Les vins du Languedoc Roussillon ont mauvaise réputation ? Et pourtant en une soirée passée avec des producteurs d’AOC, on a pu constater qu’il faut envoyer balader bien loin cette fausse image des vins du sud-ouest. Entre rencontres et dégustations, un gros plein de chaleur humaine et notre sélection de trois cuvées : rosé, blanc et rouge !
Avant de faire connaissance avec nos hôtes d’un jour, et surtout Alexandre They, on se penche sur nos trois coups de cœur !
Les vins du Languedoc : notre sélection
Un blanc pour s’égailler le palais !
Si on a découvert le Saint-Chinian version blanc, notre pleine attention se porte sur le Picpoul de Pinet La Croix de Gratiot.
Ce vin frais et léger, très minéral est parfait pour ouvrir l’appétit.
Bien évidemment, il sera au top pour accompagner des fruits de mer. Normal, il est élevé le long de l’étang de Thau et de ses parcs à huitres.
Le 100 % cépage Picpoul, ce n’est pas mal du tout.
Bon à savoir, le Picpoul commence à détrôner le Muscadet de Loire-Atlantique chez nos amis Anglais.
Un rosé pour un apéro cosy
Les techniques de production et d’élevage des rosés ont bien changé depuis quelques années. Devant nous, on peut voir toute la gamme, du plus clair au plus foncé. Et nos amis vignerons innovent aussi côté packaging.
Des parcelles entières de cépages sont dédiées à ce breuvage estival. C’est un vin qui a besoin de moins de soleil ou de parcelles plus en altitude.
Alors il y a des arômes à découvrir, sachant que plus il est foncé, plus le rosé a de saveur.
Notre palais s’est arrêté sur le Domaine de Fontenelles, Tenues de soirée 2018.
Un vin rosé tout en douceur, rien n’accroche les papilles. Ce n’est pas le plus aromatique, mais il n’est pas trop atypique.
Une charmante découverte pour un été barbecue en douceur.
Côté rouge, un choix difficile !
On aurait aimé pouvoir faire une sélection plus large qu’un seul vin, tant la production languedocienne est surprenante du côté des rouges. Tant au niveau des goûts que des appellations : Le coupe soif, Rien ne m’effraie, Comme à Cayenne, Rendez-vous sur la Lune…
Il faut toujours qu’il y ait “une interaction entre l’humain et le vin“, nous confie Alexandre They, du Château du vieux Moulin.
« On sent le bonhomme ! », c’est ce que l’on s’est dit quand le Vox Dei a recouvert nos papilles. On aime ses tanins bien présents et ses notes de fruits rouges.
C’est indéniablement celui que l’on choisirait pour passer un bon moment entre amis. En plus il est bio !
Alexandre They, pour l’amour du vin
Avec son épouse, le vigneron qui officie au Château Vieux Moulin a une devise “Le vin est à l’humanité, ce que Tinder est aux réseaux sociaux“ et chez USofParis, on adhère à 100 % !
Et cette philosophie résume parfaitement l’homme. Amoureux de ses vignes et préférant les contacts humains, il n’a qu’une envie : transmettre sa passion du travail du vin, “Question de partage et de plaisir“. Et derrière chaque étiquette de cépage, ils écrivent un message poétique. On adore.
Pour partager son amour de la chair et du vin, Alexandre organise des soirées gastronomiques. Une grande tablée, des bons plats et du vin pour les amateurs. “On transcrit les valeurs que l’on porte, des moments de plaisir… apprécier, partager, c’est de la convivialité.”
On a très très envie de partir dans le Languedoc sur les terres d’Alexandre. Qui nous suit ?
C‘est lors d’une dégustation particulière consacrée à l’exceptionnelle année 2016 que nous avons succombé aux autres facettes de la production de Porto : le Vintage ! C’est un type de vin encore méconnu des Français. Il est pourtant le joyau de la région du Douro, avec un cahier des charges strict. Pour en faire un vin d’exception et faire chavirer nos palais.
Porto : une vallée pour origine
C’est à l’est de la ville qui lui a donné son nom, dans la vallée du fleuve Douro, que le vin de Porto grandit et mature.
Depuis 2001, la vallée du Douro, ses terrasses et ses paliers, est classée au Patrimoine de l’humanité par L’UNESCO.
Ce sont les Anglais, friands de breuvages liquoreux, qui ont développé cette vinification particulière qu’est le Vintage.
Élaboré avec une seule et unique récolte de raisins, le Porto Vintage, est donc toujours millésimé. Et c’est après deux à trois ans d’élevage qu’il est mis en bouteille.
Ces vins particuliers sont l’expression d’un terroir, propre à chaque vigneron et même chaque parcelle. Ce sont des capsules d’une saison, d’une année qui sont destinées à évoluer durant 15 à 20 ans en bouteille. Un vrai vin de garde, donc, qui peut accompagner tout un repas. Pour certains, son vrai caractère émergera encore beaucoup plus tard, au bout de 30 ans.
Vintage 2016 : une cuvée hors norme
Oui, pour l’Institut des vins de Douro et de Porto (IDVP), l’année 2016 est d’une qualité exceptionnelle. Lors de notre découverte de ces vins haut de gamme, nous avons passé en revue dix Portos cuvée 2016, avec chacun sa particularité.
A vrai dire, il n’a pas été facile pour nos palais novices de décrypter toutes les subtilités de chaque vin. Même avec l’accompagnement des dix producteurs présents.
Saveurs de cassis, fruits rouges ou pain d’épices dominent bien évidement chacun de ces Portos.
Et à travers toutes ces saveurs, trois appellations ont fait vibrer un peu plus nos papilles lors de cette soirée.
Sa belle robe violette tranche avec les autres vins. Les raisins de ses vieilles vignes le rendent assez gourmand en bouche. Ce Porto Vintage dégage donc une bonne puissance. Sa fraîcheur finale est surprenante. Tous ces éléments réunis lui donnent un bon équilibre.
Ce domaine familial produit du Porto depuis 1889. Issu de cépages traditionnels, sa couleur rubis reflète parfaitement des notes de prunes. Le sol de schiste et une exposition ouest (avec un soleil tout l’après-midi) renforcent le caractère de ce Porto. Tous ses arômes se dévoilent à la dégustation pour notre plaisir gustatif.
A l’opposé du Quevedo, les vignes de cette appellation bénéficient d’un ensoleillement uniquement le matin. Autres singularités : les raisins sont encore foulés aux pieds et sa fermentation est stoppée un peu plus tard que pour ses camarades. Du coup, ce vin est un peu moins doux. Il est bien équilibré en bouche et ses notes de cerise noire titillent délicatement le palais.
Les Porto Vintage offrent une autre palette de goûts et de douceurs incomparables avec leurs petits frères “grand public”.
Une rencontre inédite qu’il vous faut faire pour un repas ou un apéritif rehaussé.
Vous êtes séduit par le Porto Vintage ? Prolongez votre voyage au Portugal avec des vins encore plus vieux et délicats.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.
Naw (pour Nektart Wine) c’est tout d’abord une rencontre entre des personnes amoureuses de l’art et du vin. Pour Guilhem de Castelbajac (Directeur Artistique), Hubert de Castelbajac (Spécialiste du management des vins et spiritueux) et Julien Verry (Détaché de presse), les bons vins se devaient d’avoir un habit à leur mesure reflétant leur identité propre… quoi de mieux que d’associer des artistes reconnus venant de l’art urbain est des viticulteurs de renom ?
Une façon intelligente et originale d’unifier ces œuvres d’art réalisées dans la rue et des richesses telles que le vin issues du terroir.
Nektart Wine – carte blanche aux artistes
Quatre artistes – dont deux duos (trois français et un artiste britannique), ont été sélectionnés pour la réalisation de ce projet innovant : le duo Lek & Sowat a été chargé d’habiller la bouteille de haut médoc 2015, Jean Charles de Castelbajac , la bouteille de bordeaux supérieur 2015, le duo THTF la bouteille de rosé cote de Provence 2016 et Nick Walker la bouteille de Carbardès 2015.
Le cahier des charges est simple : à partir du format de l’image et de l’intégration du logo Nektart Wine dans cette dernière, les artistes doivent réaliser leur œuvre associée au vin qui leur a été confié.
Pari réussi : les quatre vins sont donc parés d’une jolie étiquette qui reflète l’esprit du domaine dont ils sont issus. De cet ensemble se dégage une agréable sensation de modernité, de fraicheur et d’inventivité.
Les informations concernant l’artiste et le vin sont indiquées à l’arrière de la bouteille. Passionnés d’art et amateurs de bons vins pourront ainsi en savoir plus sur leur passion respective.
L’ambition de NAW est d’étendre, très prochainement, ce concept à d’autres artistes.
Une collaboration intelligente
Les artistes ont collaboré gracieusement à ce projet et recevront en contrepartie un pourcentage sur les recettes. Les bouteilles, quant à elles, seront également proposées à la vente dans les galeries des artistes.
Les prix sont abordables : de 11,50 pour le bordeaux supérieur jusqu’à 18,90 pour le rosé.
Raisonnable, je n’ai goûté que deux vins : le bordeaux supérieur 2015, un vin léger, au goût de plusieurs fruits noirs mélangés et le côte de Provence, à ma grande surprise mon préféré des deux (je ne suis pas très rosé), un vin délicat, floral, très agréable en bouche.
L’occasion, pour Noël, de se laisser tenter par l’acquisition d’une œuvre d’art consommable !
by Caroline
Les vins Nektart Wine : Patrick Hospital & Jean-Charles de Castelbajac – Cuvée Bordeaux Supérieur 2015
Famille Sumeire & T.H.T.F. – Cuvée AOP Côtes de Provence 2016
Miren de Lorgeril & Lek & Sowat – Cuvée AOC Cabardès 2015 Jean Riffaud & Nick Walker – Cuvée AOC Haut Médoc 2015
Disponible dès maintenant sur le réseau du Repaire de Bacchus
Réserve ta soirée du 4 septembre pour nous rejoindre à l’Apéro Netto en plein Paris ! Tu veux savoir qui se cache derrière UsofParis, même si tu as une petite idée en nous suivant sur les réseaux sociaux ?
Fonce !
Viens à l’afterwork qui va nous faire découvrir une sélection de bons vins accompagnés des délicieux petits plats concoctés par la talentueuse Angèle Ferreux-Maeght qui n’est autre que la créatrice de La Guinguette d’Angèle. Elle fait le bonheur des no gluten. On a testé quelques-unes de ses recettes et franchement on est fans !
Pour gagner tes invitations pour l’Apéro Netto, il va falloir nous prouver ta motivation en nous laissant au plus vite un commentaire !
Prêt(e) ?
Tirage au sort prévu pour départager le duo qui passera sa soirée avec nous.
Quand un meilleur sommelier du monde, mais aussi restaurateur, Philippe Faure-Brac vous invite à découvrir sa collection des vins du Val de Loire : impossible de résister. Cette rencontre a aussi été l’occasion de faire connaissance avec l’Alliance Loire : une structure regroupant 8 coopératives vigneronnes sous l’égide de l’œnologue Nicolas Émereau, auprès de laquelle Philippe Faure-Brac s’est engagé.
Immersion dans une région riche d’appellations de renom : Bourgueil, Saumur, Vouvray et Muscadet.
Rendez-vous chez Joseph et Lucien, Paris 2ème, avec la surprise de découvrir que l’ancienne Galerie des Petits Carreaux s’était métamorphosée en restaurant. Pour cette soirée particulière, notre menu a été totalement élaboré par le sommelier et le chef pour être en accord avec les vins choisis pour la dégustation.
Accueillis par les deux maîtres de cérémonie, Philippe Faure-Brac et Nicolas Émereau, nous commençons la (re)découverte des vins du Val de Loire par un Vouvray effervescent Brut C. Greffe excellence, élevé selon la méthode traditionnelle (ex méthode champenoise).
L’élaboration d’un vin pétillant étant un long travail de collaboration, cette cuvée 2011 est issue uniquement d’un travail d’assemblage de cépages chenin blanc entre l’œnologue, le sommelier et le vigneron. Sa légère amertume et sa minéralité fraîche et fruitée en font un vin parfait pour préparer son palais au repas qui va suivre.
L’Alliance Loire et la collection Philippe Faure-Brac
Avant de poursuivre la dégustation des vins et des plats, un court point s’impose sur l’Alliance Loire.
Regroupant 300 vignerons réunis en 8 coopératives, l’Alliance Loire répertorie une sélection de 100 cuvées (dont 10 bio). Et l’œnologue Nicolas Émereau est un véritable passionné de cette région. Nous en ferons l’expérience tout au long de la soirée.
La rencontre entre Nicolas et Philippe a lieu en 2013 et, dès le départ, il y avait la volonté de mettre en avant des cuvées d’exception sous l’appellation Collection Philippe Faure-Brac.
Le sommelier s’est naturellement rendu sur les parcelles en culture pour effectuer la sélection des baies, suivre la mise en bouteille et surtout rencontrer les vignerons. Ces rencontres avec les viticulteurs sont toujours un moyen de partage d’expérience, d’assouvir son besoin de découvertes et de connaissances. Car comme le rappelle Nicolas Émereau : “le travail de l’oenologue s’arrête une fois que la bouteille est bouchée, ensuite c’est au tour du sommelier de prendre le relais“.
Philippe est aussi un fin connaisseur du travail de la vigne car il est associé, depuis 10 ans, dans un vignoble de la vallée du Rhône. Nicolas est surpris par son travail de mémoire et de précision : “Philippe est capable de reconnaître à l’aveugle les raisins sélectionnés.”
Derrière cette collaboration, une envie : valoriser le travail par une sélection des crus et un retour à l’échelle humaine de la production.
D’ailleurs, les deux professionnels, devenus amis depuis, n’hésitent pas à prendre leur voiture pour sillonner les routes de la Loire et faire la tournée des producteurs avec une visite mensuelle. Un véritable sacerdoce.
Ce qui n’empêche pas notre sommelier de titiller les vignerons sur leurs produits. D’ailleurs Nicolas acquiesce : “travailler avec un sommelier sur l’élaboration des vins améliore la précision“.
Un travail tel qui fait que, durant 2 ans, il n’y a eu aucune commercialisation de bouteilles avec la mention Collection Philippe Faure-Brac. Elle a tout juste débuté en septembre dernier et pour un rapport qualité-prix vraiment abordable : tous les crus que nous allons partager avec vous sont vendus entre 7 et 12 € chez les détaillants ou en grandes surfaces.
Place à la dégustation : mets et vins !
C’est un menu très mer que nous ont concocté Phillipe Faure-Brac et le chef du restaurant Joseph et Lucien pour débuter ce dîner.
Pour accompagner cette superbe assiette de moules de Belle-Ile-en-Mer façon marinière, un Muscadet Cru Clisson 2013 et un Saumur Le Coteaux Blanc 2014.
Et il faut bien avouer que nous redécouvrons ces deux crus. Les Saumur blanc et rouge nous avaient toujours laissés des regrets avec une grosse acidité en bouche.
Même si Nicolas Émereau est un vrai défenseur des vins du Val de Loire, il reconnait que durant une longue période les producteurs se sont un peu perdus sur la qualité de certaines appellations.
Ces errements étaient dus à plusieurs facteurs : l’histoire de la production et de la distribution des vins France mais parfois aussi à un manque de discernement sur l’évolution du produit. Les vignerons du Val de Loire savent désormais où ils en sont et connaissent les défauts et les qualités de leur terroir.
Et il est vrai que ce Saumur blanc le Coteau est particulièrement surprenant avec son cépage 100 % chenin blanc et ses arômes de fruits mûrs.
Avec une nouvelle appellation Cru Clisson qui n’a que deux ans, validée par l’INAO, le muscadet 2013, de chez Hughes Brochard, affiche cette volonté de travailler sur l’identification des terroirs et sur la richesse du raisin. Élevé sur lie durant deux ans, il développe une belle puissance charnue.
Pour continuer sur l’accord : un plat/deux vins, voici venir les bulots au piment Rosetta de Sicile, rouille safranée et algues de Pleuven.
Toujours en compagnie du Saumur Blanc, un blanc de Touraine Sauvignon, La Dilecta 2014, rejoint notre table. Un cépage sauvignon classique, frais et doux, avec une belle robe dorée qui reste équilibrée en bouche avec ses notes épicées et sucrées de fruits exotiques.
La cannette en deux services, froide et chaude, annonce l’arrivée des vins rouges.
Le tartare de Canette des Landes, chips de trompettes de la mort et Crème de carottes – plat surprenant et plein de peps au demeurant – s’accorde parfaitement avec le Saumur Rouge Azuré (Bio et médaille d’or au Concours Général Agricole).
Cultivé sur un terrain argilo-calcaire, ce cépage Cabernet-franc révèle des saveurs de fruits noirs assez prononcés. Parfait pour cette viande rouge crue.
Et avec le Secreto de canette et son bouillon de veau, ce Saumur rouge prend encore plus d’ampleur et de saveurs.
Ce plat chaud, aux goûts et aux parfums plus longs en bouche, contraste un peu trop avec le Bourgueil Saint Martin 2014, qui nous est proposé.
Malgré sa robe rubis soutenue et ses arômes de fruits mûrs (prune cassis, mûre et groseille) nuancés par une note poivrée et ses tanins subtils, ce vin s’efface un peu derrière le plat. A tester à nouveau car il fait preuve de très belles qualités.
Pour conclure cette dégustation, un deuxième Vouvray effervescent : un De Chanceny Rendez-vous brut 2009.
Plus ample et épanoui que celui de l’apéritif, certainement dû aux 2 ans d’écart et à ces 4-5 ans d’élevage sur latte, son côté minéral et ses fines bulles sont en harmonie avec la poire pochée servie en dessert.
Avant de conclure avec Philippe Faure-Brac et Nicolas Émereau, il faut donner un coup de chapeau au chef du Joseph et Lucien qui a mis en avant son savoir-faire pour cette soirée en créant des plats qui ne sont pas à sa carte.
Même si un ou deux étaient un peu en-dessous (le provolone et la poire ne font pas forcément bon ménage), il reste que la réalisation était parfaite dans sa globalité.
Nous sommes ravis d’avoir pu approcher d’une nouvelle façon des vins que nous avions un peu délaissés. Pour le Val de Loire : terroir et travail acharné sont véritablement les atouts pour assurer la meilleure des qualités des crus, pas forcément tous de grands crus, mais de très bons vins.
En petit bonus, voici une recette de Philippe Faure-Brac pour profiter pleinement du Saumur Blanc Le Coteau : Le Pot au feu de poulet .
Pour 6 personnes
1 poulet fermier de 1,3 kg
Assortiment de légumes de printemps : petites carottes et navets fanes, jeunes poireaux, tiges de céleri, panais
1 oignon clouté de girofle
2 gousses d’ail
1 verre de vin blanc sec
1 bouquet garni
20 cl de crème fraîche
Sel, poivre en grains.
Déposer le poulet dans un grand faitout, couvrir d’eau à hauteur, porter à ébullition, écumer soigneusement. Ajouter le vin blanc, saler puis ajouter l’oignon, le bouquet garni, l’ail et quelques grains de poivre. Laisser cuire 30 mn. Ajouter alors les légumes et poursuivre la cuisson 15 mn.
Retirer le poulet, le découper et le disposer dans un plat avec les légumes égouttés. Prélever un peu de bouillon, faire réduire avec la crème fraîche, vérifier l’assaisonnement. Napper le poulet et servir.