L’édition 2018 guide Un Grand Week-end à Paris a une invitée de choix : Isabelle Spanu, la truculente et inspirée blogueuse de Mon Joli Paris. Au programme : des coups de coeur, des adresses rares, originales et des must-see (21 quartiers à arpenter). On a repéré 5 bons conseils dans ce guide parmi une bonne centaine d’activités, visites et autres incontournables.
On a testé le brunch du samedi ! On l’a aimé.
Ici, de 11h à 15h, les larges tables font face à l’activité à plein régime des 3 gars derrière le comptoir. On s’est fait la totale : jus détox, assiette gourmande (au choix végétarienne ou poulet aux herbes de Provence) et un super dessert, des pancakes au lait de coco.
Gravity Bar : cocktails au top
Isabelle raffole de l’ambiance et de la déco.
Nous, on a testé les cocktails en mode fooding et les bons petits plats.
Le repère de la rue des vinaigriers n’est pas grand mais il est vraiment attachant.
IDA : prochain coup de cœur
Un restau qui est dans notre todo list depuis un moment.
L’avis d’Isabelle est sans appel : “j’y ai mangé les meilleures pâtes à la carbonara de Paris” et sans crème !
Il y a donc urgence pour vous comme pour nous de nous rendre à cette adresse de la rue Vaugirard et ainsi faire la connaissance du bogosse Denny Imbroisi.
Visite guidée du Père Lachaise Aussi dans notre todo-list : la visite de Thierry Le Roi. Ce guide connait le cimetière comme sa poche. Il en connait les recoins et les anecdotes capables de laisser sans voix le Parisien blasé. Bref, un incontournable quand on pense avoir vu les plus belles tombes.
Des petites merveilles se dérobent au grand public.
Sergeant Paper
On adore la palette de sérigraphies proposées. Il y a des artistes inconnus et des incontournables comme Shepard Fairey, alias Obey.
Ne pas manquer la partie livre avec de belles éditions. Il y a aussi des t-shirts de créateurs, des events sympa. Que des bonnes raisons de passer par la rue Quincampoix.
Encore beaucoup d’autres découvertes à faire avec Un Grand Week-end à Paris 2018 qui conseille celles et ceux qui veulent se faire un beau séjour dans la capitale et qui réserve de belles surprises aux Parisiens.
CONCOURS Des exemplaires du guide Un grand week-end à Paris2018 sont à gagner ici !!
Le principe est simple : nous laisser un commentaire juste en-dessous en n’hésitant surtout pas à partager ce que vous rêvez de faire à Paris.
Tirage au sort parmi tous les participants dans 2 semaines.
Les gagnants recevront un mail pour leur demander leurs coordonnées complètes pour l’envoi du guide.
Nuit Blanche 2017 à Paris c’est maintenant. Cette année vous avez le choix entre 97 oeuvres rien que pour le IN, on vous propose notre top 5.
5 oeuvres découvertes en preview, la veille de l’événement.
Au programme : danse, performance, tournage de cinéma, projection… C’est parti pour la 15ème édition !
The master’s tools : la plus barrée
On commence par le parcours nord dans la Halle Hébert.
Juste derrière le nouveau spot de street art l’Aérosol, un grand hangar accueille le collectif (LA) HORDE.
Cette installation-performance est un ballet de corps, de voix et de véhicules.
Tournage d’une séquence de révolte en extérieur où policiers et manifestants se confondent, corps à corps entre chanteurs et fenwicks.
On reste subjugué par la chorégraphie des acteurs-performeurs autour de cette limousine. En mouvement perpétuel, certains taguent au sol “Demain est annulé“, tandis que les autres effacent immuablement leurs messages.
Mille et une danses : la plus énergisante
Sous la Canopée des Halles, on retrouve le génial danseur et chorégraphe Olivier Dubois entouré de 300 danseurs amateurs.
Cette méga troupe envahit littéralement l’espace, en petits groupes ou en masse.
Le chorégraphe précise : “Avec le nombre de répétitions, l’implications, le terme amateur n’existe pas pour moi. Je donne le moyens à ces danseurs d’assurer comme des pros.”
Sur des musique populaires, films de Funès ou de jeux vidéo comme Tétris, les corps s’animent dans des chorégraphies millimétrées, ou en mode flash-mob plus chaotique.
C’est totalement euphorisant. Olivier dubois offre une belle dose d’énergie et de fougue pour recharger ses batteries au milieu de la nuit. Avant de continuer son parcours.
Sur des arrangements de musique pop joués avec un ensemble de steel-drums, Jeremy Deller propose une vidéo drôle, sombre et esthétique.
A travers elle, l’artiste veut montrer qu’une identité culturelle, ici l’anglaise, n’est pas homogène, mais composée d’un aggloméra de choses multiples et divers.
Une vidéo hypnotique. On adore la version de The man who sold the world qui devient d’un coup beaucoup moins dark que celle de David Bowie.
Un monument dédié au siècle des révolutions : la plus historique
De mémoire de Nuit Blanche, on a rarement vu une installation qui convoque à ce point la grande Histoire.
A l’occasion des 100 ans de la Révolution russe d’octobre 1917, le collectif Chto Delat ? (Que faire ?) a voulu retracer l’histoire des révolutions à travers le monde.
Les 1h30 de vidéo d’archives vont de l’Iran à mai 1968, en passant par la Roumanie ou l’Afrique du Sud…
On n’a pas pu visionné la totalité du film, mais cette oeuvre est vraiment prenante et offre un vrai recul sur notre situation actuelle.
Marée des lettres : la plus connectée
Sur les quais de Seine, Invisible Network Playground plante ses lettres géantes.
Grâce à une application téléchargeable, chacun.e de nous peut faire évoluer l’oeuvre Marée des lettres. Lancez votre slogan et si les utilisateurs l’aiment, il sera transformé en lettres géantes que les promeneurs pourront admirer. 100 % ego trip !
Et si vous souhaitez vous faire surprendre, sans établir un plan d’attaque précis, laissez vous porter par la ligne orange qui parcourt les trottoirs de créations en créations.
Toutes les infos sur le site officiel de la Nuit Blanche
Chaque mois, les blogueurs et blogueuses qui participent à la Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.
Born to be wild! C’est ce que m’a fait l’effet la vue de cette Porsche sur la place de la Concorde un soir d’hiver. Elle a parcouru le monde l’année dernière avec une équipe originale : un père et ses deux fils.
Pourquoi sauvage ? Parce que la 928 GT n’est pas une voiture tout terrain comme un bon 4×4 et elle accuse un certain nombre d’années de route. L’aventure aurait pu s’arrêter à tout moment, avant d’atteindre les 30 000 de kilomètres de périple. Ça c’est sauvage !
Si vous souhaitez rejoindre la communauté de la Photo du mois, rendez-vous sur la page FB du groupe, si ce n’est pas déjà fait.
Cette année, la Nuit Blanche mise sur la Seine avec une poursuite amoureuse d’un personnage Poliphile, sur les 6 km du bord du fleuve. Cette quête aussi bien d’une femme, d’un but que de soi est à tisser d’oeuvres en oeuvres, d’installations à performance où les plus belles (les Girls du Crazy Horse) comme les plus surprenantes (Le Pont des Arts) et déroutantes (le Tunnel des Tuileries) expériences peuvent être réalisées. Programme des réjouissances !
La Seine, la nuit : ses sons, son attraction
La déambulation entre les installations est l’occasion de renouer avec les panoramas qu’offrent les quais de Seine de nuit. Ils ne sont pas encore tout à fait désertés mais ce n’est plus la liesse de l’été. La fraicheur des soirs se ressent, ce n’est que plus grisant. L’occasion parfaite pour entendre “le silence bourdonnant” du fleuve comme le propose Oliver Beer. Ce jeune artiste a installé des micros sous l’eau pour faire entendre le monde sous-marin, aux pieds du Pont des Arts. C’est à la fois plein de vie, étonnant, agressif aussi dans l’accumulation de sons – surtout à l’approche de plusieurs bateaux. Tendez l’oreille, peut-être entendrez-vous le chant d’une sirène. Un peu plus loin, le cultissime Anish Kapoor s’est lancé dans une expérience inédite pour la Seine : créer un vortex. Un projet totalement fou car risqué. Les ingénieurs sollicités n’étaient pas sûrs de pouvoir réaliser une telle prouesse. La Descension est audacieuse car a tout moment l’expérience aurait pu échouer.
Fascinant !
Le point de départ se fait sur le Parvis de l’Hôtel de ville avec une forêt gelée baptisée Sommeil, lors de la visite de presse par l’artiste Stéphane Thidel. L’ensemble opère une lente chorégraphie qui invite à la contemplation. De l’autre côté de la Mairie, rue de Lobau, Erwin Olaf joue avec les apparences. L’artiste néerlandais aime mixer photo et vidéo et avec L’Eveil, il rend à la fois hommage aux victimes des attentats et célèbre les beautés dans toutes leurs diversités.
L’oeil de Rizzo / les expressions de Deneuve A ne pas manquer dans ce parcours, Avant la dernière nuit à l’Hôtel Dieu, une proposition de Christian Rizzo. Certains pourraient penser à une boule à facettes mais il s’agit plutôt d’un oeil qui offre deux faces : un écran de projection avec un danseur hip-hop qui préfère se produire en forêt et un jeux de miroirs aux reflets enchanteurs. L’oeuvre est captivante.
Direction ensuite le Tribunal de Commerce pour un face à face évocateur avec We are Catherine Deneuve. Karim Zehiahen interroge le visage de l’actrice à travers ses films.
Rêve éveillé avec des Muses
Le Petit Palais ouvre exceptionnellement ses espaces pour célébrer les 65 ans du célèbre cabaret Le Crazy Horse. Cinq beautés anonymes vont offrir tout au long de la nuit un ballet d’un charme fou au coeur du Jardin “des délices“, en plein air. Belle perfomance quand on sait que les nuits sont fraiches (entre 11 et 13°, selon les prévisions)
A ne pas manquer au niveau du Pont des Champs-Elysées, à deux pas du Pont Alexandre III, la projection-perfomance de Loïc Constantin, Gildas Flahault et Benjamin Flao faite de dessins réalisés en direct – regardé l’intérieur du camion face à vous) projetés en live sur un écran de pluie. Avec la Tour Eiffel en transparence, Argos offre une poésie en bord de Seine bluffante.
D’autant plus bluffante quand on sait que les images illustrent “le voyage à l’intérieur de la tête d’un chien” !
Comme un écho, dans la fragilité, l’improbabilité : Hourvari, une chorégraphie de l’équilibre orchestré par Yoann Bourgeois.
Sur un plancher tournant sur lui-même un couple tente de se rapprocher, de s’unir contre la mouvance du monde. Une très belle performance courte qui peut être interrompue à tout moment en cas de pluie, de vent. Le rêve est éphémère.
Chaque mois, les blogueurs et blogueuses qui participent à la Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.
Le thème de ce mois choisi par Giselle 43 est : dentelle.
On a eu beau chercher des robes dans nos photos rien de réellement concluant n’en est ressorti. Il y avait bien ce couple de Japonais sur le Pont Alexandre III.
Et puis, l’évidence : ce ciel de septembre. Ces nuages qui ont joué de leur texture en fin d’après-midi. Rien à rajouter. Plus qu’à shooter.
A box for lovers, curious and passionate who dream of Paris, want to visit the city and to plan the best stay of their life. Dreaming of Paris? L’Esprit Français is made for you! With this original and connected box, we have found the best way to share a little taste of Paris, a kind of amuse-bouche so Frenchy!
L’Esprit Français, Paris is a box! Do you want to become a Parisian, for one day, one week? Before your trip, try the lovely box: L’Esprit Français. We are French, and even we were surprised by the gifts inside. Of course, we can see the Eiffel Tower, the Arc de Triomphe, the Sacré Cœur every day of our Parisian life. But discovering tasty and cute high quality gifts all about Paris has excited us.
Full of French gifts Chocolate! A good one, made in France with a nice graphics and a lot of good ideas.
A delicate 3D view of famous monuments. Gold and black: more original than a plastic Eiffel Tower! A bracelet “Vive la France”, because of the French flag colors! We wear it on our wrist. Looks great on the subway. A tote bag, high quality! Not the one the brand offers for 2 purchased products.
Connected box
And a guide full of good tips, addresses…
Two versions: a nice glossy booklet or digital with a QR code for exclusive contents. So 3.0!
We find a chocolate quenelle, we have to taste it urgently at Miroir Restaurant (Les Abbesses subway stop). Emergency again with the carrot and goat cheese glam made by Le bio d’Adam & Eve, organic address (Louvre Rivoli stop). We have to shoot and taste it now! Bateaux Parisiens, in the Spotlight on Famous page, is our favorite boat run on La Seine river. Close your eyes and follow the guide.
La programmation complète du Festival FNAC Live 2016 tout juste dévoilée, USofParis vous propose une vue générale avec Benoit Brayer, co-programmateur du festival avec Nicolas Preschey. Le responsable des événements culturels de la Fnac et fou de musiques nous dévoile les coulisses de cette édition 2016 alléchante. Une interview pleine de fougue et d’énergie. Coups de projecteur sur Lola Marsch, Hyphen hyphen, Jungle, Sage et Bon voyage organisation. Des artistes, pour certains peu connus, qui devraient être des révélations pour le public parisien. Benoit se confie aussi sur quelques-unes de ses émotions musicales et personnelles.
INTERVIEW DE BENOIT BRAYER
UsofParis : Combien de temps vous faut-il pour concevoir la programmation du Fnac Live ? Benoit Brayer :C’est quasiment un an de préparation. Les premiers rendez-vous de programmation commencent en octobre, les premiers engagements également. Elle se déroule jusqu’en mars et après, on entre en phase de production. C’est un an de travail.
Dévoiler progressivement la programmation, c’est une volonté de prolonger le suspense ou c’est plutôt se laisser une plage de liberté pour accueillir un artiste qui n’a pas donné son accord ?
Non, non. La programmation, on la connaît depuis fin février début mars. Ça répond à un double besoin. Le fait de créer une dynamique de communication, comme on est un festival gratuit on a besoin de se rappeler au bon souvenir du public à intervalles réguliers. Mais ça répond aussi à des enjeux d’exclusivité de programmation d’artistes par rapport à d’autres évènements. Certains artistes ont des concerts parisiens ou sont programmés sur d’autres festivals. On séquence donc nos annonces pour ne pas nuire aux évènements périphériques. La volonté du FNAC Live n’est pas de créer un contexte défavorable aux artistes ou aux autres évènements culturels. On attend que les artistes soient passés pour qu’on puisse les annoncer sereinement sans nuire aux autres.
Combien de concerts voyez-vous en moyenne par an ?
Je ne sais pas. Je me consacre surtout à des concerts de découvertes et de nouveautés. Et ensuite, je profite des festivals pour me faire une grande bouffée d’artistes plus établis. C’est vrai que dans l’année je consacre plus mes soirées à aller voir des artistes émergeants qui pourraient être des gens que j’ai envie de défendre et de soutenir dans les mois qui viennent.
Avez-vous eu un choc scénique récent, qui soit dans la programmation ou qui ne le soit pas ?
J’en ai plein ! Vraiment tous les artistes qu’on programme cette année sont des gens qu’on a vus et qui nous ont emballés, chacun sa façon. Lola Marsh, une chanteuse israélienne que peu de gens ont vue, est une performeuse incroyable. Il faut vraiment la voir sur scène et voir son charisme, son énergie. C’est quelqu’un de fantastique !
Dans les chocs aussi, j’avoue que le dernier spectacle de Philippe Katerine, au Flow, m’a particulièrement emballé. Bachar Mar-Khalife fait partie des artistes qui m’impressionnent aussi beaucoup en live. Balthazar c’est toujours une claque quand on les voit. Ils ont une qualité de jeu, une densité, une intensité esthétique et musicale incroyable. Balthazar en live, c’est vraiment une sensation forte.
Une tête d’affiche difficile à avoir cette année, que vous n’avez pas eue et que vous auriez aimé avoir ?
Pleins ! Et je préfère revendiquer les artistes que nous avons à proposer aux gens.
Vous pouvez bien m’en citer ? Cette année, on avait vraiment envie de présenter le show de Cassius, mais c’était un peu tôt pour eux, dans la préparation. Ils ne sentaient pas que leur show serait prêt en juillet. Ils ont préféré attendre Rock en Seine fin août.
Et un artiste qui a mis un peu plus de temps à dire oui, où il a fallu un peu plus parlementer pour les dates ?
Parlementer, non, parce qu’aujourd’hui c’est la 6ème édition du Fnac Live. Il est bien installé, bien identifié. C’est un festival qui fonctionne bien avec une grosse fréquentation du public et une grosse exposition média. Donc convaincre les artistes de venir n’est pas un enjeu aussi difficile que ça l’était au début.
Après, pour les artistes internationaux, c’est vrai que c’est toujours plus long parce qu’il y a pas mal d’intermédiaires et que la FNAC n’est pas forcément identifiée en Allemagne ou en Angleterre. Pour Jungle ou Get Well Soon, on a mis plus de temps. Mais on ne peut pas dire que ça a été compliqué.
Si vous aviez à miser sur un des artistes à l’affiche que le grand public ne connaît pas forcément, lequel risque de surprendre tout le monde en live ?
Je pense que Lola Marsh peut faire sensation.
Mais pour ceux qui n’ont pas encore vu Sage en concert, il m’a excessivement impressionné à La Cigale. C’est un artiste qui propose un travail très subtil, très fin. On n’imagine pas la capacité qu’il a à transformer son répertoire du disque à la scène. C’est vraiment un très beau show, un très bon moment. C’est un artiste de grand talent, donc sans doute une sensation pour le public qui n’est pas très nombreux encore à l’avoir vu sur scène.
Pourriez-vous me dire quelques mots sur deux groupes : Bon voyage organisation et Fakear ?
Bon voyage organisation : je trouve que c’est une proposition très fun, très fraiche. Quand je les ai vus en concert j’ai été très impressionné. D’abord parce que c’est amusant, rigolo et c’est disco ! Il y a longtemps que l’on n’a pas vu ça. Mais surtout ça joue excessivement bien, ce sont d’excellents musiciens. Je trouve que lorsqu’on veut faire ce genre de répertoire, il faut que l’on soit irréprochable en termes de jeu. C’est un peu comme un clown : ça marche si c’est parfaitement maitrisé dans le timing et dans le jeu. Bon voyage organisation, ça fonctionne parce que ça joue très bien, ce sont de très bons musiciens.
Fakear : c’est probablement l’un des grands nouveaux noms de la scène électro française. Il est originaire de Caen. C’est quelqu’un qui a une proposition qui me plaît beaucoup car elle est très mixée dans ses influences, une électro très élégante, subtile, très musicale aussi. On est assez loin dans l’électro européenne hardcore.
Quel type de spectateur de concert êtes-vous ? Vous arrivez en avance ? Vous préférez être proche de la scène ?
J’arrive pour le début des concerts : je respecte le travail des artistes. J’aime être debout au fond.
Mais on capte moins les traits de visage de l’interprète.
Je vais surtout dans des salles à taille humaine. A La Cigale, au Trianon ou à la Maroquinerie, on voit la tête des gens même quand on est au fond.
Ce qui m’intéresse aussi c’est de ressentir le rapport au public. J’écoute l’artiste, j’observe le public et je vois le rapport au public. Je préfère être à l’arrière plutôt que d’être dedans, c’est une position que j’aime.
Est-ce qu’il y a eu une émotion forte dans les coulisses du FNAC Live ? Un artiste reconnaissant de sa participation au FNAC live ?
Tous les ans, on vit ce genre de moments et ce genre d’émotions.
Par exemple, il y a trois ans, Lilly wood and the Prick était déjà présent et ils avaient considéré ce passage sur le parvis comme un grand défi. C’était avant leur grand succès international. Ils avaient eu une émotion dingue de convertir le parvis à leur musique.
Et il y a deux ans Kid Wise. A la fin de leur set, les membres du groupe pleuraient tous. Ils avaient une émotion dingue de venir là. Et ça nous avait vraiment émus parce qu’ils avaient cette fraicheur et ce plaisir des premiers grands rendez-vous public.
Ça arrive tout le temps, on a plein de petits moments comme ça. C’est un des plaisirs de ce festival.
Un concert à ne vraiment pas manquer lors des précédentes éditions, un moment fort personnel ?
Il y a eu pleins de concerts super. Mais il y a deux moments dont je me rappelle.
Le concert de Fauve a été un truc dingue. C’était une fréquentation absolument colossale et il y a eu une émotion, une intensité, une communion générale qui était assez inédite.
A titre perso, je suis hyper fan de Gregory Porter. C’est une de mes fiertés de l’avoir fait venir sur un festival comme FNAC Live et de l’avoir présenté au grand public.
Alors il faut que je vous remercie car c’était une belle émotion aussi pour moi. En plus il y avait la pluie, les parapluies, c’était super beau.
J’avoue que j’ai dit à toute l’équipe que pendant cette heure-là, je n’étais pas dispo. J’étais devant, j’étais le public. C’était un grand moment.
Je ne connaissais rien de cet artiste et j’ai été pris au col de manière directe.
C’est ça qui est vraiment super dans la programmation d’un festival. On a des convictions, des partis pris et on a les moyens de proposer des choses, peu, mais on peut le faire. Ça fait partie des fiertés. Et quand c’est partagé par le public c’est génial.
Quel est votre lieu de live à Paris, la scène, que vous affectionné particulièrement ?
La Cigale ! Ça reste la salle que je préfère, de toutes les salles parisiennes. La configuration, la taille, le format, la proximité des artistes : c’est pour moi la salle idéale.
Après j’adore pleins d’autres salles. J’adore le Café de la danse. Mais si je devais n’en retenir qu’une seule à Paris ça serait La Cigale.
Votre chanson préférée sur Paris ?
J’adore la chanson de Camille Paris sur l’album Le Sac des filles.
Et sinon plus vieux, j’adore une chanson de Claude Nougaro qui s’appelle Rue Saint-Denis, qui est moins sur Paris mais qui, pour moi, est un vrai trésor.
Quelque chose de nouveau, une ambiance différente pour cette édition 2016 ?
Pas vraiment d’innovation. Ce qu’on a, c’est une programmation dans les salons de l’Hôtel de ville qui est plus ambitieuse que les autres années. Elle rassemble vraiment l’essence de l’actualité de la chanson française du semestre avec Keren Ann, Katerine, Miossec, Alex Beaupain, Vincent Delerm…
Ce qu’il y a de nouveau c’est la soirée entière consacrée aux 20 ans du Label Tôt ou tard avec une programmation concentrée sur leurs artistes. Donc on est ravi de recevoir Yael Naim, Vianney, Odezenne, Vincent Delerm et d’autres artistes.
Et puis Louise Attaque évidemment dont on n’a pas parlé jusqu’ici. C’est l’événement de l’année : la reformation du groupe. Donc on est très content de terminer le festival avec eux.
Parce que c’est la sensation du moment, pensez-vous qu’Hyphen hyphen va exploser, faire battre un record ?
C’est la grosse sensation live du moment. Tous ceux qui les ont vus une fois savent que c’est un groupe de scène, avant tout.
Est-il encore possible d’accueillir encore plus de spectateurs? Honnêtement, non. On est arrivé au maximum de la fréquentation. Là, l’ambition n’est pas de battre des records, on ne saurait plus où mettre les gens. L’ambition c’est de continuer à garder une programmation aussi qualitative, aussi diverse, aussi ambitieuse et que le public soit au rendez-vous. Avec de bonnes conditions pour le public, pour les artistes et de continuer à faire du FNAC Live un rendez-vous de qualité pour tout le monde.
Le buzz, l’activité sur les réseaux sociaux sont importants pour vous ? Est-ce que vous les regarder ? Oui je les observe beaucoup. Ça m’intéresse de voir la réaction de gens quand on révèle des traits de programmation. J’observe le retour des gens.
Du 20 au 23 Juillet 2016 à partir de 18h00 Parvis de l’Hôtel de Ville de Paris et Scène du Salon
Scène principale : Louise Attaque, Jain, Feu ! Chatteron,Lilly Wood & The Prick, Jungle, Stuck in the Sound, Sage, Hyphen Hyphen, La Maison Tellier, Balthazar…
Soirée anniversaire du label TÔT OU TARD a 20 ans : Yael Naim, Vianney, Odezenne, Nicolas Michaux, A-WA, Raphaële Lannadère (L)…
INFO ESSENTIELLE ! Invitations à retirer pour la Scène du Salon à partir du 20 juillet à 12h dans les billetteries Fnac Paris et Ile-de-France.
Deux places par personne maximum.
C’est le leitmotiv trop souvent entendu : “une croisière sur la Seine, ce n’est pas pour les Parisiens !“ C’est sans compter sur Les Bateaux Parisiens qui proposent un brunch, fait maison, au pied de la Tour Eiffel, tous les dimanches. De quoi séduire les gastronomes comme les amoureux de Paris avant une balade sur la Seine entre amis, en amoureux ou en famille.
Après le dîner-croisière, nous revoilà sur la Seine, cette fois-ci de jour. En ce dimanche de printemps, nous prenons place sous la véranda du Bristo Parisien, le restaurant des Bateaux Parisiens, qui propose un brunch, les dimanches de 11h à 15h avec une vue imprenable sur la Tour Eiffel.
Dès notre arrivé, le buffet à volonté préparé par les cuisines du restaurant nous accroche l’œil avec cette composition de fruits frais.
Elle ne tardera pas à être prise d’assaut par les gourmands.
Viennoiseries, pancakes sucrés et salés, tartes salées, quiches, charcuteries chaudes et froides, plats mijotés (travers de porc au miel succulent, saumon), plateau de fromages, plateau de desserts… Un choix cornélien, ou pas.
Nous n’avons pas trop hésité en fait, et nous avons quasiment tout gouté !
Rien à redire sur la qualité des produits présentés. Les plats sont gouteux, frais, variés et fraichement préparés. Un végétarien pourra aussi trouver son bonheur tout comme un enfant difficile.
Loin des attrapes-touristes, même si les 34€ affichés pourrait paraitre un poil onéreux, ce brunch s’avère être une belle découverte. Le cadre et la qualité du service sont aussi de vrais atouts pour céder à l’appel de la Seine un dimanche.
Amoureux du sucré, ou fan du salé chacun trouvera un mets qui conviendra à son coup de fourchette.
Pour vos bambins de 3 à 10 ans, un animateur pourra leur offrira des activités car on sait bien que, parfois, il est difficile de garder des enfants à table.
Sans parler de haut de gamme, le buffet proposé par le Bistro Parisien est de très bonne tenue et une bonne alternative en bord de Seine avec une croisière.
Et le spot idéal pour en mettre plein la vue à vos amis étrangers de passage à Paris.
La croisière
Nul besoin de rentrer dans les détails du circuit de la promenade sur la Seine. Nous retrouvons les grands classiques Louvre, Châtelet, Ile Saint-Louis…
Nous nous attarderons donc sur le confort des bateaux, tous justes rénovés.
Chez USofParis, nous en pinçons pour les sièges et les bancs orientés face aux monuments. Un gros plus qui permet de ne plus se faire un torticolis en admirant Paris. Et on se demande même pourquoi personne n’y avait pensé avant !
Nous aimons aussi l’absence de projecteur pour les visites nocturnes. Et si vous n’aimez pas être pollué par les commentaires, le toit-terrasse vous en dispensera, sauf des essentiels. A la place votre croisière sera agrémentée d’une ambiance musicale. So romantic!
#CONCOURS Envie de (re)découvrir Paris sous un autre angle, en cabine ou sur le pont ? USofParis vous propose de gagner 2 invitations pour une balade romantique sur la Seine pour la date de votre choix (brunch non inclus).
Pour cela, il suffit de remplir le formulaire ci dessous avant, le dimanche 12 juin 2016 à 23h59.
Le/la gagnant(e) sera tiré(e) au sort parmi les participants et gagnera une croisière-promenade de Paris pour 2 avec les Bateaux Parisiens. Il/elle recevra ses billets par courrier.
LE PLUS : une chance supplémentaire de gagner sur Twitter ! En suivant le compte @USOFPARIS et retweetant le concours.
La croisière promenade by Les Bateaux Parisiens
Départ au niveau de la Tour Eiffel
Brunch le dimanche de 11h à 15h : buffet à volonté, boissons (soft) incluses
Port de la Bourdonnais – 75007 Paris Pour les croisières commentées, enchantées, déjeuner et dîner
Départ Notre-Dame
Quai de Montebello – 75005 Paris Pour des croisières commentées uniquement
Parisiens d’origine ou d’adoption, rares sont ceux qui ont déjà goûté à une croisière-dîner sur la Seine. L’invitation des Bateaux Parisiens reçue, on a franchi le pas. Même si ma journée de travail harassante m’a fait un peu trainer les pieds pour rejoindre ce voyage sur le fleuve parisien, j’ai adoré jouer les touristes pour vivre 2h30 de virée nautique, passées en un éclair.
Larguons les amarres ! Quel que soit la formule que vous choisissez pour la croisière de 2h30 (le tarif varie en fonction de votre placement et des suppléments du menu), vous serez accueillis par un apéritif à savourer sur l’eau, au pied de la Tour Eiffel. #SoCute
Depuis 5 ans, les Bateaux Parisiens ont repensé l’intérieur de leurs écrins avec nouveau design sobre et chaleureux et une capacité réduite, le tout pour plus de confort pour les convives. Les larges baies vitrées offrent, déjà à quai, une perspective très agréable. Mais quelques bateaux restent encore à rénover à ce jour.
Les moteurs se mettent à ronronner, le bateau s’ébroue, je finis ma coupe face à Paris qui commence à défiler à la nuit tombante. On prend place à table.
La Seine coule lentement sous nos yeux et, derrière nous, la Tour Eiffel s’éloigne gentiment.
Bateaux Parisiens : la cuisine embarquée
Pleins feux sur la carte de ce dîner-croisière (qui change en fonction des saisons) : entrée, plat et dessert et en supplément, suivant votre choix, le fromage et quelques différences dans la carte des vins.
La première surprise ne vient pas du fait que la cuisine soit faite en direct sur le bateau, mais que certaines autres croisières nocturnes ne le fassent pas.
Partons à la découverte de cette carte et que les gourmands soient prévenus : le dessert est à choisir au début du repas.
Les 700 mètres du Louvre passés (et cela sans compter le Jardin des Tuileries), nous débouchons sur le Grand Palais, puis sur la Place de la Concorde.
Les entrées font leur apparition. Beaucoup de mes voisins de table ont jeté leur dévolu sur les Noix de Saint-Jacques, potimarron et châtaignes. Un intitulé qui m’avait de l’œil.
Et vu les coups de fourchette autour de moi, ce plat semble aussi délicat que son intitulé.
J’ai opté pour une entrée tout aussi traditionnelle et qui ne manquera pas de faire sourire nombres de nos visiteurs étrangers : les escargots de Bourgogne, cèpes et sauce Albufera. Comme une sorte de terre-mer version citadine. #SoFrenchy Moelleux à souhait et navigants onctueusement dans la sauce, gastéropodes et champignons se marient à merveille. Je vous garantis que le serveur à remporter la cocotte totalement vide !
Notre serveur, sans nous accaparer et avec une discrétion notable, nous raconte quelques anecdotes sur les monuments et la ville.
A savoir que les membres de l’équipe sont tous capables de parler plusieurs langues, pour rendre l’expérience encore plus intense pour nos amis étrangers. La flotte des Bateaux Parisiens compte d’ailleurs 37 nationalités différentes !
La musique live de cette soirée n’est, elle non plus, pas du tout envahissante même si le duo de chanteurs n’hésite pas à se rapprocher des tables.
Filant à 12 Km/h sur les flots, nous dépassons l’Île de la Cité, suivis par un cortège d’autres embarcations qui illuminent les façades de leurs projecteurs.
C’est le moment de souligner que, sur les embarcations des Bateaux Parisiens, il n’y a aucun projecteur écrasant de lumières vives les façades et les monuments de Paris.
Un plus pour nous, ou un moins pour les grincheux, véritablement appréciable qui permet de profiter des éclairages nocturnes de la ville et de ses bâtiments sans les dénaturer, augmentant l’esprit de quiétude de cette balade au fil de l’eau.
Voici venue l’heure du plat principal Le temps de faire quelques photos des façades qui déroulent devant nous et de revenir à table, le serveur nous tend un bien étrange coffret !
C’est l’heure du deuxième choix, celui de votre compagnon de fin de repas : votre couteau. S’offre à moi une sélection d’une dizaine de lames façonnées par l’un des fleurons de la coutellerie #MadeInFrance : Laguiole.
Votre décision n’aura, pour autant, aucun impact sur la qualité du plat qui va suivre : Filet de Bar, Quasi de veau, Cannette ou filet de bœuf. Aucun ne résistera à ces lames effilées !
Et vu la tendreté de la viande du Filet de bœuf accompagnée de son champignon farci, jus truffé et gratin dauphinois, même une lame moins aiguisée en serait venue à bout.
Car oui, cette pièce est vraiment magnifique, aussi forte en goût qu’elle fond en bouche. J’ai bien tenté de percer le mystère du fournisseur de ce délice mais sans succès…
Le gratin est honorable, la recette familiale reste indétrônable. Le plat pourrait être un peu plus copieux. #Dommage
Quelques centaines de mètres plus loin après avoir dépassé la Cité de la Mode, à hauteur du Ministère de Finances de Bercy, et bien plus loin que les autres croisières de ce type, le capitaine (formé à l’école de navigation du groupe) amorce son demi-tour pour le voyage retour.
Retour à quai
Avec une assiette de fromages plutôt gouteux et un vacherin vanille et cassis de Bourgogne, signé Lenôtre, de bonne conception, notre équipée redescend la Seine pour rejoindre le point de départ.
C’est l’ultime occasion de savourer les beautés de Paris qui commencent à s’endormir.
Bienveillant avec ses convives, le capitaine ralentit même l’allure pour que le dernier virage face à la Tour Eiffel coïncide avec son scintillement.
Ce soir-là, la Dame de fer restera sobrement parée de noir, jaune et rouge en hommage à Bruxelles.
Cette escapade gustative sur la Seine fût vraiment agréable. C’est une manière totalement différente de (re)découvrir Paris.
Amoureux de notre capital ou amoureux tout court, cette balade vous mettra des paillettes pleins les yeux.
Ne vous méprenez pas, les Bateaux Parisiens ne proposent pas que cette croisière-dîner qui pourra sembler onéreuse à certains.
Vous pouvez choisir la classique commentée ou, pour une sortie avec vos petits bouts, le spectacle de La Croisière Enchantée.
Et pour ceux qui veulent manger sur l’eau à moindre coût, tentez les croisières-déjeuner ou la version 1h30 de la croisière-dîner !
Les Bateaux Parisiens
Départ Tour Eiffel
Port de la Bourdonnais – 75007 Paris Pour les croisières commentées, enchantées, déjeuner et dîner
Départ Notre-Dame
Quai de Montebello – 75005 Paris Pour des croisières commentées uniquement
Pas le temps d’attendre la traditionnelle Foire de Paris du printemps prochain pour découvrir les nouveautés connectées, les coups de coeur gourmands ou refaire votre intérieur ? La Foire d’Automne est faite pour vous ! Et elle n’a rien a envier à sa grande sœur.
Rien que pour vous : 380 exposants répartis sur trois pavillons et organisés en 5 thématiques : Découvrir & Innover, Explorer le monde, Prendre soin de soi, Se régaler et Vivre bien chez soi.
Même si vous retrouvez les basiques comme les cuisinistes, les marchands de meubles, les stands food, la Foire d’Automne n’est pas une simple copie de le Foire de Paris.
Elle met l’accent sur l’expérience, l’innovation et l’animation.
Coaching, tuto et DIY (Faites-le vous-même) Le Bar des copines est de retour cette année avec ses conseils et ateliers dédiés aux femmes : DIY pour les futures mariées, Geekettes – pour devenir une pro des réseaux sociaux – ou Halloween – pour parfaire vos cupcakes version fantômes et revenants avec votre bambin ou le maquillage de vos ados.
Les mâles ne sont pas en reste avec le Men’s corner qui propose les mêmes sujets mais version testostérone : battles de repassage et bras de fer sportif pour Super Nana, effets spéciaux de maquillage pour Halloween, coaching sportif pour sa séance “fais bouger tes muscles” à domicile.
Côté maison, on vous propose du coaching bricolage et déco : plomberie, bricolage de base, pose de parquet et même une initiation à l’impression 3D, qui devient accessible au grand public pour tout réaliser chez vous. Côté cuisine, l’atelier Afrofusion vous fera voyager à travers les 5 continents, pour une initiation aux mélanges culinaires et donc gustatifs, en passant par Tokyo, New-York, Rome, Mexico et Marrakech. #Yummy !
Les innovations à la Foire d’Automne 2015 La volonté appuyée de mettre en avant les innovations technologiques a débouché sur la création d’un Grand Prix de l’Innovation “Smart & Connecté”. Les lauréats et les participants sont exposés dans un espace dédié. Vous y trouverez certainement le produit tendance de demain et celui qui vous facilitera la vie.
Fun et animations La Foire d’Automne a l’envie de rendre ludique votre visite. Plongez à la découverte de la grande tendance du moment : l’Escape Game. Une cession de 30 min pour vous donner des frissons et tenter de résoudre cette énigme inédite. Leavin Room présente ici sa version transportable du concept d’enquête policière pour votre journée de team building ou une soirée entre amis à domicile et si vous êtes extravagant pourquoi pas à votre repas de mariage !
Sans oublier le moment d’évasion avec les spectacles de la Polynésie.
Des shows, des cours de danses traditionnelles ou de ukulélé, c’est l’idéal pour une pause au votre journée de visite.
Avec toutes ces propositions, on pourrait simplement dire : à chacun sa Foire d’Automne !
Foire d’Automne 2015
Jusqu’au dimanche 1er novembre de 10h à 19h
Pavillons 2.2, 2.3 et 3