Parc de Bagatelle. Paris. Vendredi fin d’après-midi et derniers jours d’été.
Deuxième édition du Festival We Love Green.
Alors que certains n’ont toujours pas compris où se trouvait l’arrêt pour la navette gratuite, non VIP à la sortie du métro, d’autres festivaliers étaient arrivés à l’heure pour le premier set avec le groupe guilleret et électro Kindness.
Le leader, Adam Brainbridge impressionne par son déhanché et sa longueur de cheveux.
Alors qu’en fin de concert, il s’offre une danse-bain de foule très champêtre, une image pourtant nous dévie de son charisme. Celle de l’une de ses choristes.
Dans le public, quelques prémices à l’automne qui nous rafraîchit déjà le cou, avec une collection de bonnets.
L’attente de la déflagration Django Django est palpable parmi les festivaliers. Les quatre membres du groupe au dress-code parfaitement homogène emporte les festivaliers.
C’est rugueux, nerveux et révélé.
Il n’y a pas que des jeunes filles en fleurs au We Love Green Festival. Les garçons savent aussi partager un peu de légèreté capillaire pour séduire leur belle.
21h. Norah Jones entre en scène, discrète pour présenter son dernier opus Little Broken Hearts. Sa timidité est troublante, adressant quelques sourires sur les instru.
Son charme ne tarde pas à réchauffer le coeur des amoureux. Mais l’exubérance des groupes précédents a du mal à se faire oublier totalement.
On attendrait un peu plus d’audace. Reste un charme délicieux. Une silhouette aux couleurs en accord parfait avec l’événement du week-end.
Et quelques tubes enchanteurs: Chasing Pirates, Miriam…
La suite, samedi avec Camille, Klaxons, Beirut, La Femme.
On vous a prévenu que Charlotte Gainsbourg avait annulé sa venue dimanche?