Oui, bon, j’avoue: c’est un peu facile comme titre. Je sais. Mais ça peut être une vraie source d’angoisse que de chercher le meilleur titre possible pour sa première chronique spectacle (avec quelques années d’absence). La tentation était trop grande et je pense qu’aucun journaliste de Libé ou de Télé 7 jours n’osera me le piquer. Je suis le premier. Je le garde !
J’avais donc rendez-vous hier avec une certaine Virginie Hocq. Je n’étais pas tout à fait seul avec elle. Il y avait foule devant le théâtre pour son grand retour à Paris.
En 2007, elle avait joué les prolongations pour son précédent spectacle, C’est tout moi, dans ce même Petit Montparnasse. En janvier 2011, elle le retrouve avec autant de fougue.
Cette fois, elle danse. Sacrement bien. Et plutôt deux fois qu’une.
Jouant la carte de la fille sexy en diable, le spectateur a de quoi avoir quelques troubles quand Virginie tombe la salopette.
Les chocolats belges sont toujours de la partie. Mais cette fois-ci, ils ne sont pas partagés par le public. Un(e) seul(e) en aura les faveurs. A vous de deviner lequel ou laquelle au cours de la soirée.