Chaque mois, les blogueurs et blogueuses qui participent à la Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.
Une innovation design et technique nous a impressionnés récemment à la Monnaie de Paris.
Ce meuble conçu par Mathieu Lehanneur posé sur des bulles de verres.
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Le thème de ce mois choisi par Philaeest : palette de couleurs.
C’est au Havre – qui fête toute cette année ses 500 ans – que nous avons eu une déflagration de couleurs. L’œuvre de Vincent Ganivet “Catène de containers” de 29 mètres de haut est aussi impressionnante que captivante.
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Le thème de ce mois choisi par CécileP est : effet gyroscopique.
Je n’ai jamais séché autant devant un thème.
Et c’est au Jardin des Tuileries, en pleine fête foraine estivale, qu’il me semble avoir aperçu un effet gyroscopique en pleine hauteur, Ce manège aérien offre une vue sensationnelle sur Paris à celles et ceux qui ne souffrent pas de vertige.
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Le thème de ce mois choisi par Morgane Byloos Photography est : provocation (dans tous les sens du terme).
Vu au Fnac Live, il y a quelques jours, Julien Doré est le king de la provoc. Il a un don, celui de provoquer son public, d’exciter les foules, de déchainer les passions les plus folles, de faire se soulever les mains, de chanter en choeur avec toute personne qui se trouve devant lui.
Tout en ayant une classe d’enfer en chemisette à fleurs, alors qu’ils sont nombreux les fashion addicts a avoir décrété que les chemises manches courtes étaient has been. Ca ressemble à une nouvelle provoc de J. Doré.
Le cinéma peut faire du bien, faire grimper sur nuage en haut duquel on observerait le monde. La preuve avec Visages Villages, un film de deux artistes séparés (en âge) de seulement 55 années. JR, la super star du collage photographique prend comme coéquipière de son van photomaton la réalisatrice-doyenne espiègle du cinéma français Agnès Varda. Ils se mettent en scène à travers les rencontres qu’ils font (ou pas) à travers la France.
Visages Villages : double regard
JR et Agnès Varda ont en commun d’aimer la rencontre avec des inconnus, de les photographier, filmer, tout en les faisant parler d’eux.
A priori, rien ne devait les faire tourner ensemble mais la fille de la réalisatrice a joué l’entremetteuse. D’un premier rendez-vous Rue Daguerre, un second est très vite fixé à l’atelier de JR qui commence à filmer. Varda veut sortir de la ville. C’est le début d’un road trip débridé, les deux acolytes ne se sépareront plus.
L’aventure s’est terminée, il y a seulement quelques semaines.
C’est la tendresse du regard, de l’attention portée à ces anonymes qui touche, bouleverse, surprend. Impossible d’oublier cette femme émue de se voir en portrait géant sur la façade de sa maison, cette mise en scène belle à souhait des pieds et des mains photographiés de Varda par JR.
“On n’est pas 4 garçons dans le vent. Mais 2 personnes dans le calme ! “Agnès Varda (en référence à l’affiche du film)
Il faut les voir en vrai tous les deux, se titiller, s’envoyer des pics gentiment. Agnès Varda aurait-elle trouvé une source de jouvence avec JR à ces côtés ? Elle est obligée d’avoir de la répartie, d’être concentrée. Ça fuse à toute occasion, sur tous les sujets. Lors de la Cinexperience réunissant les deux artistes, JR confie “je n’ai jamais autant donné avec ce film“. Et Agnès Varda de poursuivre : “Être un artiste est un paradoxe. On veut mettre en valeur les gens mais on est narcissique. On fait des films pour qu’ils soient aimés.”
Le but de ce film, de cette intrusion dans la vie de ces anonymes était “de réveiller chez eux leur propre imagination, leur propre désir artistique.”
-M- a été embarqué dans l’aventure par les deux complices. C’est un nouveau visage du génial compositeur-musicien que l’on découvre avec des musiques inédites. Et c’est Varda qui en parle le mieux : “Matthieu Chedid est assez fringant et baroque. Et avec ce film, il est plus tendre et mélancolique.”
Visages Villagesest un film drôle, hors des sentiers du cinéma français qui se regarde le nombril. Fragile aussi parce que fait dans l’urgence avec peu de moyens, avec l’aide de “kisskissbankers” qui ont cru (et ils ont eu raison) à ce duo burlesque inédit et désopilant.
Visages Villages est un petit bonheur à voir sur un grand écran pour ne rien manquer de la force de cette aventure humaine.
Visages, Villages un film d’Agnès Varda et JR musique : Matthieu Chedid dit -M-
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Le thème de ce mois choisi par Audeest : l’instant T.
C’est au We Love Green que mon cœur a battu. En plein milieu d’un titre de Solange Knowles, les vigiles demandent aux photographes accrédités de quitter la fosse. Je marche lentement pour saisir une dernière pause tout en gardant un œil sur la chanteuse. Et là, “strike a pose” : juste le temps de relever l’appareil, de shooter et de repartir.
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Le thème de ce mois choisi par Eurydiceest : Lumière(s).
Et c’est pas plus tard que vendredi dernier que de très bonnes conditions ont été réunis pour photographier Loïc, le chanteur du groupe Isaac Delusion.
Avec 60% d’artistes femmes, 14 nationalités représentées, le Salon de Montrouge nous passionne cette année encore avec un choix ambitieux, brut et bousculant, le tout orchestré par le commissaire Ami Barak. A noter que ce rendez-vous de l’art contemporain est ouvert 7j/7, jours fériés compris !
Voici nos talents 2017.
Lucie Planty n’est pas peintre. Son œuvre est de donner à nouveau à voir des tableaux disparus parce que spoliés lors de la Seconde guerre mondiale. A travers un travail de documentation minutieux et la collaboration d’un copiste, ces toiles renaissent littéralement devant nos yeux. Passionnant et touchant !
Travail sur l’intime avec l’artiste Julie Le Toquin qui offre à tous et toutes des lignes entières de son journal. Plus troublant encore de se trouver face à cette Robe écriture qui tourne sur elle-même dévoilant ainsi des bribes de moments personnels. Cette robe, l’artiste la porte. Elle porte et assume ses propres mots, sa mémoire.
Cet engagement nous ferait penser à celui de Sophie Calle.
Ludivine Large-Bessette joue sur deux palettes : la photographie et la vidéo, interrogeant à chaque fois le corps en mouvement.
Dans sa série photo Adaptation, elle entraine un danseur contemporain dans ses paysages finlandais et des situations cocasses. Le résultat est tout aussi joyeux que refroidissant quand on ose – même une fraction de seconde – se maitre à la place du modèle.
Renouvellement des techniques “classiques” avec ce spectaculaire tapis de Suzanne Husky – lauréate duPrix Tribewdu Salon de Montrouge – qui reprend tous les codes que l’on peut connaitre d’une tapisserie. Exception pour cette machine de destruction de notre siècle. Audacieux !
Enfin, le seul homme de notre sélection, Tom Castinel invente une chorégraphie toute personnelle aussi bien visuelle que sonore avec un nombre impressionnant d’accessoires. Le Lyonnais propose, à côté de sa performance sur écran avec ses silhouettes en aluminium mobiles en hommage tout particulier au chorégraphe Jean Börlin qui a conçu avec Francis Picabia le ballet Relâche en 1924. Une proposition captivante !
De nombreuses autres propositions artistiques sont à découvrir au Beffroi de Montrouge dont l’installation discrète et difficilement photographiable de Camille Brée. C’est pour cette raison que nous la mentionnons. Ce serait dommage de la manquer.
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Impossible de ne pas penser à la spectaculaire verrière de la Fondation Vuitton et à sa transparence. L’artiste Buren a fait équipe avec le soleil pour ce jeu d’ombres, lumières et couleurs à travers le verre architectural.
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A la simple évocation de sensualité, la première image a été celle de Fauve shootée, il y a quelques jours, dans Saturday Night Fever, le spectacle disco à succès.