui vont améliorer et réinventer le monde.
A partir d’une thématique imposée : Le futur de la communication, les jeunes diplômés et étudiants sont invités à se projeter sur la communication de demain.
Dématérialisation, objet hybride, téléphone qui ressemblera de moins en moins au mobile que nous connaissons, les perspectives sont grandes, l’imaginaire en ébullition.
Avec d’autres bloggers, notre équipe a été sollicitée pour réfléchir également à ce futur proche autour de 3 maîtres-mots chers à la marque : l’intuition, l’harmonie et la nature.
Le résultat : une multitude d’envies pour nous assurer à la fois de moins de traçabilité de nos faits et gestes sur le net, une communication totale avec l’autre et surtout plus respectable.
Pour les moyens d’y parvenir, nous avons besoin de vous.
Sachez que les 10 finalistes seront soutenus pour la préparation finale face au jury par deux grands noms du design : Anthony Lebossé, designer au sein de l’agence 5.5 Designstudio et Patrick Avril, directeur de l’agence Use Design.
Date limite pour déposer votre dossier : le 2 janvier 2014. Il ne vous est pas demander une bible mais une présentation claire de 10-15 pages.
Et vous pouvez participer en solo ou à 3 personnes maximum.
Toutes les détails sur le site : Designed for
Et vous, comment imaginez-vousLE FUTUR DE LA COMMUNICATION ?
BONUS : vous n’êtes pas étudiants en Design et avez plus de 30 ans ?
Commentez ce billet et/ou tweetez avec #samsungdesignawards vous participez automatiquement au tirage au sort (parmi les commentaire postés sous les articles annonçant le concours et les tweets envoyés avec le #) pour gagner un lot qui fera briller les yeux des geeks avec un Samsung Galaxy Gear et un Galaxy note 3 !
Deux lots au total sont à gagner.
Date limite de participation à ce concours ouvert à tous et toutes le 23 décembre.