Après avoir fait le tour du monde, le festival Taste of… installe ses fourneaux à Paris au Grand Palais du 21 au 24 mai 2015. Plus de 10 ans après sa création, la capitale mondiale de la gastronomie accueille enfin cet évènement avec pour parrains : Alain Ducasse et Joël Robuchon. Taste of Paris, ça promet !
Après Londres, Helsinki, Dublin, Milan, Moscou, Dubaï, Sydney et beaucoup d’autres, vous retrouverez sous la nef du Grand Palais 14 grands chefs issus des meilleures tables parisiennes, parmi lesquels Francis Fauvel, Kei Kobayashi, Stéphanie Le Quellec, Jean-Louis Nomicos, Guy Savoy, Pierre Sang, Frédéric Vardon mais aussi des artisans, des producteurs et des amateurs passionnés de gastronomie.
Avec Taste of Paris, vous pourrez aussi assistez à des performances mêlant art et gastronomie, des ateliers durant lesquels les chefs vous dévoileront certains de leurs secrets de cuisine.
70 exposants, des marques prestigieuses, des producteurs locaux et des artisans tous présents pour défendre l’art de vivre et la gastronomie française.
Quatre jours de plaisir gustatif dans le plus bel écrin parisien !
Concours
Envie de recevoir votre pass pour Taste of Paris ?
Pour le gagner, rien de plus simple, envoyez-nous un mail, gentil et poli avant le17 mai 2015 23h avec vos nom et prénom (avec en objet Taste of Paris) à : usofparis@gmail.com
Les gagnant(e)s seront tiré(e)s au sort parmi les inscrits. Ils recevront un mail leur confirmant leur lot : 1 pass pour une personne.
Bonne chance à toutes et tous !
FestivalTaste of Paris
Du 21 au 24 mai 2015 Jeudi 21 mai : 19h – 23h30 Vendredi 22, samedi 23 et dimanche 24 : 11h30 – 16h et 19h – 23h30 au Grand Palais
3, avenue du Général Eisenhower
Paris 8ème
Plus d’infos sur les ateliers et les animations sur la page web de l’évènement.
Du soleil dans votre dessert, c’est vraiment le maître mot de la Tarte Tropézienne. Si la recette originale satisfait le grand nombre de gourmands, les Baby Trop’ qui viennent de pointer le bout de leur nez se gorgent de dix nouvelles saveurs pour ce printemps 2015. A goûter d’urgence, à fêter à Saint-Tropez le 10 juillet et à lire dans un livre anniversaire avec recettes aux Editions de La Martinière.
Une tropézienne, c’est avant tout un mélange unique de deux crèmes dans une brioche fondante, saupoudrée de grains de sucre.
Une recette unique et gourmande qui a été maintes fois copiée mais jamais égalée.
Et notre tarte a fait des petites depuis un an : les Baby Trop’, des tartes en mini-portion à l’instar des choux de Popelinique l’on peut déguster à même le trottoir.
Pour ce printemps 2015, les bébés se parent de dix nouvelles saveurs, en plus de la recette originale et incontournable : Chocolat Guanaja, Praliné Amande Noisette, Café expresso, Pistache, Abricot, Amande Griotte, Citron, Framboise, Myrtille et Romarin.
Rendez-vous nous a été donné au Pavillon Ledoyen pour déguster ces parfums de saison.
Les plus surprenantes restent sans conteste la Baby Trop’ romarin, pour laquelle on aurait osé une touche de parfum en plus et la myrtille goût parfaitement maîtrisé. Celle au citron est fraîche.
Nous ne les avons pas toutes goûtées pour garder un peu de surprise pour plus tard. Alors on vous laisse chavirer à votre tour selon suivant votre gourmandise.
60 ans de goût ça se fête !
Le 10 juillet prochain, les ruelles Saint-Tropez vont raisonner des bruits de la célébration qui sera organisée autour de la Tarte Tropézienne. Habitants et vacanciers seront conviés à célébrer ce fleuron de la Riviera Française. A travers des pop-up stores, des foodtrucks et autres véhicules vintages mais aussi à travers le regard d’artistes, vous traverserez les six étapes de la création de cette mythique tarte.
L’apothéose de cette journée sera l’ouverture du nouvel écrin de la Tarte Tropézienne : une belle terrasse pour la boutique historique avec une vue plongeante sur la très célèbre Place des Lices et ses boulistes. Bien évidement ce programme sera agrémenté d’autres surprises que nous ne pouvons dévoiler tout de suite.
Tout comme la recette toujours secrète de la Tarte Tropézienne ! Impossible d’en avoir une copie, malgré tous nos efforts de persuasion.
Et pour rappel, la Tropézienne se décline en version framboises et fraises pendant tout le printemps sans oublier que les autres desserts en boutique sont aussi colorés et yummy comme la gamme des éclairs tropéziens, la tarte aux fruits mélangés ou l’entremets aux 3 chocolats. Histoire de contenter les grincheux qui n’assument pas la crème !
La Tarte Tropézienne
3 rue de Montfaucon
Paris 6e
du lundi au samedi de 10h30 à 19h30
le dimanche de 10h30 à 18h30
Retrouvez les boutiques près de chez vous : Marseille, Hyères, Toulon, Saint-Raphaël, Saint-Tropez…
A PARAITRE LE 2 JUILLET !
Le livre La Tarte Tropézienne
retour sur 60 ans d’histoire, 15 recettes emblématiques et la participation de 12 chefs : Marc Veyrat, Yannick Alléno, Benoit Castel, Christophe Michalak, Sébastien Gaudard…
(Éditions La Martinière)
Un nouvel acteur vient de voir le jour à Paris dans le monde culinaire : La Conciergerie Gastronomique. Avec une offre type box mensuelle associée à un service évènementiel, Léa Ben Zimra, fondatrice du concept (et aussi blogueuse), met en avant la créativité et la qualité des produits.
La Conciergerie Gastronomique n’est pas un traiteur mais un agrégateur de talents : des professionnels qui mettent leurs inspirations dans des créations culinaires gorgées de produits de qualité.
Ce sont eux qui vont vous enchanter les papilles grâce au service d’abonnements mais aussi lors vos soirées privées (particulières ou d’entreprises).
L’offre d’abonnement propose trois options :
– la « bonne adresse » : 1 adresse sur mesure par semaine pendant 1 mois
– la « dégustation » : 1 dégustation par mois sur mesure au moment de la journée que vous préférez
– la « liste d’achat » : 1 livraison par mois d’une sélection gourmande
Le service pour chaque option varie suivant le montant de votre abonnement mensuel, de 45€ à 355€. Tous les détails sont à retrouver sur le site deLa Conciergerie Gastronomique.
Ce mercredi de février, lors de la soirée de lancement, nous avons pu expérimenter un concept « soirée extraordinaire » pour faire votre marché entre deux bouchées, rencontrer les créateurs et croquer, goûter leurs plats, avant de faire votre choix.
C’est dans le bateau Le Paris, amarré face à la Tour Eiffel, que nous avons rencontré les partenaires culinaires de La Conciergerie Gastronomique.
La soirée débute par un cocktail à base de thé glacé shaké par Téa Forté. Le mélange subtil du thé et de la vodka aiguise les sens et sert de bonne entrée en matière avant de savourer le caviar de chez Kaviari. Pour les non-initiés, un moment de découverte parfait pour un plaisir gustatif unique.
On poursuit avec les tartes aux légumes pleines de couleurs de Kluger : la fraicheur des ingrédients les rend légères. Et si cela ne vous dérange pas de mélanger le sucré et le salé, vous n’attendrez pas le dessert pour vous jeter sur les mini-douceurs.
On ne résiste pas non plus au “bar à beurre” Bordier. Jean-Yves Bordier est LE maître artisan beurrier présent à la table des grands chefs. Aux côtés du traditionnel beurre demi-sel, on succombe à la version ail et fine herbe et totale surprise face au beurre à la vanille de Madagascar.
Pour ménager notre palais, la Maison Butet et le Jardin de Rabelais nous offrent la pause fruits et légumes avec des découvertes incongrues comme les Ocra du Pérou ou le velouté de poires de terre : toute la douceur de la poire avec un goût plus fin et léger. Cette variété sud-américaine, proche du topinambour, séduit par sa délicatesse.
Et les carnivores alors ? Ce sera poulet ! Mais pas n’importe lequel. Chez Solyles, ce sont des poulets fermiers Label Rouge. Chaque mois, une race d’exception est mise en avant. Et pour la formule cocktail dinatoire présentée lors de notre soirée les manchons sont à l’honneur : Sauge-romarin, Pesto et ceux qui nous ont fait flasher : les Teriayki ! Une explosion de saveurs en bouche. Mais il ne faut pas oublier les fameux sot-l’y-laisse, juteux comme il faut.
Un peu de douceur pour finir cette soirée avec Yohan Kim. Que dire de ses madeleines à l’anis étoilé et cardamome : fondantes et éclatantes sous le palais. Ses pâtes de fruits ne sont pas en reste, un vrai délice : juste sucrées et chacune fidèle à son fruit d’origine. Ne pas se laisser charmer par ses caramels au beurre salé et noix de macadamia, impossible de ne pas en dévorer plusieurs d’affiler…
A suivre de près : le créateur est à la recherche d’une boutique.
Tous ces artisans, ces artistes culinaires et d’autres encore (car Léa en quête chaque jour) vous seront proposés pour vos soirées d’entreprises, vos déjeuners de réunions, un lancement de produit ou même pour des soirées festives entre amis.
Tous ces produits et leur présentation nous ont séduits, et il est certain que vous aussi vous n’y résisterez pas. Alors laissez-vous tenter par l’abonnement ou le service événementiel. Le grain de folie de Léa Ben zimra saura faire la différence pour un conseil personnalisé.
La maison star du caviar a ouvert sa deuxième boutique parisienne, rive droite, dans le quartier de Courcelles. L’occasion pour notre équipe de découvrir cette adresse gourmande de la gastronomie accueillie par Maxime, le maître des lieux.
Première surprise : tous les produits de la boutique peuvent être goûtés. Que vous soyez clients habitués ou que vous poussiez la porte par curiosité pour la première fois.
Et il ne faut pas être intimidé par la renommée de la maison Petrossian.
Saviez-vous que cette nouvelle boutique à attirer la clientèle de la Rive Droite ? Certains clients qui ne franchissent que très rarement la Seine n’avaient jamais visité la boutique de la Rive Gauche. Tels ceux de Neuilly qui se rendent désormais à cette adresse.
Mais attention si vous souhaitez déguster les différents caviars, il vous faudra respecter les quelques consignes : pas de chewing-gum, de café ou de cigarette dans l’heure qui précède. Maxime, notre hôte, est intransigeant sur ce sujet et il a de très bonnes raisons.
Chez Petrossian, maison familiale depuis 1920, les collaborateurs ont entre 10 et 15 ans de métier, en moyenne. On comprend d’autant mieux leur envie de nous faire partager des saveurs uniques.
La production de caviar dans le monde Ceci étant précisé, éliminons les clichés sur le caviar.
La production mondiale de cet or noir étant encadrée par le CITES (organisme sous contrôle de l’ONU), il est impossible de trouver du caviar russe (depuis plus de 15 ans) ou Iranien sur le marché.
Le commerce du Caviar dépend uniquement de l’élevage et ces pays n’ont pas encore retrouvé leur potentiel de production.
Tous les pays du monde peuvent faire élevage d’esturgeon. Et quel que soit son origine, vous pourrez facilement trouver celui qui vous correspond en termes de goût. Info insolite, dans les tests à l’aveugle, c’est le caviar chinois qui arrive en tête. Surprenant.
Pour la France, les débuts de la production du caviar remontent à un échange avec la Russie de truites françaises contre des esturgeons russes.
Pourquoi le Caviar est-il si cher?
Il faut patienter au minimum 7 ans pour que l’esturgeon produise ses premières poches de caviar, mais la moyenne est de 13 à 14 ans. Rappelons que ces petites billes noires sont des œufs, et qu’une poche d’œufs d’esturgeon ne dépasse pas 13% de sa masse.
Le caviar est donc un produit qui demande patience et abnégation de la part de ses producteurs. Il faut des années pour trouver le bon ratio de salaison et de maturation. Et pour garantir une satisfaction optimale à ses clients, Petrossian applique la même charte de qualité à tous ses éleveurs à travers le monde.
L’art du caviar Il existe sept espèces de caviar (Alverta, Baeri, Beluga, Ossetra, Sevruga, Shasseta et Starlet). On vous évitera leur nom latin.
Chacune possède ses propres caractères : taille de grains, couleur, dureté en bouche, origine de production et bien évidement saveur en bouche. C’est sur ces critères que se feront votre choix et s’affineront vos préférences.
Par exemple, le Beluga (le plus connu) avec ses gros grains, fond en bouche. L’Osseta, aux grains plus petits, a une forte saveur noisette, et l’Alverta Royal est plus salé car assaisonné uniquement par le sel marin.
Quand un esturgeon est à maturité, la poche est prélevée et aucun mélange n’est fait avec d’autres poches. Pour garantir la traçabilité du lot, un numéro est apposé que vous retrouvez sur l’emballage de votre achat. Un exemple pour faciliter votre décryptage de l’étiquette.
Ce qu’il faut retenir de cette dégustation, c’est qu’il n’y a pas de bon ou de mauvais caviar. Tout est une question de goût. Mais si vous achetez ce met délicat sur le net, au rabais, vous risquez une grosse déception, la qualité pourra être médiocre ou tout simplement l’offre une belle arnaque.
Ce produit goûteux et rare, qui n’est pas à la porter de toutes les bourses, doit rester un moment d’exception. Les derniers conseils pour en jouir pleinement : prévoir 15 à 20 grammes par personne pour se faire plaisir et le déguster dans les 24 heures après ouverture (si vous arrivez à vous retenir).
La gastronomie Petrossian Petrossian n’est pas une enseigne exclusivement dédiée caviar. C’est aussi un traiteur de renom qui propose des préparations d’exception.
Nous sommes tombés en émoi lors de la dégustation du tarama maison, faisant passer l’envie d’acheter son avatar en grande surface, ou même chez le meilleur traiteur grec du quartier. Fait maison avec uniquement des oeufs de poissons et de la crème, cette préparation rosée fond littéralement en bouche, comme jamais nous n’avons pu en manger auparavant. A découvrir uniquement en boutique.
Arrêtons-nous sur l’autre spécialité de Petrossian : le saumon fumé.
Premier fumeur de ce poisson en France, l’enseigne possède un savoir-faire incomparable. Couleur, texture et goût, on en reste bouche bée.
8 jours de fumage en boutique, au lieu des 8 heures en usine pour la grande distribution, une technique ancienne à la verticale. Résultat : une texture et une saveur inhabituelle pour nos papilles.
Compte tenu de ses différences d’épaisseur le long du filet, le saumon n’est pas fumé de la même façon sur toute sa longueur. On découvre alors des sensations gustatives différentes. Et la coupe manuelle au couteau augmente considérablement les saveurs de cette chaire mordorée.
On n’oubliera pas les autres produits présentés en boutique comme le King Crabe du Kamtchatka ou les différentes poutargues qui nous ont fait saliver.
Plaisir des yeux et plaisir en bouche, la gastronomie façon Petrossian peut aussi être appréciée à l’occasion de votre pause déjeuner avec des formules découvertes, pour quelques euros de plus que dans une brasserie classique.
Mais faire entorse à ces petites économies de temps en temps pour de l’exception, la folie est modérée. Vous ne trouvez pas ?